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  • Organisation

    La VISION d’ULIKID est de mettre en place un centre holistique pour les enfants en situation de handicap (CWDs) qui s’occupe de la croissance, du développement et de l’autonomisation des enfants en situation de handicap (CWDs) ; ainsi que de la formation de leurs familles pour qu’elles soient autonomes et productives dans la société et puissent tirer profit de leur meilleur potentiel,

    La MISSION d’Ulikid est de fournir des programmes et des services appropriés d’autonomisation, de réadaptation et de développement afin de permettre aux enfants en situation de handicap et à leurs familles d’être indépendants et de devenir des membres actifs de la société.

    Les enfants en situation de handicap (CWD) et leurs familles ont été aidés et certains de leurs besoins ont été pris en compte. À l’époque, les régions couvertes ne concernaient que sept (7) barangays des districts de Molo et d’Arevalo, qui étaient sous la responsabilité de la paroisse de Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse à Calumpang, Molo, Iloilo City. Il y avait quatre-vingt-treize (93) membres pionniers. De nos jours, le nombre de membres a augmenté, avec cent cinquante (150) membres actifs sur un total de trois cent vingt (320) membres. Cinquante (50) d’entre eux sont inscrits à l’éducation non formelle (ENF). Vingt-trois (23) d’entre eux sont déjà intégrés dans les écoles publiques d’éducation spéciale (SpEd) et les écoles ordinaires de la ville. Les autres travaillent à domicile tandis que d’autres encore utilisent les compétences qui leur ont été transmises au fil des ans.

    • Organisation

      La VISION d’ULIKID est de mettre en place un centre holistique pour les enfants en situation de handicap (CWDs) qui s’occupe de la croissance, du développement et de l’autonomisation des enfants en situation de handicap (CWDs) ; ainsi que de la formation de leurs familles pour qu’elles soient autonomes et productives dans la société et puissent tirer profit de leur meilleur potentiel,

      La MISSION d’Ulikid est de fournir des programmes et des services appropriés d’autonomisation, de réadaptation et de développement afin de permettre aux enfants en situation de handicap et à leurs familles d’être indépendants et de devenir des membres actifs de la société.

      Les enfants en situation de handicap (CWD) et leurs familles ont été aidés et certains de leurs besoins ont été pris en compte. À l’époque, les régions couvertes ne concernaient que sept (7) barangays des districts de Molo et d’Arevalo, qui étaient sous la responsabilité de la paroisse de Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse à Calumpang, Molo, Iloilo City. Il y avait quatre-vingt-treize (93) membres pionniers. De nos jours, le nombre de membres a augmenté, avec cent cinquante (150) membres actifs sur un total de trois cent vingt (320) membres. Cinquante (50) d’entre eux sont inscrits à l’éducation non formelle (ENF). Vingt-trois (23) d’entre eux sont déjà intégrés dans les écoles publiques d’éducation spéciale (SpEd) et les écoles ordinaires de la ville. Les autres travaillent à domicile tandis que d’autres encore utilisent les compétences qui leur ont été transmises au fil des ans.

    • Projet

      Titre du projet : PWDs Soar High ! Dénombrés et bénéficiant d’assistance grâce à des partenariats durables et la productivité économique (CASPEP en anglais)

      La pandémie de Covid-19 a fortement influencé l’élaboration de la présente proposition de projet. Ulikid Parents Organization Inc. adhère et est en accord avec le document du Haut-Commissariat aux Droits de l’Homme (ONU) sur le COVID-19 et les droits des personnes en situation de handicap. Il s’agit de la directive qui stipule que les personnes en situation de handicap sont touchées de manière disproportionnée par les barrières comportementales, environnementales et institutionnelles mises en place dans le cadre de la réponse au COVID-19. Le changement radical provoqué par la propagation du virus a frappé le groupe le plus vulnérable : les jeunes vulnérables qui sont également en situation de handicap. L’intersectionnalité de ce groupe aggrave encore les conditions touchant un groupe de la société déjà marginalisé. Les problèmes et les préoccupations qu’ils avaient avant la pandémie sont encore exacerbés, ce qui immobilise certains d’entre eux et les prive de tout espace – tant physique que mental – pour libérer leurs énergies.

