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  • Organisation

    L’organisation a été créée en 2010 par des défenseurs des droits humains qui estimaient qu’il était nécessaire de créer une institution qui s’attaquerait aux violations flagrantes des droits humains perpétrées par l’État et d’autres acteurs non étatiques. À l’époque, les paysans qui revendiquaient leurs droits en vertu du CARP étaient tués ou inculpés dans des affaires criminelles afin d’affaiblir leur détermination à faire valoir leurs droits en vertu de la loi.

    Les objectifs de l’organisation sont les suivants : a) garantir un accès équitable et sûr aux ressources productives en terre et en eau et leur contrôle, b) démocratiser la gouvernance dans le pays, c) gérer durablement les ressources naturelles, d) former des citoyens conscients de leurs droits, justes et sûrs d’eux. Il envisage « une société philippine juste, libre, abondante et démocratique, où les gens sont compétents, ont un accès sûr et équitable aux ressources productives, sont les gardiens de la nature et capables de gérer durablement les ressources naturelles, et vivent en paix et en harmonie ensemble ». RIGHTS reconnaît la valeur des communautés et des individus pour effectuer des changements et surmonter les structures qui entravent leur croissance collective. Au cœur des campagnes de plaidoyer et de la philosophie de RIGHTS se trouve le recours à des actions actives non violentes pour mettre en lumière les problèmes brûlants d’inégalité sociale et inciter l’État à apporter des solutions viables, réactives et participatives à ces problèmes. L’utilisation de moyens non-violents permet de donner de la hauteur à la question, de générer un soutien plus large de la part du public, d’atténuer la souffrance humaine, de faciliter la guérison des communautés divisées, et constitue un outil puissant contre l’usage nu de la force et l’impunité. Contre d’innombrables violations et abus des droits de l’homme, RIGHTS s’est engagé de manière cohérente dans des actions non-violentes et a démontré avec succès son efficacité, sa reproductibilité, son extensibilité et sa durabilité. Elle a commencé à intégrer l’utilisation tactique et responsable des médias sociaux dans ses campagnes et comme outil de protection de ses défenseurs des droits humains et de ses communautés. La dimension de genre de nos campagnes de plaidoyer est évidente dans de nombreuses organisations et mouvements locaux dirigés par des femmes, les dirigeantes et les membres jouant un rôle dominant dans la planification des stratégies, des tactiques et des activités de l’organisation. Le rôle des femmes de la base dans les campagnes a été crucial pour désamorcer les hostilités lors des rencontres à haute tension avec les acteurs armés anti-réforme, pour créer des espaces de dialogue et de médiation, pour renforcer la protection des communautés et pour soutenir la défense de leurs droits sur la terre.

    • Organisation

      L’organisation a été créée en 2010 par des défenseurs des droits humains qui estimaient qu’il était nécessaire de créer une institution qui s’attaquerait aux violations flagrantes des droits humains perpétrées par l’État et d’autres acteurs non étatiques. À l’époque, les paysans qui revendiquaient leurs droits en vertu du CARP étaient tués ou inculpés dans des affaires criminelles afin d’affaiblir leur détermination à faire valoir leurs droits en vertu de la loi.

      Les objectifs de l’organisation sont les suivants : a) garantir un accès équitable et sûr aux ressources productives en terre et en eau et leur contrôle, b) démocratiser la gouvernance dans le pays, c) gérer durablement les ressources naturelles, d) former des citoyens conscients de leurs droits, justes et sûrs d’eux. Il envisage « une société philippine juste, libre, abondante et démocratique, où les gens sont compétents, ont un accès sûr et équitable aux ressources productives, sont les gardiens de la nature et capables de gérer durablement les ressources naturelles, et vivent en paix et en harmonie ensemble ». RIGHTS reconnaît la valeur des communautés et des individus pour effectuer des changements et surmonter les structures qui entravent leur croissance collective. Au cœur des campagnes de plaidoyer et de la philosophie de RIGHTS se trouve le recours à des actions actives non violentes pour mettre en lumière les problèmes brûlants d’inégalité sociale et inciter l’État à apporter des solutions viables, réactives et participatives à ces problèmes. L’utilisation de moyens non-violents permet de donner de la hauteur à la question, de générer un soutien plus large de la part du public, d’atténuer la souffrance humaine, de faciliter la guérison des communautés divisées, et constitue un outil puissant contre l’usage nu de la force et l’impunité. Contre d’innombrables violations et abus des droits de l’homme, RIGHTS s’est engagé de manière cohérente dans des actions non-violentes et a démontré avec succès son efficacité, sa reproductibilité, son extensibilité et sa durabilité. Elle a commencé à intégrer l’utilisation tactique et responsable des médias sociaux dans ses campagnes et comme outil de protection de ses défenseurs des droits humains et de ses communautés. La dimension de genre de nos campagnes de plaidoyer est évidente dans de nombreuses organisations et mouvements locaux dirigés par des femmes, les dirigeantes et les membres jouant un rôle dominant dans la planification des stratégies, des tactiques et des activités de l’organisation. Le rôle des femmes de la base dans les campagnes a été crucial pour désamorcer les hostilités lors des rencontres à haute tension avec les acteurs armés anti-réforme, pour créer des espaces de dialogue et de médiation, pour renforcer la protection des communautés et pour soutenir la défense de leurs droits sur la terre.

