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  • Organisation

    Gulu women economic development & globalization (GWED-G) a été créé par des citoyennes des communautés du nord de l’Ouganda qui ont subi les conséquences de la guerre de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) en 2004. Au cours des 14 dernières années, GWED-G est devenu un leader reconnu en matière de droits de l’homme et de gouvernance dans la région, tant au niveau national que mondial. Le GWED-G a développé son premier plan stratégique en 2009. Il dispose d’un système de comptabilité solide et a fait l’objet d’audits internes et externes par des sociétés réputées telles qu’Ernest and Young, KPMG et Deloitte. Au cours des 14 dernières années, l’organisation a également attiré des bailleurs de fonds internationaux prestigieux tels que l’UE, l’USAID, l’ICC -TFV, le Fonds international de développement (FID), l’Open Society Foundation (OSF), la DGF, l’American Jewish Society (AJW) et Amnesty International. Le premier conseil d’administration a été constitué en 2004. Le GWED-G a depuis lors un conseil d’administration actif qui se réunit tous les trimestres et assure la supervision technique de l’organisation. Il dispose de politiques et de règlements financiers et opérationnels bien élaborés. Le conseil d’administration et le leadership au sein du GWED-G sont essentiellement composés de femmes et la plupart de ses programmes d’intervention sont axés sur le soutien aux femmes et aux filles, aux garçons et aux hommes, avec une sensibilité à l’égalité des sexes et aux programmes d’autonomisation des femmes.

    Les réalisations :
    Quels ont été les principaux résultats obtenus au cours des trois dernières années qui contribuent à une amélioration significative, structurelle, durable et positive de la vie des hommes, des femmes, des filles et des garçons souffrant de pauvreté, d’injustice, d’insécurité et d’exclusion ?

    • La toute première conférence annuelle des femmes, à laquelle ont participé 250 citoyennes des communautés;
    • La création de 600 groupes de solidarité VSLA de femmes, dont 90 ont construit des maisons permanentes avec des toits en tôle et des briques, avec des titres fonciers à leurs noms, 107 membres des groupes d’impact ont obtenu l’accès, le contrôle et la propriété de leurs terres qui leur avaient été arrachées par des membres de leur famille et de leur clan.
    • Le renforcement des capacités de 45 leaders culturels qui participent à la promotion de la médiation foncière à travers la résolution alternative des conflits (ADR) dans les districts de Gulu, Amuru, Omoro et Nwoya. Cela a permis d’améliorer l’accès aux droits fonciers des personnes vulnérables, notamment les femmes et les enfants.
    • Le GWEDG a contribué à influencer cinq politiques de district à travers des ordonnances locales (par exemple, les ordonnances sur la violence sexuelle et basée sur le genre, les ordonnances sur les boissons alcoolisées, les ordonnances sur l’hygiène et l’assainissement, les ordonnances sur l’éducation, les ordonnances sur la sécurité alimentaire et les moyens de subsistance, etc.).
    • La participation accrue des femmes à diverses plateformes de leadership et de prise de décision. (Par exemple, les conseillers aux niveaux du district et de la paroisse, les postes de CDO, les directeurs d’école, etc.).
    • La sensibilisation et la conscientisation au niveau communautaire sur les droits de l’homme et les questions foncières dans les communautés et sur les stations de radio FM locales;
    • L’amélioration de l’accès aux services de santé reproductive pour les jeunes femmes et les filles;
    • La promotion de la tolérance zéro à l’égard de la violence sexuelle et basée sur le genre à travers des approches de prévention et de réponse, en utilisant la stratégie SASA et en travaillant avec des activistes communautaires (CAT) et des hommes modèles (RMM). Plus de 275 000 personnes ont été sensibilisées grâce à ces approches. La réduction du nombre de grossesses chez les adolescentes et de l’abandon scolaire des filles grâce à la sensibilisation à la santé sexuelle et reproductive dans les écoles.
    • Le renforcement des capacités des groupes de femmes et d’hommes dans l’identification, la sélection et la planification des activités génératrices de revenus (AGR), l’alphabétisation financière, l’alphabétisation fonctionnelle des adultes et la gestion des associations rotatives d’épargne et de crédit avec 6 633 femmes engagées comme PME, 1225 femmes entrepreneures agricoles.
    • 80 Chirurgies réparatrices pour les victimes de la guerre.

