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  • Organisation

    L’International Refugee Rights Initiative (IRRI) a été fondée en 2004 pour informer et améliorer les réponses aux cycles de violence et de déplacement qui sont au cœur des violations des droits de l’homme à grande échelle. Sa vision est celle d’un monde où chaque personne se sent en sécurité, que ce soit chez elle ou ailleurs. Au cours des 14 dernières années, l’IRRI a développé une approche holistique de protection des droits de l’homme avant, pendant et après le déplacement, en se focalisant sur les points suivants :

    • Identifier les violations qui provoquent le déplacement et l’exil,
    • Protéger les droits de ceux qui sont déplacés, et
    • Faire en sorte que les solutions à leur déplacement soient pérennes, respectueuses des droits, sûres et opportunes.

    Grâce à un plaidoyer fondé sur des preuves et reposant sur une recherche et une analyse solides sur le terrain, l’IRRI s’efforce de faire en sorte que les voix des communautés déplacées et affectées par les conflits soient non seulement entendues, mais aussi prises en compte au niveau international. L’IRRI est une organisation à but non lucratif enregistrée aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Ouganda. Son conseil d’administration est composé de sept membres, dirigés par le président, Chidi Odinkalu, basé au Nigeria, et la vice-présidente, Salima Namusobya, basée en Ouganda, les autres membres étant basés au Royaume-Uni, aux États-Unis et en Tanzanie.

    • Organisation

      L’International Refugee Rights Initiative (IRRI) a été fondée en 2004 pour informer et améliorer les réponses aux cycles de violence et de déplacement qui sont au cœur des violations des droits de l’homme à grande échelle. Sa vision est celle d’un monde où chaque personne se sent en sécurité, que ce soit chez elle ou ailleurs. Au cours des 14 dernières années, l’IRRI a développé une approche holistique de protection des droits de l’homme avant, pendant et après le déplacement, en se focalisant sur les points suivants :

      • Identifier les violations qui provoquent le déplacement et l’exil,
      • Protéger les droits de ceux qui sont déplacés, et
      • Faire en sorte que les solutions à leur déplacement soient pérennes, respectueuses des droits, sûres et opportunes.

      Grâce à un plaidoyer fondé sur des preuves et reposant sur une recherche et une analyse solides sur le terrain, l’IRRI s’efforce de faire en sorte que les voix des communautés déplacées et affectées par les conflits soient non seulement entendues, mais aussi prises en compte au niveau international. L’IRRI est une organisation à but non lucratif enregistrée aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Ouganda. Son conseil d’administration est composé de sept membres, dirigés par le président, Chidi Odinkalu, basé au Nigeria, et la vice-présidente, Salima Namusobya, basée en Ouganda, les autres membres étant basés au Royaume-Uni, aux États-Unis et en Tanzanie.

    • Projet

      Avec des milliers de personnes touchées par l’apatridie ou menacées d’apatridie en Afrique de l’Est, le projet ESC-EA vise à donner aux communautés touchées en Ouganda, en Tanzanie et au Kenya, les outils et les connaissances nécessaires pour mener des actions de plaidoyer ciblées aux niveaux communautaire, national et régional afin de faire avancer leur quête d’inclusion politique et sociale.

      La conception participative du projet garantit que les voix des communautés soient entendues et amplifiées auprès des décideurs et des responsables politiques clés, avant la réunion, début 2019, du Comité Technique Spécial sur les migrations, les réfugiés et les personnes déplacées à Malabo, en Guinée équatoriale. Les sujets à l’ordre du jour sont l’avant-projet de protocole sur le droit à la nationalité. Les réunions du Comité technique spécial font suite aux discussions initiales sur l’avant-projet de protocole en Afrique du Sud et en Côte d’Ivoire, au cours desquelles les États ont opté pour des dispositions plus générales, réduisant considérablement sa force juridique. Par la suite, les engagements pris avant la réunion du CTS offrent l’opportunité de garantir que les communautés affectées soient en mesure de partager leurs expériences et réalités vécues avec les membres de l’Union africaine et de plaider pour des dispositions juridiques fortes dans l’avant-projet de protocole. Le consortium composé de l’Initiative internationale pour les droits des réfugiés, de la Commission kenyane des droits de l’homme et de Dignity Kwanza, sert en outre de facilitateur pour réunir les groupes aux niveaux national et régional, afin de partager et d’apprendre de leurs expériences communes.

  • Projet

    Avec des milliers de personnes touchées par l’apatridie ou menacées d’apatridie en Afrique de l’Est, le projet ESC-EA vise à donner aux communautés touchées en Ouganda, en Tanzanie et au Kenya, les outils et les connaissances nécessaires pour mener des actions de plaidoyer ciblées aux niveaux communautaire, national et régional afin de faire avancer leur quête d’inclusion politique et sociale.

    La conception participative du projet garantit que les voix des communautés soient entendues et amplifiées auprès des décideurs et des responsables politiques clés, avant la réunion, début 2019, du Comité Technique Spécial sur les migrations, les réfugiés et les personnes déplacées à Malabo, en Guinée équatoriale. Les sujets à l’ordre du jour sont l’avant-projet de protocole sur le droit à la nationalité. Les réunions du Comité technique spécial font suite aux discussions initiales sur l’avant-projet de protocole en Afrique du Sud et en Côte d’Ivoire, au cours desquelles les États ont opté pour des dispositions plus générales, réduisant considérablement sa force juridique. Par la suite, les engagements pris avant la réunion du CTS offrent l’opportunité de garantir que les communautés affectées soient en mesure de partager leurs expériences et réalités vécues avec les membres de l’Union africaine et de plaider pour des dispositions juridiques fortes dans l’avant-projet de protocole. Le consortium composé de l’Initiative internationale pour les droits des réfugiés, de la Commission kenyane des droits de l’homme et de Dignity Kwanza, sert en outre de facilitateur pour réunir les groupes aux niveaux national et régional, afin de partager et d’apprendre de leurs expériences communes.

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