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  • Organisation

    La mission d’AKATIGA est d’influencer des changements politiques positifs afin de créer un environnement social, politique et économique équitable. Cela permet aux pauvres et aux groupes marginalisés d’avoir un meilleur accès et un meilleur contrôle des ressources pour une subsistance durable. L’AKATIGA se focalise sur trois activités principales : la recherche, l’influence sur les politiques, le suivi et l’évaluation dans quatre domaines prioritaires, à savoir : les micro-, petites et moyennes entreprises, la gouvernance, l’emploi des jeunes en milieu rural et les zones agricoles.

    Les recherches d’AKATIGA utilisent des méthodes qualitatives, quantitatives et mixtes, ainsi que l’analyse critique pour produire des résultats de recherche solides. Ceux-ci ont été traduits dans de nombreux rapports, livres, revues, travaux, documents de politique et écrits populaires publiés dans des publications nationales et internationales.

    L’AKATIGA a une expérience et des connaissances établies sur la question des jeunes, sur l’agriculture et sur le développement rural. En 2015, ils ont effectué des recherches dans 12 villages de Java Ouest, Java Centre et Sulawesi Sud pour étudier un certain nombre de questions agricoles, notamment les jeunes et l’emploi. Ils ont découvert que l’une des raisons pour lesquelles les jeunes ruraux s’éloignent de l’agriculture est le problème de l’accès à la terre. Depuis 2016, l’AKATIGA travaille avec des universités et des instituts de recherche au Canada, en Chine, en Inde et aux Pays-Bas sur les mêmes questions dans le cadre d’un projet de recherche dans quatre pays intitulé « Becoming Young Farmers : Young people’s pathways into farming ». En 2017, l’AKATIGA a également effectué un projet de recherche sur la migration des jeunes dans l’est de Nusa Tenggara, en étudiant le modèle de migration interne des jeunes.

    En termes de plaidoyer, l’AKATIGA fournit une analyse de politiques et une contribution pour la révision du décret présidentiel (Peraturan Presiden) sur les marchés publics (Pengandaan Barang dan Jasa) PERPRES 54 Tahun 2010 et a piloté le processus de révision.

    En outre, l’AKATIGA facilite un certain nombre d’activités d’apprentissage, notamment avec des groupes de jeunes. L’année dernière, ils ont travaillé avec l’école de Semi Palar (lycée) sur la série d’apprentissage par rapport à la conduite de recherches sociales dans les zones rurales. 

    • Organisation

      La mission d’AKATIGA est d’influencer des changements politiques positifs afin de créer un environnement social, politique et économique équitable. Cela permet aux pauvres et aux groupes marginalisés d’avoir un meilleur accès et un meilleur contrôle des ressources pour une subsistance durable. L’AKATIGA se focalise sur trois activités principales : la recherche, l’influence sur les politiques, le suivi et l’évaluation dans quatre domaines prioritaires, à savoir : les micro-, petites et moyennes entreprises, la gouvernance, l’emploi des jeunes en milieu rural et les zones agricoles.

      Les recherches d’AKATIGA utilisent des méthodes qualitatives, quantitatives et mixtes, ainsi que l’analyse critique pour produire des résultats de recherche solides. Ceux-ci ont été traduits dans de nombreux rapports, livres, revues, travaux, documents de politique et écrits populaires publiés dans des publications nationales et internationales.

      L’AKATIGA a une expérience et des connaissances établies sur la question des jeunes, sur l’agriculture et sur le développement rural. En 2015, ils ont effectué des recherches dans 12 villages de Java Ouest, Java Centre et Sulawesi Sud pour étudier un certain nombre de questions agricoles, notamment les jeunes et l’emploi. Ils ont découvert que l’une des raisons pour lesquelles les jeunes ruraux s’éloignent de l’agriculture est le problème de l’accès à la terre. Depuis 2016, l’AKATIGA travaille avec des universités et des instituts de recherche au Canada, en Chine, en Inde et aux Pays-Bas sur les mêmes questions dans le cadre d’un projet de recherche dans quatre pays intitulé « Becoming Young Farmers : Young people’s pathways into farming ». En 2017, l’AKATIGA a également effectué un projet de recherche sur la migration des jeunes dans l’est de Nusa Tenggara, en étudiant le modèle de migration interne des jeunes.

      En termes de plaidoyer, l’AKATIGA fournit une analyse de politiques et une contribution pour la révision du décret présidentiel (Peraturan Presiden) sur les marchés publics (Pengandaan Barang dan Jasa) PERPRES 54 Tahun 2010 et a piloté le processus de révision.