      La pandémie a littéralement paralysé les jeunes en situation de handicap. De récentes discussions informelles menées par Ulikid avec des familles de personnes en situation de handicap ont révélé ce qui suit :

      1. L’assistance économique : seuls 50% des personnes en situation de handicap ont reçu des fonds du Plan d’amélioration sociale du gouvernement, principalement parce que les données relatives aux personnes en situation de handicap ne sont pas mises à jour. Ainsi, seules les personnes possédant une carte d’identité de handicapé ont reçu des fonds ;
      2. Sur les données relatives aux personnes en situation de handicap : celles-ci ne sont pas mises à jour parce que : a. la plupart des fonctionnaires de Barangay n’ont pas assez de connaissances par rapport à l’importance des données sur les personnes en situation de handicap pour leurs plans de développement, et cela est basé sur les faits fournis par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Nations Unies (ONU) ; b. le ministère de l’Intérieur et en charge des gouvernements locaux (DILG) est mandaté pour créer un Bureau des personnes en situation de handicap au niveau du Barangay (PDAO), à travers la création d’organisations de Barangay pour les personnes en situation de handicap. Cela n’a pas été mis en œuvre avec rigueur ; c. les agents de santé des barangays (BHW) et les spécialistes de la nutrition des barangays (BNS) ne sont pas formés pour détecter les signes et symptômes des différents types de handicaps physiques et mentaux. Même les recenseurs de l’Autorité philippine de la statistique (PSA) pour le recensement national de 2020 n’ont compté que les handicaps physiques et n’ont pas tenu compte des autres types de handicaps ; d. Les Philippins indigents/pauvres qui ne peuvent pas payer une session auprès d’un spécialiste du développement pour obtenir un résumé médical correct, ne sont donc pas enregistrés et considérés comme des personnes en situation de handicap ; e. le manque de connaissances de la plupart des parents/tuteurs économiquement marginalisés sur les signes et symptômes des différents handicaps ; et f. la honte qu’éprouve la famille. (certaines familles ne veulent pas se montrer au grand jour, par crainte de ne pas être acceptées).
      3. Sur la santé : à l’heure actuelle, toutes les personnes en situation de handicap n’ont pas été vaccinées, car la vaccination est basée sur les personnes qui ont été répertoriées et/ou celles qui sont mandatées pour se faire vacciner, comme celles qui travaillent dans le gouvernement ou les institutions médicales. Certaines personnes en situation de handicap hésitent à se faire vacciner car elles manquent de connaissances claires sur les vaccins administrés. Certaines d’entre elles affirment qu’il n’y a aucune information sur les effets indésirables ou les essais cliniques auxquels elles ont participé ;
      4. Sur l’éducation : il n’y a pas de modules spéciaux (spécialisés/modifiés) pour les étudiants en situation de handicap, qui soient institutionnalisés par une agence, qu’elle soit privée ou gouvernementale. Ceci est vrai, en particulier pour les étudiants en situation de handicap qui sont inscrits dans l’enseignement ordinaire (enseignement scolaire normal). Ces étudiants sont obligés de suivre les directives, les politiques et les protocoles des écoles, quel que soit leur handicap (qu’il soit connu/diagnostiqué ou non). Ils sont alors classés en fonction de leurs capacités, de leurs compétences, de leurs comportements, de leurs attitudes et de leur compréhension, sans tenir compte de la condition sous-jacente de la personne concernée. Quant à ces centres spécialisés, ils disposent de leur propre matériel pédagogique et de leurs propres stratégies de gestion pour les personnes en situation de handicap.
      5. Le droit de suffrage : en prévision des élections nationales de 2022, le manque de données sur le nombre exact et le type de handicaps au niveau local empêchera certaines personnes en situation de handicap physiques de voter à cause des difficultés que ces personnes ont à monter les escaliers pour se rendre à leur bureau de vote, etc.
  • Projet

    Titre du projet : PWDs Soar High ! Dénombrés et bénéficiant d’assistance grâce à des partenariats durables et la productivité économique (CASPEP en anglais)

    La pandémie de Covid-19 a fortement influencé l’élaboration de la présente proposition de projet. Ulikid Parents Organization Inc. adhère et est en accord avec le document du Haut-Commissariat aux Droits de l’Homme (ONU) sur le COVID-19 et les droits des personnes en situation de handicap. Il s’agit de la directive qui stipule que les personnes en situation de handicap sont touchées de manière disproportionnée par les barrières comportementales, environnementales et institutionnelles mises en place dans le cadre de la réponse au COVID-19. Le changement radical provoqué par la propagation du virus a frappé le groupe le plus vulnérable : les jeunes vulnérables qui sont également en situation de handicap. L’intersectionnalité de ce groupe aggrave encore les conditions touchant un groupe de la société déjà marginalisé. Les problèmes et les préoccupations qu’ils avaient avant la pandémie sont encore exacerbés, ce qui immobilise certains d’entre eux et les prive de tout espace – tant physique que mental – pour libérer leurs énergies.

