Projet
Ne laisser aucune femme pour compte
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Montant financé
466,197 EURODurée du projet
01 Avr 2018 - 31 Mar 2021 -
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Applicant principal
Partners
Association Malienne pour la Sauvegarde du Bien-être Familial (AMASBIF) - Mali Polycom Development Project- Kenya en coopération avec SDGs Forum Kenya Global Call to Action Against Poverty (GCAP) (légalement représenté par GCAP Global Foundation) - Africa and global FEMNET (The African Women's Development and Communication Network) – Africa & global
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La Fédération Ghanéenne des Organisations de personnes en situation de handicap (GFD en anglais) est une organisation de la société civile enregistrée au Ghana, guidée par des statuts adoptés par son Assemblée des Délégués, qui est la plus haute instance de décision de l’organisation.
Il s’agit d’une organisation faitière nationale couvrant toutes les autres organisations de personnes en situation de handicap au Ghana, qui a été créée en 1987 et est légalement enregistrée en vertu des lois du Ghana. La GFD est visible au niveau national et dispose de branches aussi bien dans les dix (10) régions administratives du Ghana que dans plus de 200 districts sur les 216 que compte le pays.
Le projet collabore avec des organisations membres dans les trois pays d’Afrique suivants :
- La Fédération Ghanéenne des Organisations de personnes en situation de handicap (GFD) – Ghana
- Association Malienne pour la Sauvegarde du Bien-être Familial (AMASBIF) – Mali
- Le Projet de développement Polycom – Kenya, en coopération avec SDGs Forum au Kenya
- L’Appel mondial à l’action contre la pauvreté (GCAP en anglais) (représenté légalement par GCAP Global Foundation) – Afrique et reste du monde
Consultant du consortium
FEMNET (The African Women’s Development and Communication Network – Réseau pour le Développement et la Communication des Femmes Africaines) – Afrique et reste du monde
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Organisation
La Fédération Ghanéenne des Organisations de personnes en situation de handicap (GFD en anglais) est une organisation de la société civile enregistrée au Ghana, guidée par des statuts adoptés par son Assemblée des Délégués, qui est la plus haute instance de décision de l’organisation.
Il s’agit d’une organisation faitière nationale couvrant toutes les autres organisations de personnes en situation de handicap au Ghana, qui a été créée en 1987 et est légalement enregistrée en vertu des lois du Ghana. La GFD est visible au niveau national et dispose de branches aussi bien dans les dix (10) régions administratives du Ghana que dans plus de 200 districts sur les 216 que compte le pays.
Le projet collabore avec des organisations membres dans les trois pays d’Afrique suivants :
- La Fédération Ghanéenne des Organisations de personnes en situation de handicap (GFD) – Ghana
- Association Malienne pour la Sauvegarde du Bien-être Familial (AMASBIF) – Mali
- Le Projet de développement Polycom – Kenya, en coopération avec SDGs Forum au Kenya
- L’Appel mondial à l’action contre la pauvreté (GCAP en anglais) (représenté légalement par GCAP Global Foundation) – Afrique et reste du monde
Consultant du consortium
FEMNET (The African Women’s Development and Communication Network – Réseau pour le Développement et la Communication des Femmes Africaines) – Afrique et reste du monde
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Projet
L’objectif de Leave No Woman Behind est que les femmes qui subissent des discriminations multiples, l’exploitation, les abus et/ou la violence soient impliquées dans les processus nationaux, régionaux et mondiaux de mise en œuvre des Objectifs de Développement Durable (ODD) pour garantir qu’elles ne soient pas laissées pour compte.
La discrimination double/multiple des femmes est une question cruciale pour les filles et les femmes non seulement de façon individuelle, mais aussi en chiffres : 600 millions de femmes vivent avec un handicap. Plusieurs d’entre elles sont victimes de discrimination en tant que femmes et en tant que personnes vivant avec un handicap.
