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  • Organisation

    Aksi Keadilan Indonésie (Action pour la justice en Indonésie, AJI en anglais) est un réseau informel de groupes à base communautaire et de la société civile qui partagent une vision mutuelle facilitant l’accès à la justice pour les personnes vulnérables, en particulier les femmes toxicomanes. Le réseau est lié par le principe de l’égalité devant la loi comme fondement de la justice pour toutes  les communautés indonésiennes. L´AJI est une organisation qui offre une assistance juridique grâce au travail pro bono d´avocats, de parajuristes, et de personnes non juristes mais qui ont une bonne connaissance des contextes relatifs aux cas traités.

    AKI travaille en consortium avec les organisations suivantes de leurs pays respectifs: AJI en tant que requérante principale d’Indonésie ; Asia Catalyst, enregistrée en Thaïlande, en tant que hôte fiscal de ce projet ; IDPC en tant que coordinatrice régionale et conseillère technique des partenaires du projet ; UDI care aux Philippines; et Health and Opportunity Network / Réseau Santé et Opportunité en Thaïlande. Les détenteurs de droits de Malaisie et du Cambodge sont organisés dans des groupes informels. Asia Catalyst Foundation est une organisation de la société civile à but non lucratif qui a pour mission de former des leaders d’organisations à base communautaires à être des organisations efficaces, viables et démocratiques, et à mener des recherches et un plaidoyer rigoureux en matière de droits de l’ homme à travers l’ Asie.

     

    • Organisation

      Aksi Keadilan Indonésie (Action pour la justice en Indonésie, AJI en anglais) est un réseau informel de groupes à base communautaire et de la société civile qui partagent une vision mutuelle facilitant l’accès à la justice pour les personnes vulnérables, en particulier les femmes toxicomanes. Le réseau est lié par le principe de l’égalité devant la loi comme fondement de la justice pour toutes  les communautés indonésiennes. L´AJI est une organisation qui offre une assistance juridique grâce au travail pro bono d´avocats, de parajuristes, et de personnes non juristes mais qui ont une bonne connaissance des contextes relatifs aux cas traités.

      AKI travaille en consortium avec les organisations suivantes de leurs pays respectifs: AJI en tant que requérante principale d’Indonésie ; Asia Catalyst, enregistrée en Thaïlande, en tant que hôte fiscal de ce projet ; IDPC en tant que coordinatrice régionale et conseillère technique des partenaires du projet ; UDI care aux Philippines; et Health and Opportunity Network / Réseau Santé et Opportunité en Thaïlande. Les détenteurs de droits de Malaisie et du Cambodge sont organisés dans des groupes informels. Asia Catalyst Foundation est une organisation de la société civile à but non lucratif qui a pour mission de former des leaders d’organisations à base communautaires à être des organisations efficaces, viables et démocratiques, et à mener des recherches et un plaidoyer rigoureux en matière de droits de l’ homme à travers l’ Asie.

       

    • Projet

      En 2019, l’International Drug Policy Consortium (IDPC en anglais) a publié un rapport parallèle montrant comment l’Asie du Sud-Est est devenue l’une des régions du monde ayant les politiques les plus drastiques en matière de drogues. Suite à des approches si punitives (qui favorisent la criminalisation et la violence parrainée par l´Etat), les violations des droits de l´homme sont courantes et le poids de leurs conséquences négatives est supporté par les groupes les plus vulnérables et marginalisés, en particulier les femmes toxicomanes. La peine de mort, les assassinats extrajudiciaires, la violence basée sur le genre (y compris la violence sexuelle), les taux élevés d’incarcération, le manque d’accès aux avocats et à la justice dans les tribunaux, sont seulement une partie des problèmes auxquels sont exposées les femmes toxicomanes d´Asie du Sud-Est. Ces femmes qui utilisent de la drogue sont diabolisées pour leur échec à se comporter « comme des femmes » ou comme de « bonnes femmes », et sont dans des états sanitaires pires que leurs homologues hommes, comme le montrent la hausse des taux de mortalité, l’exposition au VIH / SIDA, l’exclusion sociale, la stigmatisation et la discrimination, ainsi qu’un accès limité aux services de santé en général. En dépit de la disponibilité des services de réhabilitation et des interventions (y compris des services de réduction des risques) fournis par les gouvernements, et même par les organisations de la société civile, ils sont conçus principalement par les hommes pour les hommes, laissant pour compte les besoins spécifiques des femmes.

