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  • Organisation

    UNA Tanzania a 55 ans d’expérience professionnelle : L’organisation a été créée pour défendre le mouvement populaire en faveur de programmes humains tels que les droits de l’homme, le développement économique et la liberté de chaque citoyen, quels que soient son mode de vie et ses choix. Notre histoire et notre expérience exceptionnelles remontent à 1964, et notre période la plus productive à 1996. Nous sommes fiers d’être l’un des premiers mouvements forts dirigés par des jeunes dans le pays. UNA Tanzania fait partie des organisations qui ont encouragé la création d’une commission des droits de l’homme et de la bonne gouvernance : L’Association des Nations Unies en Tanzanie a dirigé une équipe de 10 ONG pour rassembler l’opinion publique, participer à l’élaboration de la législation et faire pression sur le Parlement, en vue de la création d’une Commission des droits de l’homme et de la bonne gouvernance en Tanzanie. Cette institution est maintenant en activité depuis 2001. L’association est reconnue pour sa contribution à l’établissement du règlement de 2018, qui nomme explicitement le représentant de l’association lors du processus de sélection des commissaires et du président de la commission. Actuellement, UNA Tanzanie s’efforce d’atteindre les objectifs de développement durable à l’horizon 2030. Notre objectif est de réaliser les droits économiques, l’égalité et l’inclusion significative des détenteurs de droits susceptibles d’être laissés pour compte. Pour ce faire, nous nous attaquons au changement climatique, aux inégalités financières, à la pauvreté et aux lacunes en matière de compétences entrepreneuriales, et nous dirigeons les OSC dans l’examen et la mise en œuvre de cadres politiques et juridiques ciblant les droits des femmes, des jeunes et des personnes en situation de handicap.

    En 2020/2021, l’Association des Nations Unies en Tanzanie a organisé des consultations pour la contribution des jeunes au plan de développement quinquennal III, qui est le principal véhicule de développement pour les cinq prochaines années. Les consultations ont permis d’inclure la voix des jeunes dans le plan.

    • Organisation

      UNA Tanzania a 55 ans d’expérience professionnelle : L’organisation a été créée pour défendre le mouvement populaire en faveur de programmes humains tels que les droits de l’homme, le développement économique et la liberté de chaque citoyen, quels que soient son mode de vie et ses choix. Notre histoire et notre expérience exceptionnelles remontent à 1964, et notre période la plus productive à 1996. Nous sommes fiers d’être l’un des premiers mouvements forts dirigés par des jeunes dans le pays. UNA Tanzania fait partie des organisations qui ont encouragé la création d’une commission des droits de l’homme et de la bonne gouvernance : L’Association des Nations Unies en Tanzanie a dirigé une équipe de 10 ONG pour rassembler l’opinion publique, participer à l’élaboration de la législation et faire pression sur le Parlement, en vue de la création d’une Commission des droits de l’homme et de la bonne gouvernance en Tanzanie. Cette institution est maintenant en activité depuis 2001. L’association est reconnue pour sa contribution à l’établissement du règlement de 2018, qui nomme explicitement le représentant de l’association lors du processus de sélection des commissaires et du président de la commission. Actuellement, UNA Tanzanie s’efforce d’atteindre les objectifs de développement durable à l’horizon 2030. Notre objectif est de réaliser les droits économiques, l’égalité et l’inclusion significative des détenteurs de droits susceptibles d’être laissés pour compte. Pour ce faire, nous nous attaquons au changement climatique, aux inégalités financières, à la pauvreté et aux lacunes en matière de compétences entrepreneuriales, et nous dirigeons les OSC dans l’examen et la mise en œuvre de cadres politiques et juridiques ciblant les droits des femmes, des jeunes et des personnes en situation de handicap.

      En 2020/2021, l’Association des Nations Unies en Tanzanie a organisé des consultations pour la contribution des jeunes au plan de développement quinquennal III, qui est le principal véhicule de développement pour les cinq prochaines années. Les consultations ont permis d’inclure la voix des jeunes dans le plan.

