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  • Organisation

    Bophana est le nom d’une jeune femme khmère qui était prisonnière à S21, un ancien lycée de Phnom Penh transformé en prison par les Khmers rouges. Bophana a continué à écrire des lettres à son fiancé, brisant ainsi l’interdiction de l’amour et de la vie privée imposée par les Khmers rouges. Elle est morte dans la prison à 25 ans, après avoir été torturée pendant plus de cinq mois. En adoptant le nom de Bophana, le Centre transmet le message de résistance, de courage et de dignité que cette femme a laissé aux générations futures à travers ses lettres et son histoire héroïque. Le Bophana Center a été lancé, il a été désigné comme le Bophana Audiovisual Resource Center.

    Cofondé par le réalisateur Rithy Panh, le Bophana Center collecte des matériaux filmiques et sonores liés au Cambodge et donne au public un accès numérique gratuit à ce patrimoine unique. La vaste base de données de qualité attire un public divers et large, notamment des jeunes Cambodgiens, des enseignants, des étudiants, des universitaires, des touristes et des journalistes. Ces archives sont également mises en valeur par des conférences, des débats, des expositions et des ateliers organisés par le centre. Bophana forme également de jeunes Cambodgiens au cinéma, à la création audiovisuelle et aux nouveaux médias, inspirant ainsi des productions significatives sur leur propre culture. Lieu d’échange et d’interaction, le Bophana Center soutient également la création sous toutes ses formes en accueillant des artistes : nous créons les archives de demain.

    – Objectif, vision, mission et valeur

    Vision : Le Bophana Audiovisual Resource Center-ARPAA s’efforce de devenir un centre d’archives à but non lucratif et non gouvernemental de premier plan dans le pays et la région, afin de raviver la mémoire du pays et de promouvoir la culture cambodgienne par le biais des arts et du multimédia.
    Objectifs :
    Afin d’accomplir ces deux missions, le Bophana Center-ARPAA vise à réaliser les objectifs suivants :

    1. Raviver la mémoire par la collecte et la sauvegarde des archives
    2. Fournir au public un accès numérique gratuit à ce patrimoine unique.
    3. Former des personnes à la création cinématographique et audiovisuelle, en leur permettant de trouver leur propre Voice dans le respect de l’égalité des genres.
    4. Produire un large éventail d’œuvres audiovisuelles sur le Cambodge.
    5. Diffuser les documents audiovisuels à travers les médias sociaux, le site internet, l’application, la télévision, les festivals et les événements culturels.

    Valeurs fondamentales :

    • – Unicité
    • – Intégrité
    • – Diversité
    • – Inclusivité
    • – Découverte
    • – Développement
    • Organisation

      Bophana est le nom d’une jeune femme khmère qui était prisonnière à S21, un ancien lycée de Phnom Penh transformé en prison par les Khmers rouges. Bophana a continué à écrire des lettres à son fiancé, brisant ainsi l’interdiction de l’amour et de la vie privée imposée par les Khmers rouges. Elle est morte dans la prison à 25 ans, après avoir été torturée pendant plus de cinq mois. En adoptant le nom de Bophana, le Centre transmet le message de résistance, de courage et de dignité que cette femme a laissé aux générations futures à travers ses lettres et son histoire héroïque. Le Bophana Center a été lancé, il a été désigné comme le Bophana Audiovisual Resource Center.

      Cofondé par le réalisateur Rithy Panh, le Bophana Center collecte des matériaux filmiques et sonores liés au Cambodge et donne au public un accès numérique gratuit à ce patrimoine unique. La vaste base de données de qualité attire un public divers et large, notamment des jeunes Cambodgiens, des enseignants, des étudiants, des universitaires, des touristes et des journalistes. Ces archives sont également mises en valeur par des conférences, des débats, des expositions et des ateliers organisés par le centre. Bophana forme également de jeunes Cambodgiens au cinéma, à la création audiovisuelle et aux nouveaux médias, inspirant ainsi des productions significatives sur leur propre culture. Lieu d’échange et d’interaction, le Bophana Center soutient également la création sous toutes ses formes en accueillant des artistes : nous créons les archives de demain.

