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  • Organisation

    L’ASPEL est une organisation d’éleveurs créée en 2006 par l’arrêté n° 093/MI/D/DGAPJ/DLP du 9 mars 2006 et dont les principaux objectifs sont entre autres de :

    • Promouvoir et redynamiser l’élevage et améliorer les conditions de vie des éleveurs.
    • Développer la solidarité et l’unité entre ses membres
    • Promouvoir l’éducation en milieu nomade
    • Promouvoir les droits de l’homme et la politique de justice entre les sexes

    Pour atteindre les objectifs qu’elle s’est fixés, l’ASPEL s’est dotée de membres de personnel compétents et expérimentés pour l’aider dans cet exercice.

    • Organisation

      L’ASPEL est une organisation d’éleveurs créée en 2006 par l’arrêté n° 093/MI/D/DGAPJ/DLP du 9 mars 2006 et dont les principaux objectifs sont entre autres de :

      • Promouvoir et redynamiser l’élevage et améliorer les conditions de vie des éleveurs.
      • Développer la solidarité et l’unité entre ses membres
      • Promouvoir l’éducation en milieu nomade
      • Promouvoir les droits de l’homme et la politique de justice entre les sexes

      Pour atteindre les objectifs qu’elle s’est fixés, l’ASPEL s’est dotée de membres de personnel compétents et expérimentés pour l’aider dans cet exercice.

    • Projet

      Dans le précédent projet de l’ASPEL sur la lutte contre  » l’enlèvement comme mode d’union  » de la jeune fille bororo et son maintien à l’école, il s’agissait de sensibiliser la communauté bororo sur les conséquences néfastes d’une pratique ancestrale qui perdure, et qui prive les jeunes filles bororo de leur droit à l’éducation.

      Il est à noter que cette pratique, qui est le mode d’union privilégié dans la communauté Bororo, était jusqu’à présent un tabou que personne n’osait aborder en termes de pratique rétrograde.

      En effet, la pratique prive les jeunes (filles et garçons) des opportunités d’éducation. C’est donc à cette pratique que l’ASPEL s’est attaquée en expliquant qu’elle constitue une contre-valeur et en appelant la communauté Bororo de Bermo à la rejeter purement et simplement pour aller vers le changement. Un défi réussi pour l’ONG ASPEL puisque durant la période 2019, 2020 et 2021, le projet a obtenu les résultats suivants :

      • 00 fille déscolarisée
      • 00 grossesse enregistrée chez les filles scolarisées au lycée de Bermo
      • 00 mariage enregistré parmi les filles scolarisées

      Lors de la session d’examen du BEPC 2020, 19 élèves de Bororo ont été admis au BEPC, dont 2 filles, portant ainsi le nombre d’étudiantes à 3, ce qui est un fait sans précédent dans la communauté.

      Le présent projet vise à consolider et pérenniser les actions menées par le précédent projet en renforçant davantage les capacités des détenteurs de droits et des différents acteurs (les autorités administratives et coutumières, les membres du bureau de la fédération des COGES de la commune, les leaders religieux et communautaires). Le projet vise à renforcer les capacités des détenteurs de droits de sexe féminin et des différents acteurs (autorités administratives et coutumières, les membres de la fédération des COGES de la commune, les leaders religieux et communautaires, les femmes leaders, les structures locales chargées de la pérennisation du projet) en matière de droits des femmes et des enfants, de plaidoyer, de mécanismes de lutte contre les violences basées sur le genre et de tout autre appui nécessaire afin d’atteindre une autonomisation rapide et solide chez les détenteurs de droits de sexe féminin. Il vise également à apporter un soutien matériel et financier aux filles très vulnérables, notamment celles qui sont au lycée et au centre de formation professionnelle, afin qu’elles n’abandonnent pas l’école. Au lycée de Bermo, l’absence de tuteur ou de structure d’accueil est la deuxième cause d’abandon scolaire chez les filles, après les enlèvements et les mariages précoces.

  • Projet

    Dans le précédent projet de l’ASPEL sur la lutte contre  » l’enlèvement comme mode d’union  » de la jeune fille bororo et son maintien à l’école, il s’agissait de sensibiliser la communauté bororo sur les conséquences néfastes d’une pratique ancestrale qui perdure, et qui prive les jeunes filles bororo de leur droit à l’éducation.

    Il est à noter que cette pratique, qui est le mode d’union privilégié dans la communauté Bororo, était jusqu’à présent un tabou que personne n’osait aborder en termes de pratique rétrograde.

    En effet, la pratique prive les jeunes (filles et garçons) des opportunités d’éducation. C’est donc à cette pratique que l’ASPEL s’est attaquée en expliquant qu’elle constitue une contre-valeur et en appelant la communauté Bororo de Bermo à la rejeter purement et simplement pour aller vers le changement. Un défi réussi pour l’ONG ASPEL puisque durant la période 2019, 2020 et 2021, le projet a obtenu les résultats suivants :

    • 00 fille déscolarisée
    • 00 grossesse enregistrée chez les filles scolarisées au lycée de Bermo
    • 00 mariage enregistré parmi les filles scolarisées

    Lors de la session d’examen du BEPC 2020, 19 élèves de Bororo ont été admis au BEPC, dont 2 filles, portant ainsi le nombre d’étudiantes à 3, ce qui est un fait sans précédent dans la communauté.

    Le présent projet vise à consolider et pérenniser les actions menées par le précédent projet en renforçant davantage les capacités des détenteurs de droits et des différents acteurs (les autorités administratives et coutumières, les membres du bureau de la fédération des COGES de la commune, les leaders religieux et communautaires). Le projet vise à renforcer les capacités des détenteurs de droits de sexe féminin et des différents acteurs (autorités administratives et coutumières, les membres de la fédération des COGES de la commune, les leaders religieux et communautaires, les femmes leaders, les structures locales chargées de la pérennisation du projet) en matière de droits des femmes et des enfants, de plaidoyer, de mécanismes de lutte contre les violences basées sur le genre et de tout autre appui nécessaire afin d’atteindre une autonomisation rapide et solide chez les détenteurs de droits de sexe féminin. Il vise également à apporter un soutien matériel et financier aux filles très vulnérables, notamment celles qui sont au lycée et au centre de formation professionnelle, afin qu’elles n’abandonnent pas l’école. Au lycée de Bermo, l’absence de tuteur ou de structure d’accueil est la deuxième cause d’abandon scolaire chez les filles, après les enlèvements et les mariages précoces.

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