Call for proposal
Ce n’est pas un Tabou!
Mali V-22202-ML-EM
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Montant de subvention
5000 - 25000Durée du projet
12 - 18 MoisDate limite
29 Avr 2022 -
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Ce n’est pas un Tabou! nos droits à la santé sexuelle et reproductive.
Ce n’est pas un Tabou est un Appel à Propositions pour faire appel aux femmes, jeunes filles vulnérables ! Il fait partie des appels à proposition qui dans leur ensemble forment la réponse stratégique des résultats d’exercice de l’analyse de contexte Malien de 2020 pour la phase d’extension de 2021-2024.
Selon l’Enquête Démographique et de Santé 2018 la situation au Mali se caractérise par : L’Indice Synthétique de Fécondité (ISF), est estimé à 6,3 enfants par femme. Les taux de fécondité augmentent par groupe d’âges passant de 164 ‰ chez les jeunes femmes de 15-19 ans à 278 ‰ chez celles de 20-24 ans avant de décroitre très rapidement et atteindre 24 ‰ chez celles de 45-49 ans. (Source EDSM 2018).
Le Mali possède le taux de mortalité maternelle le plus élevé en Afrique. Il en est de même pour le taux de mortalité néonatal et infantile. Les besoins en Planification familiale sont de 24%. Les proportions d’adolescentes de 15-19 ans ayant commencé leur vie procréative augmentent rapidement avec l’âge, passant de 11 % à 15 ans à 38 % à 17 ans et à 66 % à 19 ans, âge auquel 59 % des jeunes filles ont déjà eu, au moins, un enfant. Elles constituent un groupe à risque en matière de fécondité et de santé sexuelle et reproductive.
En effet, les enfants de mères jeunes (moins de 20 ans) courent en général plus de risques décès que ceux issus de mères plus âgées. De même, les accouchements précoces augmentent le risque de décès chez les adolescentes.
Enfin, l’entrée précoce des jeunes filles dans la vie féconde réduit considérablement leurs opportunités scolaires. Il ressort que 36 % des adolescentes, au Mali ont commencé leur vie procréative dont 6 % enceinte et attente leur premier enfant et 30% ont eu au moins un enfant. Le pourcentage d’adolescentes ayant déjà commencé leur vie féconde augmente rapidement avec l’âge, passant de 8 % à 15 ans à 21 % à 16 ans puis à 59 % parmi celles de 19 ans. Le pourcentage d’adolescentes qui ont déjà commencé leur vie procréative est nettement plus élevé en milieu rural qu’en milieu urbain (40 % contre 25 %).
- Utilisation actuelle de la contraception : L’utilisation des méthodes contraceptives par les femmes de 15-49 ans en union n’est pas très élevée : 17 % utilisent une méthode contraceptive et la plupart utilise une méthode moderne (16 % contre 1 % pour les méthodes traditionnelles) bien que la tendance de l’utilisation contraceptive soit à la hausse depuis l’EDSM V 2012-2013. En effet, entre les deux enquêtes, la prévalence de l’utilisation de méthodes contraceptives modernes est passée de 10 % en 2012-2013 à 16 % en 2018 (source EDSV 2018). La prévalence contraceptive moderne est plus élevée en milieu urbain (22 % à Bamako et 20 % dans les autres villes) qu’en milieu rural (15 %).
En milieu urbain, 8 % des femmes utilisent les implants, 5 % utilisent les injectables et 5 % utilisent la pilule. A cela s’ajoute des variations importantes entre les régions : la prévalence de la contraception moderne varie de 3 % dans les régions de Kidal et de Gao, à 19 % dans celles de Sikasso et Koulikoro et 20 % à Ségou et à un maximum de 22 % dans le district de Bamako. Cependant, le niveau d’instruction des femmes constitue un autre facteur différentiel important.
La prévalence contraceptive moderne augmente avec le niveau d’instruction, variant de 14 % parmi les femmes n’ayant aucun niveau d’instruction à 18 % parmi celles ayant le niveau primaire et à 29 % parmi celles ayant le niveau secondaire ou supérieur.
- Besoins en matière de planification familiale : Au Mali, 24 % des femmes actuellement en union ont des besoins non satisfaits en matière de planification familiale. Les besoins satisfaits en matière de planification familiale représentent 17 % (c’est-à-dire la proportion des femmes en union qui utilisaient, au moment de l’enquête, la contraception). Globalement, la demande totale en planification familiale s’élève à 41 %. Cette demande est satisfaite dans 42 % des cas et par les seules méthodes modernes dans 40 % des cas.
