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  • Organisation

    Le programme de réhabilitation communautaire de Karagwe est un programme travaillant au niveau communautaire dans le district de Karagwe.  Le programme a été créé en 2003 après la mise en œuvre réussie d’un programme similaire à Murgwanza, dans le district de Ngara. Le bureau se trouve à Kayanga, à côté de l’église anglicane de St. Peter. L’objectif du projet est de permettre à la communauté de fournir des services avec et pour les personnes en situation de handicap dans les villages du district de Karagwe. L’accent est mis sur la prévention du handicap et le traitement des personnes en situation de handicap. Le projet vise à doter le groupe cible de connaissances et de compétences afin d’accroître leur capacité à se prendre en charge et à améliorer leur bien-être au sein de la communauté.

    • Organisation

      Le programme de réhabilitation communautaire de Karagwe est un programme travaillant au niveau communautaire dans le district de Karagwe.  Le programme a été créé en 2003 après la mise en œuvre réussie d’un programme similaire à Murgwanza, dans le district de Ngara. Le bureau se trouve à Kayanga, à côté de l’église anglicane de St. Peter. L’objectif du projet est de permettre à la communauté de fournir des services avec et pour les personnes en situation de handicap dans les villages du district de Karagwe. L’accent est mis sur la prévention du handicap et le traitement des personnes en situation de handicap. Le projet vise à doter le groupe cible de connaissances et de compétences afin d’accroître leur capacité à se prendre en charge et à améliorer leur bien-être au sein de la communauté.

    • Projet

      L’objectif de ce projet/réseau est de :

      1) Développer un mouvement concret de personnes atteintes d’albinisme en Afrique pour conduire la mise en œuvre du Plan d’action de l’Union africaine sur l’albinisme (2021-2031).

      2) Soutenir un organisme professionnel de plaidoyer régional basé en Afrique, au cœur du mouvement, qui plaide stratégiquement pour la mise en œuvre du Plan d’action au niveau national. La stratégie prioritaire est la reproduction du  » modèle kenyan « , à savoir l’utilisation du plaidoyer, du lobbying et du soutien à la formation pour inciter le gouvernement et les parties prenantes concernées à adopter un plan d’action national sur l’albinisme (basé sur le Plan d’action régional) et doté d’un budget annuel pour assurer sa mise en œuvre.

      3) Promouvoir un leadership efficace dans les organisations représentant les personnes atteintes d’albinisme afin d’atteindre les deux objectifs ci-dessus.

      4) Produire des données fiables pour la prise de décision et la réalisation des objectifs 1 et 2 ci-dessus. Les personnes atteintes d’albinisme « ne meurent pas, elles disparaissent ». Tel est le mythe propagé dans plusieurs pays africains, où la persécution et la discrimination à l’encontre des personnes atteintes d’albinisme – qui sont diabolisées, déshumanisées et dont les parties du corps sont censées posséder des pouvoirs magiques – se sont étendues (de 20 à 29 pays au cours de la dernière décennie). Au cours des deux dernières années, des cas de violence, y compris des mutilations, des meurtres, des enlèvements, des profanations de tombes et des trafics de parties du corps de personnes atteintes d’albinisme à des fins de sorcellerie ont été signalés, y compris dans des pays où ces faits n’avaient jamais été signalés ou l’avaient été rarement, par exemple au Mali, au Togo et en Zambie. La nature transfrontalière de ces incidents a également été signalée. Bien que plusieurs organisations de la société civile, les mécanismes des Nations Unies et le corps diplomatique contribuent à traiter ce problème, ces efforts ont historiquement été non coordonnés et ad-hoc. L’experte indépendante de l’ONU sur l’albinisme, Mme Ikponwosa Ero (Nigéria), une femme atteinte d’albinisme elle-même, a, depuis sa nomination en 2015, joué un rôle central en soutenant la convocation d’un large éventail d’acteurs, en soutenant les réponses populaires au niveau national aux attaques et à la discrimination,et en montant une stratégie de communication qui change la donne et qui remet en cause les mythes et les perceptions erronées sur lesquels reposent la discrimination et les attaques. Elle a également dirigé l’élaboration d’un plan d’action régional (2017-2021 et suivi en ligne sur actiononalbinsim.org). Ce plan a guidé les interventions à ce jour, conduisant à plusieurs études de cas réussies et à la réduction des attaques dans certains pays. Depuis lors, l’expert a fait pression avec succès sur l’UA pour qu’elle adopte et prolonge le Plan jusqu’en 2031. Ainsi, en 2019, le Plan d’action de l’Union africaine a été adopté par le Conseil exécutif de l’UA pour la période 2021-2031. Lors de cette même réunion, l’UA a également décidé de nommer un envoyé spécial sur l’albinisme, un poste honorifique pour piloter la mise en œuvre lors des réunions de haut niveau et au sein des États membres de l’Union africaine. Plusieurs entités régionales ont vu le jour au cours des cinq dernières années pour s’attaquer aux violations des droits de l’homme dont sont victimes les personnes atteintes d’albinisme en Afrique, mais aucune n’a été maintenue en raison du manque de soutien et de ressources, tant techniques que financières. Toutes ces organisations seront contactées pour collaborer au réseau proposé.