    • Projet

      Le projet vise à créer une solidarité entre les communautés rurales et urbaines dans la production, la distribution et l’échange de produits, de biens, de services et de connaissances qui améliorent leur bien-être, génèrent des revenus et contribuent à leurs économies locales. Les communautés urbaines pauvres jouent un rôle central dans la promotion, la distribution et l’échange de produits, de biens et de services en provenance et à destination des communautés rurales. Les communautés rurales sont généralement perdantes dans l’échange de leurs produits, les commerçants les achetant à très bas prix. Elles ne sont pas rémunérées de manière équitable et adéquate pour leurs produits, ce qui les marginalise économiquement et les rend dépendantes des commerçants et des usuriers pour la commercialisation des produits et l’obtention de crédits. Les communautés urbaines doivent supporter les prix élevés des produits agricoles comme les légumes et les fruits, ce qui les oblige à acheter des produits transformés, ce qui a des effets à court et à long terme sur leur santé et leur bien-être économique. Cette proposition vise à relier les communautés urbaines et rurales dans un esprit de solidarité afin de répondre aux problèmes urgents que sont le chômage, le coût élevé des denrées alimentaires, le manque d’investissements et d’accès au crédit pour les deux communautés, ainsi que les inégalités auxquelles les deux communautés sont confrontées en permanence. La crise du système de marché, qu’elle soit locale ou internationale, provoquée par la crise financière, les pandémies, les bouleversements politiques et la configuration actuelle de l’exclusion dans l’économie, affecte gravement les pauvres des communautés urbaines et rurales. Les communautés urbaines et rurales collaborent directement.

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    Le projet vise à créer une solidarité entre les communautés rurales et urbaines dans la production, la distribution et l’échange de produits, de biens, de services et de connaissances qui améliorent leur bien-être, génèrent des revenus et contribuent à leurs économies locales. Les communautés urbaines pauvres jouent un rôle central dans la promotion, la distribution et l’échange de produits, de biens et de services en provenance et à destination des communautés rurales. Les communautés rurales sont généralement perdantes dans l’échange de leurs produits, les commerçants les achetant à très bas prix. Elles ne sont pas rémunérées de manière équitable et adéquate pour leurs produits, ce qui les marginalise économiquement et les rend dépendantes des commerçants et des usuriers pour la commercialisation des produits et l’obtention de crédits. Les communautés urbaines doivent supporter les prix élevés des produits agricoles comme les légumes et les fruits, ce qui les oblige à acheter des produits transformés, ce qui a des effets à court et à long terme sur leur santé et leur bien-être économique. Cette proposition vise à relier les communautés urbaines et rurales dans un esprit de solidarité afin de répondre aux problèmes urgents que sont le chômage, le coût élevé des denrées alimentaires, le manque d’investissements et d’accès au crédit pour les deux communautés, ainsi que les inégalités auxquelles les deux communautés sont confrontées en permanence. La crise du système de marché, qu’elle soit locale ou internationale, provoquée par la crise financière, les pandémies, les bouleversements politiques et la configuration actuelle de l’exclusion dans l’économie, affecte gravement les pauvres des communautés urbaines et rurales. Les communautés urbaines et rurales collaborent directement.

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