Projet
Ayuda Komunidad : Un projet durable d’autonomisation de la communauté LGBTI+
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Montant financé
49,999 EURODurée du projet
01 Mar 2022 - 31 Déc 2023 -
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Applicant principal
GAYON Albay LGBT Organization, Inc
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GAYON a été enregistré auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) en 2011, et auprès du Bureau of Internal Revenue (BIR) en 2012. GAYON est également accrédité par le gouvernement provincial d’Albay, LGU Legazpi Vity, LGU Daraga, LGU Sto. Domingo, et LGU Tiwi. GAYON Inc. a également un siège en tant que membre du Conseil de santé local de Daraga, du Comité de surveillance du projet de la ville de Legazpi, du Conseil de planification et de développement de la ville, et du signataire du BUB. Elle est également l’un des 8 membres du Conseil provincial de planification et de développement d’Albay.
GAYON compte un total de trente membres et sept conseils d’administration, dont cinq sont également membres d’Execom. GAYON tient des réunions mensuelles régulières, des assemblées annuelles et des rapports de mi-année et de fin d’année.
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Organisation
GAYON a été enregistré auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) en 2011, et auprès du Bureau of Internal Revenue (BIR) en 2012. GAYON est également accrédité par le gouvernement provincial d’Albay, LGU Legazpi Vity, LGU Daraga, LGU Sto. Domingo, et LGU Tiwi. GAYON Inc. a également un siège en tant que membre du Conseil de santé local de Daraga, du Comité de surveillance du projet de la ville de Legazpi, du Conseil de planification et de développement de la ville, et du signataire du BUB. Elle est également l’un des 8 membres du Conseil provincial de planification et de développement d’Albay.
GAYON compte un total de trente membres et sept conseils d’administration, dont cinq sont également membres d’Execom. GAYON tient des réunions mensuelles régulières, des assemblées annuelles et des rapports de mi-année et de fin d’année.
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Projet
Leur objectif est de renforcer le réseau régional d’organisations communautaires LGBT de Bicol et d’en faire un outil de collaboration, de campagne et de communication, en particulier en cette période de pandémie entre et parmi les organisations LGBTI de la région. Nous voulons que ces organisations informelles, notamment celles qui se trouvent dans les zones GIDA, puissent participer pleinement et apporter leurs problèmes à la table des discussions et des échanges. Un autre objectif est d’atteindre ces organisations informelles supplémentaires que nous avons pu identifier pour leur proposer des activités de développement des capacités en matière de gestion organisationnelle et financière, de SOGIE, de VIH/SIDA, de droits de l’homme et de gouvernance. Nous devons travailler main dans la main avec ces organisations en les aidant à obtenir leur accréditation et leur enregistrement auprès des unités gouvernementales locales et des agences gouvernementales. Ces organisations ont également voulu participer et être incluses indifféremment dans les organes spéciaux locaux de leur municipalité ou de leur ville. Il est également important qu’elles gèrent bien leur propre organisation en organisant des formations locales sur l’importance des structures organisationnelles, en disposant de leurs propres documents juridiques (statuts, constitution et règlements) et en acquérant les compétences nécessaires pour faire pression sur les UGL afin d’obtenir un budget pour les activités LGBTI et les campagnes en faveur des politiques locales. Nous souhaitons également que les différentes UGL et agences gouvernementales présentent leurs programmes et projets disponibles pour les communautés LGBTI et réduisent la charge des accréditations/enregistrements. Il s’agit notamment d’un système permettant aux membres de la communauté qui vivent seuls, en couple ou en famille d’être identifiés comme bénéficiaires légaux de services (sociaux/économiques), en particulier en cas de calamités et de pandémies. Nous souhaitons également qu’un mécanisme de recours soit mis en place ou établi pour répondre aux questions et aux préoccupations de la communauté en termes de violations des droits de l’homme, de violence sexiste, de crimes haineux, de discriminations fondées sur l’OSIG, d’état de santé, de situation économique et d’emploi. Nous coordonnerons également avec les organisations de la société civile partenaires les autres formations disponibles pour la communauté. A la fin du projet, nous souhaitons que le réseau LGBTI de la région soit renforcé.
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Leur objectif est de renforcer le réseau régional d’organisations communautaires LGBT de Bicol et d’en faire un outil de collaboration, de campagne et de communication, en particulier en cette période de pandémie entre et parmi les organisations LGBTI de la région. Nous voulons que ces organisations informelles, notamment celles qui se trouvent dans les zones GIDA, puissent participer pleinement et apporter leurs problèmes à la table des discussions et des échanges. Un autre objectif est d’atteindre ces organisations informelles supplémentaires que nous avons pu identifier pour leur proposer des activités de développement des capacités en matière de gestion organisationnelle et financière, de SOGIE, de VIH/SIDA, de droits de l’homme et de gouvernance. Nous devons travailler main dans la main avec ces organisations en les aidant à obtenir leur accréditation et leur enregistrement auprès des unités gouvernementales locales et des agences gouvernementales. Ces organisations ont également voulu participer et être incluses indifféremment dans les organes spéciaux locaux de leur municipalité ou de leur ville. Il est également important qu’elles gèrent bien leur propre organisation en organisant des formations locales sur l’importance des structures organisationnelles, en disposant de leurs propres documents juridiques (statuts, constitution et règlements) et en acquérant les compétences nécessaires pour faire pression sur les UGL afin d’obtenir un budget pour les activités LGBTI et les campagnes en faveur des politiques locales. Nous souhaitons également que les différentes UGL et agences gouvernementales présentent leurs programmes et projets disponibles pour les communautés LGBTI et réduisent la charge des accréditations/enregistrements. Il s’agit notamment d’un système permettant aux membres de la communauté qui vivent seuls, en couple ou en famille d’être identifiés comme bénéficiaires légaux de services (sociaux/économiques), en particulier en cas de calamités et de pandémies. Nous souhaitons également qu’un mécanisme de recours soit mis en place ou établi pour répondre aux questions et aux préoccupations de la communauté en termes de violations des droits de l’homme, de violence sexiste, de crimes haineux, de discriminations fondées sur l’OSIG, d’état de santé, de situation économique et d’emploi. Nous coordonnerons également avec les organisations de la société civile partenaires les autres formations disponibles pour la communauté. A la fin du projet, nous souhaitons que le réseau LGBTI de la région soit renforcé.
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Actualités