MCNV a été fondée en 1968 et a été d’abord active au Vietnam. MCNV a des bureaux au Vietnam, au Laos et aux Pays-Bas, avec des membres du personnel vietnamien et laotien et des experts hollandais. L’objectif principal de MNCV est d’aider les populations marginalisées des pays d’Asie du sud-est en transition à avoir un accès plus équitable aux facteurs qui influent sur la santé, tels que les soins de santé primaires, l’emploi, l’éducation et la sécurité alimentaire. MCNV vise des programmes dans lesquels la santé et le bien-être sont abordés en combinaison avec des questions de développement telles que l’eau potable et l’assainissement, les moyens de subsistance, l’accès au crédit et la protection de l’environnement. Parallèlement à la mise en œuvre du programme, MCNV documente et diffuse les connaissances sur les approches qui peuvent être adaptées et adoptées par des individus, des groupes et institutions se situant au-delà des limites des programmes. À ce jour, MCNV a appuyé plus de 300 organisations communautaires au Vietnam et au Laos. Ces organisations travaillent sur le handicap, l’âge, les moyens de subsistance, l’entrepreneuriat et le VIH/sida.

Ce projet réalisera des recherches actions visant à explorer le potentiel d’utiliser des méthodes de communication novatrices telles que les chansons, la danse, le théâtre et la vidéo participative pour le changement de comportement des pairs et la promotion de la santé sexuelle et reproductive et droits pour les jeunes groupes au Laos. Dans différents contextes, les participants partageront et s’exprimeront. Par conséquent, l’une des principales questions d’apprentissage auxquelles le projet a l’intention de répondre est de savoir comment ICM contribue à l’autonomisation de différents jeunes vulnérables et de leurs groupes d’intérêt dans le domaine de la SSR au Laos, et si ce n’est pas le cas, pourquoi pas ?

Ce projet est inspiré par une utilisation réussie de l’ICM au Vietnam dans un large éventail de programmes pour les groupes ethniques minoritaires qui ont surmonté leur timidité et amélioré leur estime de soi. En conséquence, les groupes sont devenus plus vocaux dans le partage et l’apprentissage local, mais aussi dans leur engagement avec les décideurs locaux pour faire entendre leur voix.

• Comment l’utilisation de méthodes de communication novatrices contribue-t-elle à l’autonomisation de différents jeunes vulnérables et de leurs groupes d’intérêt dans le domaine de la SRHR. Si non, pourquoi pas?
• Comment l’utilisation de l’ICM facilite-t-elle l’apprentissage intra et inter-organisationnel, sinon, expliquer comment l’apprentissage se fait?
• Comment ICM aide-t-il à faire entendre la voix des personnes défavorisées auprès des décideurs politiques et aux lieux et aux personnes où les décisions sont prises, sinon, pourquoi pas?
• Comment l’ICM connecte-t-elle les décideurs et les groupes de jeunes défavorisés. Expliquez pourquoi pas s’il n’y a pas de connexion?
• Comment l’utilisation de l’ICM influence-t-elle les changements de comportement dans les SRHR des groupes cibles eux-mêmes, les décideurs politiques?