  • Projet

    L’objectif de ce projet/réseau est de :

    1) Développer un mouvement concret de personnes atteintes d’albinisme en Afrique pour conduire la mise en œuvre du Plan d’action de l’Union africaine sur l’albinisme (2021-2031).

    2) Soutenir un organisme professionnel de plaidoyer régional basé en Afrique, au cœur du mouvement, qui plaide stratégiquement pour la mise en œuvre du Plan d’action au niveau national. La stratégie prioritaire est la reproduction du  » modèle kenyan « , à savoir l’utilisation du plaidoyer, du lobbying et du soutien à la formation pour inciter le gouvernement et les parties prenantes concernées à adopter un plan d’action national sur l’albinisme (basé sur le Plan d’action régional) et doté d’un budget annuel pour assurer sa mise en œuvre.

    3) Promouvoir un leadership efficace dans les organisations représentant les personnes atteintes d’albinisme afin d’atteindre les deux objectifs ci-dessus.

    4) Produire des données fiables pour la prise de décision et la réalisation des objectifs 1 et 2 ci-dessus. Les personnes atteintes d’albinisme « ne meurent pas, elles disparaissent ». Tel est le mythe propagé dans plusieurs pays africains, où la persécution et la discrimination à l’encontre des personnes atteintes d’albinisme – qui sont diabolisées, déshumanisées et dont les parties du corps sont censées posséder des pouvoirs magiques – se sont étendues (de 20 à 29 pays au cours de la dernière décennie). Au cours des deux dernières années, des cas de violence, y compris des mutilations, des meurtres, des enlèvements, des profanations de tombes et des trafics de parties du corps de personnes atteintes d’albinisme à des fins de sorcellerie ont été signalés, y compris dans des pays où ces faits n’avaient jamais été signalés ou l’avaient été rarement, par exemple au Mali, au Togo et en Zambie. La nature transfrontalière de ces incidents a également été signalée. Bien que plusieurs organisations de la société civile, les mécanismes des Nations Unies et le corps diplomatique contribuent à traiter ce problème, ces efforts ont historiquement été non coordonnés et ad-hoc. L’experte indépendante de l’ONU sur l’albinisme, Mme Ikponwosa Ero (Nigéria), une femme atteinte d’albinisme elle-même, a, depuis sa nomination en 2015, joué un rôle central en soutenant la convocation d’un large éventail d’acteurs, en soutenant les réponses populaires au niveau national aux attaques et à la discrimination,et en montant une stratégie de communication qui change la donne et qui remet en cause les mythes et les perceptions erronées sur lesquels reposent la discrimination et les attaques. Elle a également dirigé l’élaboration d’un plan d’action régional (2017-2021 et suivi en ligne sur actiononalbinsim.org). Ce plan a guidé les interventions à ce jour, conduisant à plusieurs études de cas réussies et à la réduction des attaques dans certains pays. Depuis lors, l’expert a fait pression avec succès sur l’UA pour qu’elle adopte et prolonge le Plan jusqu’en 2031. Ainsi, en 2019, le Plan d’action de l’Union africaine a été adopté par le Conseil exécutif de l’UA pour la période 2021-2031. Lors de cette même réunion, l’UA a également décidé de nommer un envoyé spécial sur l’albinisme, un poste honorifique pour piloter la mise en œuvre lors des réunions de haut niveau et au sein des États membres de l’Union africaine. Plusieurs entités régionales ont vu le jour au cours des cinq dernières années pour s’attaquer aux violations des droits de l’homme dont sont victimes les personnes atteintes d’albinisme en Afrique, mais aucune n’a été maintenue en raison du manque de soutien et de ressources, tant techniques que financières. Toutes ces organisations seront contactées pour collaborer au réseau proposé.

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