      En outre, l’AKATIGA facilite un certain nombre d’activités d’apprentissage, notamment avec des groupes de jeunes. L’année dernière, ils ont travaillé avec l’école de Semi Palar (lycée) sur la série d’apprentissage par rapport à la conduite de recherches sociales dans les zones rurales. 

    • Projet

      Le projet vise à faciliter l’accès des jeunes marginalisés (femmes et hommes) des zones rurales du centre et de l’ouest de Java aux ressources, aux connaissances et aux compétences pour faire de l’agriculture leur moyen de subsistance. Cela se fait à travers :

      1. L’organisation des jeunes ruraux pour obtenir l’accès aux terres appartenant au gouvernement local du village (par exemple, tanah kemakmuran, tanah kas desa.
      2. La facilitation de l’apprentissage, par les jeunes, de méthodes innovantes en matière d’agriculture, y compris les pratiques agricoles durables, la transformation des produits et leur commercialisation. Cela rend l’agriculture attrayante, économiquement avantageuse et écologiquement durable.
      3. L’amélioration des capacités d’action collective des jeunes ruraux en vue de renforcer leur participation politique aux processus de prise de décisions gouvernementales.

      L’AKATIGA a identifié deux meilleures pratiques menées par deux groupes de jeunes sur des méthodes et pratiques agricoles innovantes. Le projet combine, modifie et contextualise ces pratiques. Elles sont testées dans deux groupes de jeunes cibles dans deux villages. La contextualisation fait appel à des méthodes de recherche-action participative (RAP) dans lesquelles les participants eux-mêmes sont impliqués dans les appréciations, les tests et les évaluations. Un processus d’apprentissage est facilité entre les deux groupes pour le transfert de connaissances sur les pratiques agricoles de chacun.

      L’AKATIGA étudie de près et documente tous les processus en utilisant des méthodes qualitatives. Les conclusions sont publiées sur des plateformes en ligne et hors ligne, tout en adaptant le contenu pour qu’elles puissent atteindre le jeune public et inspirer de plus larges groupes de jeunes.

      L’AKATIGA cible spécifiquement trois niveaux d’impact :

      1. Deux groupes de jeunes dans deux villages pauvres de Kebumen (Java centre) et Sukabumi (Java ouest) comme sites d’innovation;
      2. Les groupes de jeunes existants (modèles) à Kulon Progo et à Bandung;
      3. De plus larges groupes de jeunes et des ONG qui sont impliqués dans l’agriculture à travers le pays et qui pourraient bénéficier de la connaissance de l’innovation grâce à diverses plateformes médiatiques.
  • Projet

    Le projet vise à faciliter l’accès des jeunes marginalisés (femmes et hommes) des zones rurales du centre et de l’ouest de Java aux ressources, aux connaissances et aux compétences pour faire de l’agriculture leur moyen de subsistance. Cela se fait à travers :

    1. L’organisation des jeunes ruraux pour obtenir l’accès aux terres appartenant au gouvernement local du village (par exemple, tanah kemakmuran, tanah kas desa.
    2. La facilitation de l’apprentissage, par les jeunes, de méthodes innovantes en matière d’agriculture, y compris les pratiques agricoles durables, la transformation des produits et leur commercialisation. Cela rend l’agriculture attrayante, économiquement avantageuse et écologiquement durable.
    3. L’amélioration des capacités d’action collective des jeunes ruraux en vue de renforcer leur participation politique aux processus de prise de décisions gouvernementales.

    L’AKATIGA a identifié deux meilleures pratiques menées par deux groupes de jeunes sur des méthodes et pratiques agricoles innovantes. Le projet combine, modifie et contextualise ces pratiques. Elles sont testées dans deux groupes de jeunes cibles dans deux villages. La contextualisation fait appel à des méthodes de recherche-action participative (RAP) dans lesquelles les participants eux-mêmes sont impliqués dans les appréciations, les tests et les évaluations. Un processus d’apprentissage est facilité entre les deux groupes pour le transfert de connaissances sur les pratiques agricoles de chacun.

    L’AKATIGA étudie de près et documente tous les processus en utilisant des méthodes qualitatives. Les conclusions sont publiées sur des plateformes en ligne et hors ligne, tout en adaptant le contenu pour qu’elles puissent atteindre le jeune public et inspirer de plus larges groupes de jeunes.