    L’objectif institutionnel :
    La vision : Une société juste en termes de genre, où les femmes et les hommes, les garçons et les filles de l’Ouganda du Nord d’après conflit peuvent atteindre leur plein potentiel, jouir de leurs droits humains et vivre dans une paix et une prospérité totales.

    Déclaration de mission : le GWED-G existe pour autonomiser les femmes et les filles.

    Le GWED-G cherche à réaliser cette mission grâce à une capacité institutionnelle et technique solide, en construisant un modèle communautaire fort pour l’autonomisation des femmes, des partenariats stratégiques et opérationnels solides, la gestion des connaissances et la mobilisation des ressources.

    La mission : Quel est l’objectif actuel de l’organisation ?

    Le GWED-G cherche à autonomiser les femmes et les filles afin qu’elles puissent jouir de leurs droits humains fondamentaux et vivre dans la dignité.Les Objectifs institutionnels : Quels sont les principaux changements que l’organisation cherche à obtenir à long terme?
     

    1. Créer l’Agence des femmes et des filles pour qu’elles puissent revendiquer leurs droits fonciers et de propriété, et coexister valablement avec leurs semblables hommes sur les terres disponibles pour assurer leur subsistance;
    2. Aux niveaux de la communauté, du district et du pays, faire le plaidoyer pour la création d’un environnement de justice transitionnelle et de consolidation de la paix tenant compte du genre, axé sur les droits de l’homme, inclusif et socialement responsable, au bénéfice de tous les habitants du nord de l’Ouganda;
    3. Renforcer les structures et les systèmes de protection, de sûreté et de sécurité des femmes et des filles contre toutes les formes de violence, en particulier la violence sexuelle et celle basée sur le genre;
    4. Permettre aux femmes d’exercer leurs droits économiques et civiques afin de participer de manière significative aux processus et activités démocratiques de leur pays;
    5. Renforcer les capacités institutionnelles et organisationnelles du GWED-G afin qu’il puisse accomplir ses principaux mandats de manière efficace et efficiente.

    Le (s) domaine (s) d’activité : Quels sont les principaux domaines thématiques et géographiques dans lesquels l’organisation travaille ? Qui sont les acteurs sociaux qui bénéficient du travail de l’organisation?
    Les principaux domaines thématiques de notre programme sont les suivants : l’égalité des genres et les programmes d’autonomisation des femmes dans la région d’après conflit du nord de l’Ouganda ; la recherche sociale et le plaidoyer concernant les objectifs de développement liés aux femmes ; les programmes de subsistance et de sécurité alimentaire pour les femmes et les jeunes ; la consolidation de la paix et de la justice transitionnelle pour les communautés touchées par la guerre dans le nord de l’Ouganda ; les moyens de subsistance et la sécurité alimentaire (autonomisation économique) pour la santé des femmes et des jeunes, plus particulièrement les droits des adolescentes en matière de santé reproductive, la santé maternelle et infantile et le VIH/sida, ; la promotion de l’éducation pour les filles ; le développement institutionnel et organisationnel du GWED-G.

    Détenteurs de droits/ Partenaires

    • Les femmes sans défense (victimes de la guerre, les femmes en situation de handicap, les femmes vivant avec le VIH/sida, les femmes ayant été victimes de kidnapping, survivantes de violences sexuelles, veuves, les femmes sans terre)
    • Les femmes leaders élues et nommées
    • Les filles scolarisées et non scolarisées
    • Les hommes et les garçons

    Zones d’opération
    – Acholi Ouest (Gulu, Amuru, Nwoya and Omoro)
    – Acholi Est (Kitgum, Lamwo, Agago, Pader)

    POSITIONNEMENT STRATEGIQUE

    Comment analyser l’environnement dans lequel l’organisation travaille ?

