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  • Organisation

    Officiellement enregistrée sous le nom de Fondation de la jeunesse pour le développement, l’éducation et le leadership, YouthHubAfrica est une organisation de première ligne pour la défense des jeunes et la programmation politique de l’Afrique et au-delà. Elle a pour vision les jeunes comme des catalyseurs du développement durable de l’Afrique, tout en servant de plateformes d’apprentissage, de liens, de connexion des jeunes aux ressources et aux opportunités qui les aideront à être au cœur du développement de l’Afrique. YouthHubAfrica s’est fait, depuis des années, le champion du développement de la jeunesse au Nigeria, notamment en assurant la transposition de la loi sur les droits de l’enfant dans les principaux États du pays, en augmentant le financement de l’éducation grâce à la campagne d’amendement de la loi UBE, entre autres réalisations. YouthHubAfrica s’est également fait le champion de la révision de la stratégie nationale de développement de la jeunesse et a continué à soutenir des organisations locales et internationales, notamment le FNUAP et l’Union africaine.

    YouthHubAfrica a une formidable présence en ligne, comme en témoignent ses plus de 200 000 followers sur Facebook, Instagram et Twitter. YouthHubAfrica s’associe à des organisations de renom pour réaliser des projets à fort impact pour les jeunes. Elle met actuellement en œuvre des projets et des activités dans 13 pays africains. YouthHubAfrica espère continuer à approfondir son travail de mise en place de plateformes permettant aux jeunes d’accéder à l’éducation, à l’information et aux compétences qui leur permettront de contribuer de manière significative au développement durable de leurs communautés.

    • Organisation

      Officiellement enregistrée sous le nom de Fondation de la jeunesse pour le développement, l’éducation et le leadership, YouthHubAfrica est une organisation de première ligne pour la défense des jeunes et la programmation politique de l’Afrique et au-delà. Elle a pour vision les jeunes comme des catalyseurs du développement durable de l’Afrique, tout en servant de plateformes d’apprentissage, de liens, de connexion des jeunes aux ressources et aux opportunités qui les aideront à être au cœur du développement de l’Afrique. YouthHubAfrica s’est fait, depuis des années, le champion du développement de la jeunesse au Nigeria, notamment en assurant la transposition de la loi sur les droits de l’enfant dans les principaux États du pays, en augmentant le financement de l’éducation grâce à la campagne d’amendement de la loi UBE, entre autres réalisations. YouthHubAfrica s’est également fait le champion de la révision de la stratégie nationale de développement de la jeunesse et a continué à soutenir des organisations locales et internationales, notamment le FNUAP et l’Union africaine.

      YouthHubAfrica a une formidable présence en ligne, comme en témoignent ses plus de 200 000 followers sur Facebook, Instagram et Twitter. YouthHubAfrica s’associe à des organisations de renom pour réaliser des projets à fort impact pour les jeunes. Elle met actuellement en œuvre des projets et des activités dans 13 pays africains. YouthHubAfrica espère continuer à approfondir son travail de mise en place de plateformes permettant aux jeunes d’accéder à l’éducation, à l’information et aux compétences qui leur permettront de contribuer de manière significative au développement durable de leurs communautés.

    • Projet

      Le mouvement #EndSARS a attiré l’attention du pays sur les problèmes persistants de brutalité policière et de mauvaise gouvernance. La réaction à tous les niveaux du gouvernement offre une opportunité soudaine de s’assurer que les victimes, en particulier les jeunes et les personnes vulnérables, sont entendues. Grâce aux commissions judiciaires, la justice peut être rendue et les oppressions sociales évitées.