    L’AKATIGA cible spécifiquement trois niveaux d’impact :

    1. Deux groupes de jeunes dans deux villages pauvres de Kebumen (Java centre) et Sukabumi (Java ouest) comme sites d’innovation;
    2. Les groupes de jeunes existants (modèles) à Kulon Progo et à Bandung;
    3. De plus larges groupes de jeunes et des ONG qui sont impliqués dans l’agriculture à travers le pays et qui pourraient bénéficier de la connaissance de l’innovation grâce à diverses plateformes médiatiques.
  • Résultats

    La perception selon laquelle les jeunes en Indonésie ne s’intéressent pas généralement à l’agriculture ne saurait être plus loin de la vérité. Nombreux sont les jeunes qui souhaitent se lancer dans l’agriculture, mais se heurtent à des obstacles tels que la difficulté d’accès à la terre, le manque de connaissances sur les méthodes agricoles innovantes et rentables, le manque d’expertise en matière de transformation et de commercialisation des produits agricoles et le manque d’accès politique aux processus de prise de décision relatifs au financement des villages (dana desa), organes par lesquels ils peuvent défendre leurs propres intérêts, y compris l’accès aux ressources. Dans le cadre du projet « Let’s Be Young Farmers », l’AKATIGA a cherché à mobiliser les jeunes des zones rurales du centre et de l’ouest de Java, en Indonésie, pour qu’ils affrontent collectivement ces obstacles et y remédient. Ces actions portent leurs fruits.

    L’AKATIGA est une organisation dont la mission est d’influencer les changements positifs de politiques afin de créer des environnements sociaux, politiques et économiques équitables qui permettraient aux groupes de personnes pauvres et marginalisées d’avoir un meilleur accès et un meilleur contrôle des ressources pour des moyens de subsistance durables. L’AKATIGA se focalise sur trois activités principales : la recherche, l’influence sur les politiques, le suivi et l’évaluation de quatre questions prioritaires, à savoir les MPME, la gouvernance, l’emploi des jeunes en milieu rural et dans les zones agricoles. L’organisation a acquis beaucoup d’expérience et des connaissances sur les questions touchant la jeunesse, l’agriculture et le développement rural. En 2015, l’organisation a effectué des recherches dans 12 villages de Java Ouest, Java Centre et Sulawesi Sud et a enquêté sur les principales questions agricoles, y compris les jeunes et l’emploi. Parmi les principales conclusions, l’on peut retenir que l’une des principales raisons pour lesquelles les jeunes ruraux s’éloignent de l’agriculture est la difficulté à accéder à la terre.

    Le projet Let’s Be Young Farmers a été mis en œuvre à Kebumen, Sukabumi, Yogyakarta et Bandung. Son but est, d’une part, de fournir aux jeunes groupes marginalisés (hommes et femmes) des zones rurales du centre et de l’ouest de Java, qui sont (éventuellement) intéressés par l’agriculture, un accès aux ressources agricoles et, d’autre part, leur fournir les informations et les compétences dont ils ont besoin pour vivre décemment de l’agriculture.

    L’Accès aux terres : Pour y arriver, le projet a organisé les jeunes ruraux afin qu’ils puissent accéder aux terres appartenant au gouvernement du village (par exemple, tanah kemakmuran, tanah kas desa1) afin de pratiquer l’agriculture. À Sukabumi et Kebumen, les organisations de jeunes ont obtenu l’accès à des terres agricoles. À Kebumen, un groupe de jeunes s’est organisé et a obtenu du conseil du village l’accès à des terres, et le gouvernement du village a accepté de continuer à soutenir les jeunes en leur donnant accès à des terres agricoles. À Sukabumi, les jeunes ont décidé d’utiliser des terres inoccupées détenues par une entreprise voisine, étant donné que les terres communautaires disponibles étaient trop éloignées. Les premières parcelles de terre étaient de 1600 m2, passant ensuite à 8 000 m2. Ils ont commencé à planter du sorgho et ont reçu de l’assistance pour trouver un acheteur en gros pour la récolte, ce qui leur a fourni une source alternative de revenus.

    L’apprentissage et l’innovation : Le projet a également permis aux jeunes d’apprendre de nouvelles méthodes agricoles, telles que les pratiques agricoles durables, la transformation des produits agricoles et leur commercialisation. Ces initiatives rendent l’agriculture attrayante pour les jeunes, en plus d’être économiquement et écologiquement durables. Les groupes de jeunes de Sukabumi et de Kebumen ont appris de nouvelles techniques agricoles. Ils ont passé plus de deux ans à apprendre des méthodes agricoles innovantes, notamment l’agriculture biologique. Au cours de la phase de production, les étudiants ont appris à fabriquer du compost et des insecticides biologiques. Leur capacité à gérer leur propre ferme biologique est une preuve évidente de leurs nouvelles compétences agricoles et ils peuvent maintenant enseigner à d’autres comment pratiquer l’agriculture biologique. 