      – Objectif, vision, mission et valeur

      Vision : Le Bophana Audiovisual Resource Center-ARPAA s’efforce de devenir un centre d’archives à but non lucratif et non gouvernemental de premier plan dans le pays et la région, afin de raviver la mémoire du pays et de promouvoir la culture cambodgienne par le biais des arts et du multimédia.
      Objectifs :
      Afin d’accomplir ces deux missions, le Bophana Center-ARPAA vise à réaliser les objectifs suivants :

      1. Raviver la mémoire par la collecte et la sauvegarde des archives
      2. Fournir au public un accès numérique gratuit à ce patrimoine unique.
      3. Former des personnes à la création cinématographique et audiovisuelle, en leur permettant de trouver leur propre Voice dans le respect de l’égalité des genres.
      4. Produire un large éventail d’œuvres audiovisuelles sur le Cambodge.
      5. Diffuser les documents audiovisuels à travers les médias sociaux, le site internet, l’application, la télévision, les festivals et les événements culturels.

      Valeurs fondamentales :

      • – Unicité
      • – Intégrité
      • – Diversité
      • – Inclusivité
      • – Découverte
      • – Développement
    • Projet

      Le projet « The Arts of Visibility and Positive Social Change » (les arts de la visibilité et du changement social positif) vise à transformer et à renforcer les voix des jeunes autochtones, en particulier des femmes, par le biais des connaissances autochtones, de l’artivisme et de la technologie multimédia. Ce projet comporte quatre approches novatrices principales :

      1. Renforcer et développer les capacités de 24 jeunes indigènes (50% sont des femmes) dans les arts de la réalisation de films et du multimédia et les équiper pour qu’ils deviennent des activistes pour des changements de comportement dans leur communauté en s’appuyant sur le succès du projet précédent soutenu par Voice.
      2. Les cinéastes indigènes formés dans le cadre du projet précédent aideront les étudiants à devenir des mentors pour ce projet. Les jeunes autochtones s’entraideront pour renforcer leurs compétences et leurs capacités en matière de réalisation de documentaires. Au moins 12 films documentaires seront coproduits dans le cadre du programme d’échange entre les jeunes indigènes des provinces de Ratanakiri et de Mondulkiri. Les jeunes indigènes deviendront des activistes contribuant à l’amélioration et au développement durable de leur communauté.
      3. Grâce à un partenariat avec des ONG locales basées dans les zones ciblées (CIPO), le programme de formation a lieu dans les provinces d’origine des jeunes indigènes afin de promouvoir une plus grande accessibilité, d’engager une plus grande participation de la communauté, d’établir la confiance et l’appropriation de ce projet par la communauté indigène.
      4. Développer un glossaire de la réalisation de films pour fournir aux étudiants, formateurs, mentors et techniciens une compréhension commune des étapes et techniques clés de la réalisation de films qui sera utile aux étudiants passés, actuels et futurs. Le petit glossaire sera disponible en langues jarai, tampuon, kreugn, bunong, khmer et anglais afin de faciliter la transmission, la diffusion et l’appropriation du projet par les différents groupes ethniques impliqués.

      Les 24 jeunes étudiants indigènes sont formés et ont la capacité de produire 24 courts métrages qui étudient les problèmes politiques, environnementaux, économiques et sociaux rencontrés par les personnes les plus vulnérables de leurs communautés. Les jeunes indigènes formés travailleront avec les aînés de leur communauté, artistes ou artisans, pour faire revivre leurs arts en voie de disparition afin de les documenter et de les promouvoir auprès du grand public. Au moins 12 artistes/artisans de 6 communautés différentes sont documentés. Ils auront l’occasion de se voir proposer des emplois par diverses institutions, ce qui contribuera à leur autonomisation économique, car il n’existe actuellement aucune école multimédia ou cinématographique accréditée au Cambodge qui puisse fournir ces compétences. Les films documentaires des étudiants auront un impact sur le grand public, notamment sur les décideurs politiques.