      L’objectif principal de notre idée de projet est d’étendre les espaces civiques dans 3 États nigérians et dans le FCT, ce qui permettra aux citoyens de mieux suivre les promesses du gouvernement en matière de #EndSARS et de réduire les violations des droits de l’homme. Là où les pétitions sont encore reçues, ce consortium propose de soutenir l’effort du gouvernement en demandant aux jeunes lésés d’envoyer des pétitions et d’assister aux audiences du panel judiciaire dans 3 états – Ebonyi, Oyo, Bauchi, et le territoire de la capitale fédérale.

      Dans les États où des pétitions sont encore reçues, des annonces publiques simplifiées seront diffusées sur les médias, comme la radio et les médias sociaux, en tenant compte des langues locales. Les femmes et les personnes en situation de handicap qui ont été violées seront également ciblées par les jingles et encouragées à déposer des pétitions. Les jeunes non alphabétisés victimes de violations, ainsi que d’autres personnes, seront aidés à documenter leurs pétitions et il leur sera indiqué où les soumettre. Nous faciliterons également, grâce à un partenariat avec les branches locales de l’Association du barreau nigérian, le soutien juridique aux pétitionnaires.

      Les sessions du panel seront également diffusées en direct sur les médias sociaux, tandis que des articles de fond sur les différents cas seront publiés dans les quotidiens et blogs nigérians. Un temps d’antenne radio consacré à la diffusion des audiences judiciaires sera également consacré à des contenus sur la coordination des mouvements sociaux. Le programme radiophonique passera également en revue les principaux cas de la commission judiciaire, ce qui permettra de garder à l’esprit l’objectif du mouvement EndSARS, en particulier les avantages pour le pays. La quatrième action consiste à établir des relations avec le gouvernement afin de documenter des processus simples que les jeunes peuvent suivre pour signaler, à l’avenir, des délits similaires, tout en veillant à documenter les engagements du gouvernement envers les réformes promises. Cela se fera grâce à l’organisation de sessions de dialogue organisées entre les représentants du gouvernement, la police et les citoyens, sous la forme de réunions publiques. 100 jeunes et personnes en situation de handicap bénéficieront également de 4 semaines de sessions en ligne sur l’activisme social.

      Le changement souhaité est que les jeunes ne considèrent pas la manifestation #EndSARS comme un nouvel effort superflu. Grâce à cela, le nombre de pétitions augmentera dans les États. Un autre changement attendu est que le gouvernement considère les organisations de la société civile comme des partenaires, d’autant plus que le ton des jingles radio (lorsqu’ils sont applicables et réalisés) sera celui d’une invitation aux citoyens à répondre à l’appel du gouvernement pour trouver des solutions à travers le panel judiciaire ou en utilisant des lignes gratuites pour signaler de nouvelles violations. Il est clair que cela conduira à une expansion de l’espace civique. La presse écrite, les médias sociaux et les reportages radiophoniques attireront l’attention du gouvernement sur la nécessité de mettre véritablement fin à #EndSARS, ce qui permettra de concevoir des politiques et des législations dans ce domaine. Lorsque des cas de brutalité policière se produisent, il y aura des canaux publics clairs pour les dénoncer, par exemple pour éviter qu’ils ne soient laissés en suspens pendant des années avant d’être forcés d’éclater au grand jour après des pertes en vies humaines. Le consortium propose trois solutions : veiller à ce que les exigences démocratiques du mouvement soient respectées et à ce que les promesses du gouvernement soient suivies d’effet ; mobiliser les actions qui permettront de suivre les violations des droits de l’homme, en particulier les brutalités policières au Nigeria, veiller à ce que les autorités compétentes soient impliquées ; et, enfin, aider les jeunes Nigérians à mieux s’organiser et à mieux se coordonner pour réclamer un avenir meilleur.

  • Projet

    Le mouvement #EndSARS a attiré l’attention du pays sur les problèmes persistants de brutalité policière et de mauvaise gouvernance. La réaction à tous les niveaux du gouvernement offre une opportunité soudaine de s’assurer que les victimes, en particulier les jeunes et les personnes vulnérables, sont entendues. Grâce aux commissions judiciaires, la justice peut être rendue et les oppressions sociales évitées.