    Enfin, le projet a renforcé les capacités d’action collective des jeunes ruraux dans le but d’accroître leur participation aux processus de prise de décision du gouvernement rural. À Kebumen et à Sukabumi, les capacités collectives politiques de tous les groupes ont été renforcées, bien que de manière différente. L’autorité du village de Kebumen a reconnu les clubs de jeunes et a commencé à les inviter aux réunions du village. Presque aucun participant à ce programme n’avait jamais été invité aux réunions du village ou n’avait eu auparavant l’occasion d’exprimer ses souhaits au gouvernement local du village. L’autorité du village reconnaît désormais les jeunes et les invite aux principales réunions, ce qui permet à ces derniers de participer aux décisions du village. A Sukabumi, cela a été un peu plus difficile à réaliser et le groupe de jeunes se méfie du gouvernement local du village et préfère un niveau de gouvernement plus élevé (Kecamatan).

    Le projet a eu plusieurs autres résultats. La communauté 1000 Kebun de Bandung et le groupe Mandala Cipta de Kulon Progo ont tous les deux bénéficié de l’initiative avec le groupe de jeunes Mandala Cipta qui s’est lancé dans l’agriculture biologique et qui vend ses produits alimentaires avec sa propre marque modeste. À Kebumen, un fonds villageois pour la production de riz biologique est géré par un groupe de jeunes (SEKAR MULYO). L’organisation de jeunes Mandala Cipta a démarré l’agriculture biologique (riz et pastèque) et vend sur le marché ses produits biologiques à des prix plus élevés. Ils ont également cessé de vendre des grains humides et les ont vendus plutôt comme du riz (beras) afin de gagner plus d’argent.

    Les enseignements tirés : Le projet a tiré plusieurs enseignements lors de sa mise en œuvre. L’une des principales leçons est l’importance des méthodes comparatives. Le fait de travailler sur deux terrains différents (Sukabumi et Kebumen) a fait découvrir à l’organisation la nécessité de contextualiser son programme. Par exemple, alors que l’on pensait auparavant que les seules terres accessibles étaient celles de la communauté, le projet de Sukabumi a démontré que les terres inexploitées détenues par des entreprises ou par d’autres individus pourraient également être mises à la disposition de la communauté.

    Une autre amélioration significative pour le projet a été l’apprentissage par expérience, la stratégie la plus réussie du projet. L’innovation consiste à mettre les idées en pratique, pas seulement à les avoir. Le programme développé par le projet intègre toujours le développement des connaissances et des compétences, suivi d’une mise en œuvre dans la vie réelle. Le projet a également mis en pratique la contextualisation des approches, en s’assurant que les participants au projet contribuent directement à leur création. Le recours aux médias sociaux a également joué un rôle clé dans le succès du projet, contribuant à amplifier son effet. Pour accroitre l’impact, l’organisation a fait une chronique des activités clés et les a transformées en produits médiatiques. Le programme est documenté pendant et après sa mise en œuvre, et est bien compris. Pour obtenir cet effet, un canal de médias sociaux (Instagram) a été créé pour que tous les partenaires puissent promouvoir le programme. 

    Dans l’ensemble, les approches appliquées dans le cadre de ce programme ont renforcé les capacités d’AKATIGA à mener une bonne recherche-action et l’ont aidé à reconnaître davantage que la recherche expérimentale est l’un des moyens les plus efficaces pour arriver à un changement social. 

    La création d’impact : Il y a de fortes chances que ce projet connaisse un plus grand succès, compte tenu de l’importance mondiale de la sécurité alimentaire et de l’intervention dans des domaines qui donnent une autonomie économique aux jeunes. Plus important encore, il change l’état d’esprit de certains jeunes en matière d’agriculture.

    L’agriculture peut aussi être un loisir divertissant. J’étais très paresseux auparavant et j’avais peur que ma peau ne devienne plus foncée. Mais il s’est avéré qu’il est amusant d’accomplir des choses ensemble et de se soutenir mutuellement grâce à l’agriculture!” dit Ambar, un adolescent de Kulon Progo qui a commencé à apprendre l’agriculture dans le cadre de ce projet.

    Mentari Al Wasilah, un activiste de l’un des groupes de jeunes du projet (100Kebun) a lui aussi déclaré que même la jeune génération des zones urbaines pouvait soutenir l’agriculture de diverses manières. “En ville, nous pouvons également participer à l’agriculture sous d’autres formes, par exemple en nous engageant dans la communauté 1000Kebun, où nous travaillons à la commercialisation des produits agricoles par des méthodes innovantes,” a-t-elle affirmé. 

    https://www.sabumiku.com/kabar-komunitas/pemuda-milenial-bertani-pengalaman-pemuda-ketanpedo/?fbclid=IwAR2hzTYpctIKYhVyAEb6ifmRISjo5g147OybY8qMGUqDSBAkfERhv-2PcEA

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