    La pandémie a littéralement paralysé les jeunes en situation de handicap. De récentes discussions informelles menées par Ulikid avec des familles de personnes en situation de handicap ont révélé ce qui suit :

    1. L’assistance économique : seuls 50% des personnes en situation de handicap ont reçu des fonds du Plan d’amélioration sociale du gouvernement, principalement parce que les données relatives aux personnes en situation de handicap ne sont pas mises à jour. Ainsi, seules les personnes possédant une carte d’identité de handicapé ont reçu des fonds ;
    2. Sur les données relatives aux personnes en situation de handicap : celles-ci ne sont pas mises à jour parce que : a. la plupart des fonctionnaires de Barangay n’ont pas assez de connaissances par rapport à l’importance des données sur les personnes en situation de handicap pour leurs plans de développement, et cela est basé sur les faits fournis par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Nations Unies (ONU) ; b. le ministère de l’Intérieur et en charge des gouvernements locaux (DILG) est mandaté pour créer un Bureau des personnes en situation de handicap au niveau du Barangay (PDAO), à travers la création d’organisations de Barangay pour les personnes en situation de handicap. Cela n’a pas été mis en œuvre avec rigueur ; c. les agents de santé des barangays (BHW) et les spécialistes de la nutrition des barangays (BNS) ne sont pas formés pour détecter les signes et symptômes des différents types de handicaps physiques et mentaux. Même les recenseurs de l’Autorité philippine de la statistique (PSA) pour le recensement national de 2020 n’ont compté que les handicaps physiques et n’ont pas tenu compte des autres types de handicaps ; d. Les Philippins indigents/pauvres qui ne peuvent pas payer une session auprès d’un spécialiste du développement pour obtenir un résumé médical correct, ne sont donc pas enregistrés et considérés comme des personnes en situation de handicap ; e. le manque de connaissances de la plupart des parents/tuteurs économiquement marginalisés sur les signes et symptômes des différents handicaps ; et f. la honte qu’éprouve la famille. (certaines familles ne veulent pas se montrer au grand jour, par crainte de ne pas être acceptées).
    3. Sur la santé : à l’heure actuelle, toutes les personnes en situation de handicap n’ont pas été vaccinées, car la vaccination est basée sur les personnes qui ont été répertoriées et/ou celles qui sont mandatées pour se faire vacciner, comme celles qui travaillent dans le gouvernement ou les institutions médicales. Certaines personnes en situation de handicap hésitent à se faire vacciner car elles manquent de connaissances claires sur les vaccins administrés. Certaines d’entre elles affirment qu’il n’y a aucune information sur les effets indésirables ou les essais cliniques auxquels elles ont participé ;
    4. Sur l’éducation : il n’y a pas de modules spéciaux (spécialisés/modifiés) pour les étudiants en situation de handicap, qui soient institutionnalisés par une agence, qu’elle soit privée ou gouvernementale. Ceci est vrai, en particulier pour les étudiants en situation de handicap qui sont inscrits dans l’enseignement ordinaire (enseignement scolaire normal). Ces étudiants sont obligés de suivre les directives, les politiques et les protocoles des écoles, quel que soit leur handicap (qu’il soit connu/diagnostiqué ou non). Ils sont alors classés en fonction de leurs capacités, de leurs compétences, de leurs comportements, de leurs attitudes et de leur compréhension, sans tenir compte de la condition sous-jacente de la personne concernée. Quant à ces centres spécialisés, ils disposent de leur propre matériel pédagogique et de leurs propres stratégies de gestion pour les personnes en situation de handicap.
    5. Le droit de suffrage : en prévision des élections nationales de 2022, le manque de données sur le nombre exact et le type de handicaps au niveau local empêchera certaines personnes en situation de handicap physiques de voter à cause des difficultés que ces personnes ont à monter les escaliers pour se rendre à leur bureau de vote, etc.
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