Le projet prévoit des processus ascendants dans trois pays : le Ghana, le Mali et le Kenya :
- les femmes et les filles en situation de handicap
- les femmes et les filles confrontées à des discriminations multiples en raison de leur origine autochtone ou ethnique, de leur âge, de leur caste, de leur travail ou de leur orientation sexuelle.
Ces femmes sont exclues des processus politiques locaux, nationaux et n’ont pas accès aux niveaux régionaux et mondiaux. L’objectif global est de créer à l’intention de ces femmes un environnement favorable pour une participation citoyenne. Dans cet environnement, elles revendiquent leurs droits et veillent à ce qu’elles ne soient pas laissées pour compte.
Le consortium de quatre organisations travaille sur :
- Des processus ascendants nationaux :
- Les femmes discriminées participent et plaident pour que leurs demandes soient prises en compte dans la mise en œuvre des objectifs de développement durable.
- La société civile comprend la question de la discrimination double/multiple et l’intègre dans son travail de plaidoyer sur les ODDs et même au-delà.
- Les gouvernements sont conscients des discriminations multiples à l’encontre des femmes et les intègrent dans les processus.
Par ailleurs, deux objectifs ont une visée régionale/mondiale :
- Influence régionale : Les organisations de la société civile des femmes discriminées coordonnent au niveau régional et participent aux processus politiques sur les ODD au sein de l’Union africaine et de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique.
- Influence mondiale : Les organisations de la société civile des femmes discriminées participent au groupe d’intérêt de l’Appel mondial à l’action contre la pauvreté des femmes/féministes et participent aux processus de l’Agenda 2030 au sein du forum politique de haut niveau et du CSW/CEDAW pour soulever de manière efficace la question des femmes vivant avec un handicap.
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L’objectif de Leave No Woman Behind est que les femmes qui subissent des discriminations multiples, l’exploitation, les abus et/ou la violence soient impliquées dans les processus nationaux, régionaux et mondiaux de mise en œuvre des Objectifs de Développement Durable (ODD) pour garantir qu’elles ne soient pas laissées pour compte.
La discrimination double/multiple des femmes est une question cruciale pour les filles et les femmes non seulement de façon individuelle, mais aussi en chiffres : 600 millions de femmes vivent avec un handicap. Plusieurs d’entre elles sont victimes de discrimination en tant que femmes et en tant que personnes vivant avec un handicap.
Le projet prévoit des processus ascendants dans trois pays : le Ghana, le Mali et le Kenya :
- les femmes et les filles en situation de handicap
- les femmes et les filles confrontées à des discriminations multiples en raison de leur origine autochtone ou ethnique, de leur âge, de leur caste, de leur travail ou de leur orientation sexuelle.
Ces femmes sont exclues des processus politiques locaux, nationaux et n’ont pas accès aux niveaux régionaux et mondiaux. L’objectif global est de créer à l’intention de ces femmes un environnement favorable pour une participation citoyenne. Dans cet environnement, elles revendiquent leurs droits et veillent à ce qu’elles ne soient pas laissées pour compte.
Le consortium de quatre organisations travaille sur :
- Des processus ascendants nationaux :
- Les femmes discriminées participent et plaident pour que leurs demandes soient prises en compte dans la mise en œuvre des objectifs de développement durable.
- La société civile comprend la question de la discrimination double/multiple et l’intègre dans son travail de plaidoyer sur les ODDs et même au-delà.
- Les gouvernements sont conscients des discriminations multiples à l’encontre des femmes et les intègrent dans les processus.
Par ailleurs, deux objectifs ont une visée régionale/mondiale :
- Influence régionale : Les organisations de la société civile des femmes discriminées coordonnent au niveau régional et participent aux processus politiques sur les ODD au sein de l’Union africaine et de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique.
- Influence mondiale : Les organisations de la société civile des femmes discriminées participent au groupe d’intérêt de l’Appel mondial à l’action contre la pauvreté des femmes/féministes et participent aux processus de l’Agenda 2030 au sein du forum politique de haut niveau et du CSW/CEDAW pour soulever de manière efficace la question des femmes vivant avec un handicap.