    Qui sont les autres acteurs sociaux concernés, y compris le gouvernement et les entreprises, et quels rôles jouent-ils ?

    Dans ce contexte, qu’est-ce qui rend unique la position de l’organisation ?

    Le GWED-G a mis en œuvre quatre programmes majeurs sur les droits de l’homme et l’autonomisation des femmes. Parallèlement, l’organisation a mis en œuvre des programmes à long terme sur l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes en tant que niche. Au cours des 3 dernières années, le GWED-G a mis en œuvre des programmes de défense des droits fonciers pour les individus et les groupes vulnérables dans la région d’après le conflit d’Acholi. Le GWED-G a contribué à renforcer les organisations légitimes et responsables de la société civile. Ainsi, l’organisation comprend les contextes dans lesquels ce projet sera mis en œuvre. Nous avons renforcé les capacités locales à travers plus de 600 groupes de femmes et 420 groupes de jeunes, institutionnalisé et soutenu une expertise interne qui est bien adaptée pour entreprendre des engagements similaires. Au fil des ans, le GWED-G a expérimenté et approuvé plusieurs approches utiles, notamment les hommes modèles et les hommes engagés dans la défense des droits des femmes, l’Association villageoise d’épargne et de crédit comme stratégie de mobilisation pour que la communauté s’engage sur des questions transversales, notamment le leadership et la gouvernance démocratique.

    L’organisation a signé des protocoles d’accord avec quatre gouvernements locaux, et a aussi noué de bonnes relations de travail.

    Nous accueillons le partenariat des droits de l’homme du Nord de l’Ouganda, un membre du réseau des femmes ougandaises, un membre du comité de direction des défenseurs des droits de l’homme des femmes en Ouganda. Le GWED-G a une forte présence physique dans le nord de l’Ouganda ainsi qu’au niveau international.

    • Organisation

      Gulu women economic development & globalization (GWED-G) a été créé par des citoyennes des communautés du nord de l’Ouganda qui ont subi les conséquences de la guerre de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) en 2004. Au cours des 14 dernières années, GWED-G est devenu un leader reconnu en matière de droits de l’homme et de gouvernance dans la région, tant au niveau national que mondial. Le GWED-G a développé son premier plan stratégique en 2009. Il dispose d’un système de comptabilité solide et a fait l’objet d’audits internes et externes par des sociétés réputées telles qu’Ernest and Young, KPMG et Deloitte. Au cours des 14 dernières années, l’organisation a également attiré des bailleurs de fonds internationaux prestigieux tels que l’UE, l’USAID, l’ICC -TFV, le Fonds international de développement (FID), l’Open Society Foundation (OSF), la DGF, l’American Jewish Society (AJW) et Amnesty International. Le premier conseil d’administration a été constitué en 2004. Le GWED-G a depuis lors un conseil d’administration actif qui se réunit tous les trimestres et assure la supervision technique de l’organisation. Il dispose de politiques et de règlements financiers et opérationnels bien élaborés. Le conseil d’administration et le leadership au sein du GWED-G sont essentiellement composés de femmes et la plupart de ses programmes d’intervention sont axés sur le soutien aux femmes et aux filles, aux garçons et aux hommes, avec une sensibilité à l’égalité des sexes et aux programmes d’autonomisation des femmes.

      Les réalisations :
      Quels ont été les principaux résultats obtenus au cours des trois dernières années qui contribuent à une amélioration significative, structurelle, durable et positive de la vie des hommes, des femmes, des filles et des garçons souffrant de pauvreté, d’injustice, d’insécurité et d’exclusion ?