    L’objectif principal de notre idée de projet est d’étendre les espaces civiques dans 3 États nigérians et dans le FCT, ce qui permettra aux citoyens de mieux suivre les promesses du gouvernement en matière de #EndSARS et de réduire les violations des droits de l’homme. Là où les pétitions sont encore reçues, ce consortium propose de soutenir l’effort du gouvernement en demandant aux jeunes lésés d’envoyer des pétitions et d’assister aux audiences du panel judiciaire dans 3 états – Ebonyi, Oyo, Bauchi, et le territoire de la capitale fédérale.

    Dans les États où des pétitions sont encore reçues, des annonces publiques simplifiées seront diffusées sur les médias, comme la radio et les médias sociaux, en tenant compte des langues locales. Les femmes et les personnes en situation de handicap qui ont été violées seront également ciblées par les jingles et encouragées à déposer des pétitions. Les jeunes non alphabétisés victimes de violations, ainsi que d’autres personnes, seront aidés à documenter leurs pétitions et il leur sera indiqué où les soumettre. Nous faciliterons également, grâce à un partenariat avec les branches locales de l’Association du barreau nigérian, le soutien juridique aux pétitionnaires.

    Les sessions du panel seront également diffusées en direct sur les médias sociaux, tandis que des articles de fond sur les différents cas seront publiés dans les quotidiens et blogs nigérians. Un temps d’antenne radio consacré à la diffusion des audiences judiciaires sera également consacré à des contenus sur la coordination des mouvements sociaux. Le programme radiophonique passera également en revue les principaux cas de la commission judiciaire, ce qui permettra de garder à l’esprit l’objectif du mouvement EndSARS, en particulier les avantages pour le pays. La quatrième action consiste à établir des relations avec le gouvernement afin de documenter des processus simples que les jeunes peuvent suivre pour signaler, à l’avenir, des délits similaires, tout en veillant à documenter les engagements du gouvernement envers les réformes promises. Cela se fera grâce à l’organisation de sessions de dialogue organisées entre les représentants du gouvernement, la police et les citoyens, sous la forme de réunions publiques. 100 jeunes et personnes en situation de handicap bénéficieront également de 4 semaines de sessions en ligne sur l’activisme social.

    Le changement souhaité est que les jeunes ne considèrent pas la manifestation #EndSARS comme un nouvel effort superflu. Grâce à cela, le nombre de pétitions augmentera dans les États. Un autre changement attendu est que le gouvernement considère les organisations de la société civile comme des partenaires, d’autant plus que le ton des jingles radio (lorsqu’ils sont applicables et réalisés) sera celui d’une invitation aux citoyens à répondre à l’appel du gouvernement pour trouver des solutions à travers le panel judiciaire ou en utilisant des lignes gratuites pour signaler de nouvelles violations. Il est clair que cela conduira à une expansion de l’espace civique. La presse écrite, les médias sociaux et les reportages radiophoniques attireront l’attention du gouvernement sur la nécessité de mettre véritablement fin à #EndSARS, ce qui permettra de concevoir des politiques et des législations dans ce domaine. Lorsque des cas de brutalité policière se produisent, il y aura des canaux publics clairs pour les dénoncer, par exemple pour éviter qu’ils ne soient laissés en suspens pendant des années avant d’être forcés d’éclater au grand jour après des pertes en vies humaines. Le consortium propose trois solutions : veiller à ce que les exigences démocratiques du mouvement soient respectées et à ce que les promesses du gouvernement soient suivies d’effet ; mobiliser les actions qui permettront de suivre les violations des droits de l’homme, en particulier les brutalités policières au Nigeria, veiller à ce que les autorités compétentes soient impliquées ; et, enfin, aider les jeunes Nigérians à mieux s’organiser et à mieux se coordonner pour réclamer un avenir meilleur.

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