    • Projet

      L’UNA Tanzanie veut réaliser le projet Vijana -Jukwaani (qui se traduit par « Les jeunes prennent la scène ») avec l’objectif général de favoriser la représentation et la participation des jeunes en influençant les processus de prise de décision du niveau local au niveau national en incarnant l’esprit de « rien sur nous, sans nous » en s’engageant de manière significative dans les processus de développement des plans annuels de développement. Le projet inspirera un dialogue et une action basés sur les faits et dirigés par les jeunes, du niveau communautaire aux plateformes nationales, tout en utilisant les plateformes de jeunes existantes à Mbeya, Mtwara, Mwanza, Arusha et Dodoma, en ciblant les groupes de jeunes les plus susceptibles d’être laissés pour compte, notamment les jeunes femmes et les jeunes handicapés.

      Les priorités des jeunes seront regroupées et réorientées pour créer des messages de plaidoyer qui alimenteront un dialogue stratégique entre les parlementaires et les jeunes, visant à informer les jeunes et à influencer le processus d’approbation au parlement et par le biais des dialogues nationaux des jeunes.

      Une évaluation du plan de développement annuel, qui est la principale stratégie de mise en œuvre du plan de développement quinquennal et de son budget subséquent, sera menée chaque année pour évaluer dans quelle mesure les priorités des jeunes ont été prises en compte et incluses, dans le plan et ses budgets, après que des messages clés de plaidoyer seront développés et diffusés tout au long de l’année, formant la base de référence pour le cycle suivant.

      Grâce aux dialogues stratégiques avec les parlementaires, les jeunes ont pu influencer les décisions et les contributions des membres du parlement en s’inspirant de leurs problèmes et priorités les plus critiques. Les jeunes femmes, en particulier celles qui se trouvent dans les situations les plus marginalisées, comme les jeunes mères, se font l’écho des dialogues et influencent le développement des plans annuels de développement. Les plans de développement annuels et les budgets subséquents répondent aux besoins et aux priorités des jeunes grâce aux engagements et au plaidoyer.

  • Projet

    L’UNA Tanzanie veut réaliser le projet Vijana -Jukwaani (qui se traduit par « Les jeunes prennent la scène ») avec l’objectif général de favoriser la représentation et la participation des jeunes en influençant les processus de prise de décision du niveau local au niveau national en incarnant l’esprit de « rien sur nous, sans nous » en s’engageant de manière significative dans les processus de développement des plans annuels de développement. Le projet inspirera un dialogue et une action basés sur les faits et dirigés par les jeunes, du niveau communautaire aux plateformes nationales, tout en utilisant les plateformes de jeunes existantes à Mbeya, Mtwara, Mwanza, Arusha et Dodoma, en ciblant les groupes de jeunes les plus susceptibles d’être laissés pour compte, notamment les jeunes femmes et les jeunes handicapés.

    Les priorités des jeunes seront regroupées et réorientées pour créer des messages de plaidoyer qui alimenteront un dialogue stratégique entre les parlementaires et les jeunes, visant à informer les jeunes et à influencer le processus d’approbation au parlement et par le biais des dialogues nationaux des jeunes.

    Une évaluation du plan de développement annuel, qui est la principale stratégie de mise en œuvre du plan de développement quinquennal et de son budget subséquent, sera menée chaque année pour évaluer dans quelle mesure les priorités des jeunes ont été prises en compte et incluses, dans le plan et ses budgets, après que des messages clés de plaidoyer seront développés et diffusés tout au long de l’année, formant la base de référence pour le cycle suivant.

    Grâce aux dialogues stratégiques avec les parlementaires, les jeunes ont pu influencer les décisions et les contributions des membres du parlement en s’inspirant de leurs problèmes et priorités les plus critiques. Les jeunes femmes, en particulier celles qui se trouvent dans les situations les plus marginalisées, comme les jeunes mères, se font l’écho des dialogues et influencent le développement des plans annuels de développement. Les plans de développement annuels et les budgets subséquents répondent aux besoins et aux priorités des jeunes grâce aux engagements et au plaidoyer.

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