      • La toute première conférence annuelle des femmes, à laquelle ont participé 250 citoyennes des communautés;
      • La création de 600 groupes de solidarité VSLA de femmes, dont 90 ont construit des maisons permanentes avec des toits en tôle et des briques, avec des titres fonciers à leurs noms, 107 membres des groupes d’impact ont obtenu l’accès, le contrôle et la propriété de leurs terres qui leur avaient été arrachées par des membres de leur famille et de leur clan.
      • Le renforcement des capacités de 45 leaders culturels qui participent à la promotion de la médiation foncière à travers la résolution alternative des conflits (ADR) dans les districts de Gulu, Amuru, Omoro et Nwoya. Cela a permis d’améliorer l’accès aux droits fonciers des personnes vulnérables, notamment les femmes et les enfants.
      • Le GWEDG a contribué à influencer cinq politiques de district à travers des ordonnances locales (par exemple, les ordonnances sur la violence sexuelle et basée sur le genre, les ordonnances sur les boissons alcoolisées, les ordonnances sur l’hygiène et l’assainissement, les ordonnances sur l’éducation, les ordonnances sur la sécurité alimentaire et les moyens de subsistance, etc.).
      • La participation accrue des femmes à diverses plateformes de leadership et de prise de décision. (Par exemple, les conseillers aux niveaux du district et de la paroisse, les postes de CDO, les directeurs d’école, etc.).
      • La sensibilisation et la conscientisation au niveau communautaire sur les droits de l’homme et les questions foncières dans les communautés et sur les stations de radio FM locales;
      • L’amélioration de l’accès aux services de santé reproductive pour les jeunes femmes et les filles;
      • La promotion de la tolérance zéro à l’égard de la violence sexuelle et basée sur le genre à travers des approches de prévention et de réponse, en utilisant la stratégie SASA et en travaillant avec des activistes communautaires (CAT) et des hommes modèles (RMM). Plus de 275 000 personnes ont été sensibilisées grâce à ces approches. La réduction du nombre de grossesses chez les adolescentes et de l’abandon scolaire des filles grâce à la sensibilisation à la santé sexuelle et reproductive dans les écoles.
      • Le renforcement des capacités des groupes de femmes et d’hommes dans l’identification, la sélection et la planification des activités génératrices de revenus (AGR), l’alphabétisation financière, l’alphabétisation fonctionnelle des adultes et la gestion des associations rotatives d’épargne et de crédit avec 6 633 femmes engagées comme PME, 1225 femmes entrepreneures agricoles.
      • 80 Chirurgies réparatrices pour les victimes de la guerre.

      L’objectif institutionnel :
      La vision : Une société juste en termes de genre, où les femmes et les hommes, les garçons et les filles de l’Ouganda du Nord d’après conflit peuvent atteindre leur plein potentiel, jouir de leurs droits humains et vivre dans une paix et une prospérité totales.

      Déclaration de mission : le GWED-G existe pour autonomiser les femmes et les filles.

      Le GWED-G cherche à réaliser cette mission grâce à une capacité institutionnelle et technique solide, en construisant un modèle communautaire fort pour l’autonomisation des femmes, des partenariats stratégiques et opérationnels solides, la gestion des connaissances et la mobilisation des ressources.

      La mission : Quel est l’objectif actuel de l’organisation ?

      Le GWED-G cherche à autonomiser les femmes et les filles afin qu’elles puissent jouir de leurs droits humains fondamentaux et vivre dans la dignité.Les Objectifs institutionnels : Quels sont les principaux changements que l’organisation cherche à obtenir à long terme?
       