- Connaissance du VIH : au Mali, il ressort de EDSM 2018 que 57 % des femmes et 70 % des hommes connaissent à la fois ces deux moyens de prévention du VIH. Le pourcentage des hommes connaissant les deux moyens de prévention du VIH est plus élevé en milieu urbain qu’en milieu rural (79 % contre 67 %).
Cependant, ce pourcentage ne varie pas selon le milieu de résidence chez les femmes. . Chez les femmes comme chez les hommes, la connaissance des moyens d’éviter le VIH augmente avec le niveau d’instruction. Alors que 69 % des femmes et 84 % des hommes ayant un niveau d’instruction secondaire ou supérieur connaissent les deux moyens de prévention du VIH (Utilisation des condoms et la limitation des rapports sexuels à un seul partenaire qui n’est pas infecté).
Chez les jeunes, 16 % des jeunes femmes et 16 % des jeunes hommes âgés de 15-24 ans ont une connaissance complète des moyens de prévention du VIH. Le pourcentage de jeunes ayant une connaissance complète sur le VIH est plus élevé en milieu urbain qu’en milieu rural ; 21 % des jeunes femmes et 27 % des jeunes hommes du milieu urbain ont une connaissance complète sur le VIH contre respectivement 14 % et 12 % du milieu rural.
Le pourcentage de jeunes ayant une connaissance complète sur le VIH augmente avec le niveau d’instruction, passant de 9 % chez les femmes n’ayant aucun niveau d’instruction à 25 % chez celles ayant le niveau d’instruction secondaire ou supérieur, et, chez les hommes, de respectivement 7 % à 27 %. (Source EDSM2018).
Ce n’est pas un Tabou ! veut changer cette dynamique.
Que cherchons-nous?
Pour cet Appel à proposition, Voice priorise les organisations féminines formelles ou informelles basées sur le principe Rien pour Nous sans Nous (ou NOW-Nous !) pour amplifier les voix des femmes et changer leur vie.
En plus, analyse de contexte de 2020 a démontré qu’il faut prioriser des femmes qui sont confrontés à plusieurs vulnérabilités. Ce phénomène est connu comme une approche intersectionnelle. Donc Voice priorisera des organisations et des projets qui mettront au cœur :
- Les (jeunes) femmes en situation de handicap
- Les femmes en risque d’exploitation, d’abus et/ou de violence
- Les jeunes femmes vulnérables
- Les femmes âgées vulnérables
- Les (jeunes) femmes autochtones et/ou ethniques
Nous soutiendrons les interventions qui libèrent et qui changent les attitudes, les croyances et les politiques du Mali dans son ensemble. Par conséquent, votre projet doit chercher à :
- Promouvoir les droits à la santé sexuelle des femmes et jeunes filles en particulier les femmes et jeunes filles en situation de handicap.
- Renforcer l’accès des femmes et jeunes filles en particulier les femmes et jeunes filles handicapées à la planification familiale et autres services de santé sexuelles et reproductive dans les zones rurales.
Qu’entendons-nous par Autonomisation ?
La subvention Autonomisation est mieux adaptée aux groupes cibles eux-mêmes et/ ou aux organisations qui impliquent fortement le groupe cible en lui donnant le leadership transformationnel, car nous nous attendons à un environnement sécurisé où le groupe cible peut s’exprimer en toute quiétude.
Voice Mali encourage pour ce présent Appel des Propositions qui traitent des doubles vulnérabilités c’est à dire mettre en relief les problématiques doubles ou plus qui affectent les jeunes filles et /ou les femmes âgées.
Les autres propositions qui impliquent les autres groupes cibles ne seront pas acceptées pour cet Appel à Proposition.
Mettre en pratique les valeurs de Voice
Voice croit au principe « Rien pour nous sans nous ». En pratique, cela signifie que les groupes de détenteurs de droits de Voice doivent être au centre de tout effort. Ils doivent être impliqués dans la conceptualisation, la planification et la mise en œuvre de toute subvention. Ils sont des partenaires égaux dans tout consortium, réseau ou coalition, jouant des rôles clés de gouvernance et de leadership.
Voice valorise la diversité et l’inclusion. Tous les partenaires de subventions doivent être en mesure d’interagir avec un groupe de personnes venant de milieux, d’orientations et d’expériences différents et d’en tirer des enseignements. Les candidats intéressés doivent être prêts à travailler au sein d’une communauté diversifiée, qui comprend des représentants de tous les groupes détenteurs de droits de Voice.