      Les projections de films suivies d’un dialogue avec la communauté, à la fois dans un format physique et dans un format virtuel utilisant des outils TIC, peuvent contribuer à faciliter le débat public inclusif sur les problèmes sociaux auxquels les communautés indigènes sont confrontées.

      Ce projet de 21 mois est destiné à être mis en œuvre dans 6 communautés indigènes différentes dans les provinces de Ratanakiri et Mondulkiri.

  • Projet

    Le projet « The Arts of Visibility and Positive Social Change » (les arts de la visibilité et du changement social positif) vise à transformer et à renforcer les voix des jeunes autochtones, en particulier des femmes, par le biais des connaissances autochtones, de l’artivisme et de la technologie multimédia. Ce projet comporte quatre approches novatrices principales :

    1. Renforcer et développer les capacités de 24 jeunes indigènes (50% sont des femmes) dans les arts de la réalisation de films et du multimédia et les équiper pour qu’ils deviennent des activistes pour des changements de comportement dans leur communauté en s’appuyant sur le succès du projet précédent soutenu par Voice.
    2. Les cinéastes indigènes formés dans le cadre du projet précédent aideront les étudiants à devenir des mentors pour ce projet. Les jeunes autochtones s’entraideront pour renforcer leurs compétences et leurs capacités en matière de réalisation de documentaires. Au moins 12 films documentaires seront coproduits dans le cadre du programme d’échange entre les jeunes indigènes des provinces de Ratanakiri et de Mondulkiri. Les jeunes indigènes deviendront des activistes contribuant à l’amélioration et au développement durable de leur communauté.
    3. Grâce à un partenariat avec des ONG locales basées dans les zones ciblées (CIPO), le programme de formation a lieu dans les provinces d’origine des jeunes indigènes afin de promouvoir une plus grande accessibilité, d’engager une plus grande participation de la communauté, d’établir la confiance et l’appropriation de ce projet par la communauté indigène.
    4. Développer un glossaire de la réalisation de films pour fournir aux étudiants, formateurs, mentors et techniciens une compréhension commune des étapes et techniques clés de la réalisation de films qui sera utile aux étudiants passés, actuels et futurs. Le petit glossaire sera disponible en langues jarai, tampuon, kreugn, bunong, khmer et anglais afin de faciliter la transmission, la diffusion et l’appropriation du projet par les différents groupes ethniques impliqués.

    Les 24 jeunes étudiants indigènes sont formés et ont la capacité de produire 24 courts métrages qui étudient les problèmes politiques, environnementaux, économiques et sociaux rencontrés par les personnes les plus vulnérables de leurs communautés. Les jeunes indigènes formés travailleront avec les aînés de leur communauté, artistes ou artisans, pour faire revivre leurs arts en voie de disparition afin de les documenter et de les promouvoir auprès du grand public. Au moins 12 artistes/artisans de 6 communautés différentes sont documentés. Ils auront l’occasion de se voir proposer des emplois par diverses institutions, ce qui contribuera à leur autonomisation économique, car il n’existe actuellement aucune école multimédia ou cinématographique accréditée au Cambodge qui puisse fournir ces compétences. Les films documentaires des étudiants auront un impact sur le grand public, notamment sur les décideurs politiques.

    Les projections de films suivies d’un dialogue avec la communauté, à la fois dans un format physique et dans un format virtuel utilisant des outils TIC, peuvent contribuer à faciliter le débat public inclusif sur les problèmes sociaux auxquels les communautés indigènes sont confrontées.

    Ce projet de 21 mois est destiné à être mis en œuvre dans 6 communautés indigènes différentes dans les provinces de Ratanakiri et Mondulkiri.

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