      1. Créer l’Agence des femmes et des filles pour qu’elles puissent revendiquer leurs droits fonciers et de propriété, et coexister valablement avec leurs semblables hommes sur les terres disponibles pour assurer leur subsistance;
      2. Aux niveaux de la communauté, du district et du pays, faire le plaidoyer pour la création d’un environnement de justice transitionnelle et de consolidation de la paix tenant compte du genre, axé sur les droits de l’homme, inclusif et socialement responsable, au bénéfice de tous les habitants du nord de l’Ouganda;
      3. Renforcer les structures et les systèmes de protection, de sûreté et de sécurité des femmes et des filles contre toutes les formes de violence, en particulier la violence sexuelle et celle basée sur le genre;
      4. Permettre aux femmes d’exercer leurs droits économiques et civiques afin de participer de manière significative aux processus et activités démocratiques de leur pays;
      5. Renforcer les capacités institutionnelles et organisationnelles du GWED-G afin qu’il puisse accomplir ses principaux mandats de manière efficace et efficiente.

      Le (s) domaine (s) d’activité : Quels sont les principaux domaines thématiques et géographiques dans lesquels l’organisation travaille ? Qui sont les acteurs sociaux qui bénéficient du travail de l’organisation?
      Les principaux domaines thématiques de notre programme sont les suivants : l’égalité des genres et les programmes d’autonomisation des femmes dans la région d’après conflit du nord de l’Ouganda ; la recherche sociale et le plaidoyer concernant les objectifs de développement liés aux femmes ; les programmes de subsistance et de sécurité alimentaire pour les femmes et les jeunes ; la consolidation de la paix et de la justice transitionnelle pour les communautés touchées par la guerre dans le nord de l’Ouganda ; les moyens de subsistance et la sécurité alimentaire (autonomisation économique) pour la santé des femmes et des jeunes, plus particulièrement les droits des adolescentes en matière de santé reproductive, la santé maternelle et infantile et le VIH/sida, ; la promotion de l’éducation pour les filles ; le développement institutionnel et organisationnel du GWED-G.

      Détenteurs de droits/ Partenaires

      • Les femmes sans défense (victimes de la guerre, les femmes en situation de handicap, les femmes vivant avec le VIH/sida, les femmes ayant été victimes de kidnapping, survivantes de violences sexuelles, veuves, les femmes sans terre)
      • Les femmes leaders élues et nommées
      • Les filles scolarisées et non scolarisées
      • Les hommes et les garçons

      Zones d’opération
      – Acholi Ouest (Gulu, Amuru, Nwoya and Omoro)
      – Acholi Est (Kitgum, Lamwo, Agago, Pader)

      POSITIONNEMENT STRATEGIQUE

      Comment analyser l’environnement dans lequel l’organisation travaille ?

      Qui sont les autres acteurs sociaux concernés, y compris le gouvernement et les entreprises, et quels rôles jouent-ils ?

      Dans ce contexte, qu’est-ce qui rend unique la position de l’organisation ?

      Le GWED-G a mis en œuvre quatre programmes majeurs sur les droits de l’homme et l’autonomisation des femmes. Parallèlement, l’organisation a mis en œuvre des programmes à long terme sur l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes en tant que niche. Au cours des 3 dernières années, le GWED-G a mis en œuvre des programmes de défense des droits fonciers pour les individus et les groupes vulnérables dans la région d’après le conflit d’Acholi. Le GWED-G a contribué à renforcer les organisations légitimes et responsables de la société civile. Ainsi, l’organisation comprend les contextes dans lesquels ce projet sera mis en œuvre. Nous avons renforcé les capacités locales à travers plus de 600 groupes de femmes et 420 groupes de jeunes, institutionnalisé et soutenu une expertise interne qui est bien adaptée pour entreprendre des engagements similaires. Au fil des ans, le GWED-G a expérimenté et approuvé plusieurs approches utiles, notamment les hommes modèles et les hommes engagés dans la défense des droits des femmes, l’Association villageoise d’épargne et de crédit comme stratégie de mobilisation pour que la communauté s’engage sur des questions transversales, notamment le leadership et la gouvernance démocratique.

      L’organisation a signé des protocoles d’accord avec quatre gouvernements locaux, et a aussi noué de bonnes relations de travail.