      Par conséquent, les femmes (y compris les femmes transgenres) toxicomanes, sont parmi les plus vulnérables des groupes qui sont déjà fortement discriminés et persécutés : la communauté des personnes qui consomment de la drogue. En outre, il existe très peu de soutien pour autonomiser et garantir la protection des droits des femmes consommatrices de drogue. Cela a donné lieu à l’absence de voix de femmes dans le plaidoyer pour des actions contre ces violations de droits et la défense des réformes de politique de la drogue basées sur les droits humains. Conformément à cela, le projet renforcement et autonomisation des femmes toxicomanes en Asie du Sud-Est (SPIRIT en anglais), dirigé par Aksi Keadilan Indonésie (Action pour la justice en Indonésie, AJI) avec le soutien l’Asia Catalyst (comme leur hôte fiscal), autonomise les femmes toxicomanes en Indonésie, aux Philippines, en Thaïlande, au Cambodge et en Malaisie.

      Le projet vise à établir (et à renforcer) des réseaux de femmes consommatrices de drogue à plaider en faveur de l’égalité des sexes, l’inclusion sociale et de politiques plus humaines en matière de drogues. Cet objectif est atteint en menant des activités aux niveaux national et régional. Les activités dans les pays sont conçues sur mesure pour promouvoir les compétences d’autonomisation et de leadership des femmes toxicomanes, compétences adaptées à leur contexte culturel et politique national. Les activités régionales quant à elles servent de plateformes pour promouvoir la solidarité transfrontalière entre ces femmes en Asie du Sud-Est, l´échange de leçons apprises de leurs activités respectives, et le renforcement de leurs capacités pour la défense des droits sexospécifiques et les réformes de politiques en matière de drogue.

  • Projet

    En 2019, l’International Drug Policy Consortium (IDPC en anglais) a publié un rapport parallèle montrant comment l’Asie du Sud-Est est devenue l’une des régions du monde ayant les politiques les plus drastiques en matière de drogues. Suite à des approches si punitives (qui favorisent la criminalisation et la violence parrainée par l´Etat), les violations des droits de l´homme sont courantes et le poids de leurs conséquences négatives est supporté par les groupes les plus vulnérables et marginalisés, en particulier les femmes toxicomanes. La peine de mort, les assassinats extrajudiciaires, la violence basée sur le genre (y compris la violence sexuelle), les taux élevés d’incarcération, le manque d’accès aux avocats et à la justice dans les tribunaux, sont seulement une partie des problèmes auxquels sont exposées les femmes toxicomanes d´Asie du Sud-Est. Ces femmes qui utilisent de la drogue sont diabolisées pour leur échec à se comporter « comme des femmes » ou comme de « bonnes femmes », et sont dans des états sanitaires pires que leurs homologues hommes, comme le montrent la hausse des taux de mortalité, l’exposition au VIH / SIDA, l’exclusion sociale, la stigmatisation et la discrimination, ainsi qu’un accès limité aux services de santé en général. En dépit de la disponibilité des services de réhabilitation et des interventions (y compris des services de réduction des risques) fournis par les gouvernements, et même par les organisations de la société civile, ils sont conçus principalement par les hommes pour les hommes, laissant pour compte les besoins spécifiques des femmes.

    Par conséquent, les femmes (y compris les femmes transgenres) toxicomanes, sont parmi les plus vulnérables des groupes qui sont déjà fortement discriminés et persécutés : la communauté des personnes qui consomment de la drogue. En outre, il existe très peu de soutien pour autonomiser et garantir la protection des droits des femmes consommatrices de drogue. Cela a donné lieu à l’absence de voix de femmes dans le plaidoyer pour des actions contre ces violations de droits et la défense des réformes de politique de la drogue basées sur les droits humains. Conformément à cela, le projet renforcement et autonomisation des femmes toxicomanes en Asie du Sud-Est (SPIRIT en anglais), dirigé par Aksi Keadilan Indonésie (Action pour la justice en Indonésie, AJI) avec le soutien l’Asia Catalyst (comme leur hôte fiscal), autonomise les femmes toxicomanes en Indonésie, aux Philippines, en Thaïlande, au Cambodge et en Malaisie.

    Le projet vise à établir (et à renforcer) des réseaux de femmes consommatrices de drogue à plaider en faveur de l’égalité des sexes, l’inclusion sociale et de politiques plus humaines en matière de drogues. Cet objectif est atteint en menant des activités aux niveaux national et régional. Les activités dans les pays sont conçues sur mesure pour promouvoir les compétences d’autonomisation et de leadership des femmes toxicomanes, compétences adaptées à leur contexte culturel et politique national. Les activités régionales quant à elles servent de plateformes pour promouvoir la solidarité transfrontalière entre ces femmes en Asie du Sud-Est, l´échange de leçons apprises de leurs activités respectives, et le renforcement de leurs capacités pour la défense des droits sexospécifiques et les réformes de politiques en matière de drogue.

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