      Nous accueillons le partenariat des droits de l’homme du Nord de l’Ouganda, un membre du réseau des femmes ougandaises, un membre du comité de direction des défenseurs des droits de l’homme des femmes en Ouganda. Le GWED-G a une forte présence physique dans le nord de l’Ouganda ainsi qu’au niveau international.

    • Projet

      Strengthening Participation and Accountability through Community Engagement (SPACE) est un projet qui vise à renforcer l’autonomie et à encourager une participation politique sérieuse des groupes marginalisés en vue d’accroître leur participation active aux processus de prise de décision et de consolider les demandes pour la redevabilité et l’efficacité des décideurs par rapport au développement communautaire, y compris la fourniture de services adaptés. SPACE entend placer les femmes, les jeunes et les personnes en situation de handicap (PWD) au premier plan de son initiative afin de s’assurer que leurs besoins et leurs voix conduisent la prise de décision en matière de politique et de planification. Le projet SPACE renforcera l’action des femmes pour transformer les normes socioculturelles et changer les barrières structurelles, permettant ainsi aux groupes marginalisés d’assumer de nouveaux rôles et d’amplifier leurs voix en matière de développement dans la sous-région d’Acholi. Le projet de 24 mois vise à créer un environnement propice pour le renforcement des capacités des mouvements de femmes. Ces mouvements pourront ensuite influencer l’accès des citoyens aux services sociaux et renforcer le réseau d’activisme et de plaidoyer de la communauté dirigé par des femmes et des jeunes. Cela rendra possible la participation et la représentation dans l’élaboration de l’agenda de développement régional, ainsi que l’amélioration de la redevabilité du gouvernement local (GL) envers les communautés dans la prestation de services. L’espoir est de soutenir les groupes marginalisés (femmes, jeunes, personnes en situation de handicap) afin qu’ils puissent stimuler leur potentiel de leadership. Cela, une fois fait, permettra d’influencer des changements positifs pour répondre à leurs préoccupations uniques et entretenir un espace durable où ils pourront partager et apporter des idées concernant les processus de développement local.
      En utilisant une approche basée sur les droits de l’homme, SPACE renforcera les capacités de 89 femmes, 64 jeunes et 68 leaders en situation de handicap, quatre plateformes politiques, quatre organisations communautaires (OC) et 2 ONG locales, afin d’accroître leur efficacité en matière de plaidoyer, renforcer leurs compétences en matière de leadership pour qu’ils puissent influencer les processus politiques et de gouvernance, et assumer leurs responsabilités en matière de prise de décision. Ce résultat sera en grande partie atteint au moyen de la formation des représentants nouvellement élus parmi les femmes, les jeunes et les personnes en situation de handicap. Ils seront formés par rapport à leurs rôles et responsabilités, ainsi que les méthodes de participation politique efficace (plaidoyer/lobbying). De plus, ces formations seront soutenues par des sessions de mentorat et de coaching pour un encouragement, une autonomisation et un soutien plus personnalisés afin qu’ils puissent remplir leur mandat et faire entendre leurs voix. Les groupes de caucus recevront un soutien pour collectiviser leur pouvoir et aiguiser leur influence dans la prise de décision. En outre, des organisations communautaires et des ONG locales axées sur les femmes, les jeunes et les personnes en situation de handicap seront formées à l’utilisation des approches de fiches d’évaluation communautaires. Cela leur permettra de suivre la redevabilité du gouvernement et faire du plaidoyer pour des améliorations. Six représentants/maisons des médias seront formés à l’importance de l’inclusion des femmes, des jeunes et des personnes en situation de handicap. Ladite formation sera axée sur la prise de décision et la planification, l’établissement de rapports sur les progrès réalisés en matière de prestation de services, dans le but de renforcer la responsabilité du gouvernement. SPACE accueillera des échanges d’interface entre les détenteurs de droits et les responsables afin d’ouvrir des espaces sécurisés permettant aux citoyens de participer à la planification, à la budgétisation, au suivi et à la redevabilité des structures de gouvernance locale et de la prestation de services.

  • Projet

    Strengthening Participation and Accountability through Community Engagement (SPACE) est un projet qui vise à renforcer l’autonomie et à encourager une participation politique sérieuse des groupes marginalisés en vue d’accroître leur participation active aux processus de prise de décision et de consolider les demandes pour la redevabilité et l’efficacité des décideurs par rapport au développement communautaire, y compris la fourniture de services adaptés. SPACE entend placer les femmes, les jeunes et les personnes en situation de handicap (PWD) au premier plan de son initiative afin de s’assurer que leurs besoins et leurs voix conduisent la prise de décision en matière de politique et de planification. Le projet SPACE renforcera l’action des femmes pour transformer les normes socioculturelles et changer les barrières structurelles, permettant ainsi aux groupes marginalisés d’assumer de nouveaux rôles et d’amplifier leurs voix en matière de développement dans la sous-région d’Acholi. Le projet de 24 mois vise à créer un environnement propice pour le renforcement des capacités des mouvements de femmes. Ces mouvements pourront ensuite influencer l’accès des citoyens aux services sociaux et renforcer le réseau d’activisme et de plaidoyer de la communauté dirigé par des femmes et des jeunes. Cela rendra possible la participation et la représentation dans l’élaboration de l’agenda de développement régional, ainsi que l’amélioration de la redevabilité du gouvernement local (GL) envers les communautés dans la prestation de services. L’espoir est de soutenir les groupes marginalisés (femmes, jeunes, personnes en situation de handicap) afin qu’ils puissent stimuler leur potentiel de leadership. Cela, une fois fait, permettra d’influencer des changements positifs pour répondre à leurs préoccupations uniques et entretenir un espace durable où ils pourront partager et apporter des idées concernant les processus de développement local.
    En utilisant une approche basée sur les droits de l’homme, SPACE renforcera les capacités de 89 femmes, 64 jeunes et 68 leaders en situation de handicap, quatre plateformes politiques, quatre organisations communautaires (OC) et 2 ONG locales, afin d’accroître leur efficacité en matière de plaidoyer, renforcer leurs compétences en matière de leadership pour qu’ils puissent influencer les processus politiques et de gouvernance, et assumer leurs responsabilités en matière de prise de décision. Ce résultat sera en grande partie atteint au moyen de la formation des représentants nouvellement élus parmi les femmes, les jeunes et les personnes en situation de handicap. Ils seront formés par rapport à leurs rôles et responsabilités, ainsi que les méthodes de participation politique efficace (plaidoyer/lobbying). De plus, ces formations seront soutenues par des sessions de mentorat et de coaching pour un encouragement, une autonomisation et un soutien plus personnalisés afin qu’ils puissent remplir leur mandat et faire entendre leurs voix. Les groupes de caucus recevront un soutien pour collectiviser leur pouvoir et aiguiser leur influence dans la prise de décision. En outre, des organisations communautaires et des ONG locales axées sur les femmes, les jeunes et les personnes en situation de handicap seront formées à l’utilisation des approches de fiches d’évaluation communautaires. Cela leur permettra de suivre la redevabilité du gouvernement et faire du plaidoyer pour des améliorations. Six représentants/maisons des médias seront formés à l’importance de l’inclusion des femmes, des jeunes et des personnes en situation de handicap. Ladite formation sera axée sur la prise de décision et la planification, l’établissement de rapports sur les progrès réalisés en matière de prestation de services, dans le but de renforcer la responsabilité du gouvernement. SPACE accueillera des échanges d’interface entre les détenteurs de droits et les responsables afin d’ouvrir des espaces sécurisés permettant aux citoyens de participer à la planification, à la budgétisation, au suivi et à la redevabilité des structures de gouvernance locale et de la prestation de services.

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