Lien et Apprentissage
Lien et Apprentissage est au cœur et à l’âme de Voice. Tous les partenaires doivent participer à des réunions et des rassemblements facilités permettant l’échange d’idées et l’apprentissage à partir des expériences des uns et des autres. Les candidats doivent démontrer dans leurs propositions comment ils vont identifier, documenter et partager leurs apprentissages au fur et à mesure de la mise en œuvre de leur projet. Ces enseignements peuvent prendre de nombreuses formes, comme des articles de blog, des vidéos, des essais photographiques ou des enregistrements audios.
Ce que nous ne financerons pas
Les organisations avec un chiffre d’affaires annuel de plus de 2 millions d’euros basée sur les revenues de 2020 ou 2021.
Les partenaires de consortium du cadre politique de « Renforcement de la société civile» du ministère néerlandais du Commerce extérieur et de la Coopération au développement, veuillez consulter:
https://www.government.nl/binaries/government/documents/policy-notes/2019/11/28/policy--strengthening-civil-society/Selectedalliancesafterstage2.pdf
Une demande où la subvention accordée par Voice représente plus de 50% du revenu annuel total de l’organisme demandeur. Le moyen de calculer cela est de diviser le montant demandé par an par le revenu annuel. Si le résultat de ce calcul est supérieur à 50%, vous pouvez réduire le montant demandé ou faire équipe dans le cadre d’un consortium où vous pouvez additionner les budgets.
Financement de services commerciaux, d’investissements ou d’autres activités commerciales.
Quand les décisions de financement seront-elles prises ?
Toutes les demandes seront examinées et les décisions communiquées à tous les candidats six semaines après le début des cycles d’examen. Pour connaître les dates exactes, veuillez également consulter le Manuel des Subventions. Tous les projets au titre de la présente subvention devraient démarrer en juin 2022.
Veuillez noter qu’au cours de cette période d’examen, Voice pourrait vous demander de soumettre les documents supplémentaires suivants :
- Une copie du certificat d’inscription
- Le profil de l’organisation
- Les rapports financiers des 2 dernières années
- Les rapports d’audit des 2 dernières années
- Un relevé officiel de compte bancaire
- Le manuel opérationnel
- Les procès-verbaux des 2 dernières réunions du conseil d’administration
-
A propos
Ce n’est pas un Tabou! nos droits à la santé sexuelle et reproductive.
Ce n’est pas un Tabou est un Appel à Propositions pour faire appel aux femmes, jeunes filles vulnérables ! Il fait partie des appels à proposition qui dans leur ensemble forment la réponse stratégique des résultats d’exercice de l’analyse de contexte Malien de 2020 pour la phase d’extension de 2021-2024.
Selon l’Enquête Démographique et de Santé 2018 la situation au Mali se caractérise par : L’Indice Synthétique de Fécondité (ISF), est estimé à 6,3 enfants par femme. Les taux de fécondité augmentent par groupe d’âges passant de 164 ‰ chez les jeunes femmes de 15-19 ans à 278 ‰ chez celles de 20-24 ans avant de décroitre très rapidement et atteindre 24 ‰ chez celles de 45-49 ans. (Source EDSM 2018).
Le Mali possède le taux de mortalité maternelle le plus élevé en Afrique. Il en est de même pour le taux de mortalité néonatal et infantile. Les besoins en Planification familiale sont de 24%. Les proportions d’adolescentes de 15-19 ans ayant commencé leur vie procréative augmentent rapidement avec l’âge, passant de 11 % à 15 ans à 38 % à 17 ans et à 66 % à 19 ans, âge auquel 59 % des jeunes filles ont déjà eu, au moins, un enfant. Elles constituent un groupe à risque en matière de fécondité et de santé sexuelle et reproductive.
En effet, les enfants de mères jeunes (moins de 20 ans) courent en général plus de risques décès que ceux issus de mères plus âgées. De même, les accouchements précoces augmentent le risque de décès chez les adolescentes.
Enfin, l’entrée précoce des jeunes filles dans la vie féconde réduit considérablement leurs opportunités scolaires. Il ressort que 36 % des adolescentes, au Mali ont commencé leur vie procréative dont 6 % enceinte et attente leur premier enfant et 30% ont eu au moins un enfant. Le pourcentage d’adolescentes ayant déjà commencé leur vie féconde augmente rapidement avec l’âge, passant de 8 % à 15 ans à 21 % à 16 ans puis à 59 % parmi celles de 19 ans. Le pourcentage d’adolescentes qui ont déjà commencé leur vie procréative est nettement plus élevé en milieu rural qu’en milieu urbain (40 % contre 25 %).
- Utilisation actuelle de la contraception : L’utilisation des méthodes contraceptives par les femmes de 15-49 ans en union n’est pas très élevée : 17 % utilisent une méthode contraceptive et la plupart utilise une méthode moderne (16 % contre 1 % pour les méthodes traditionnelles) bien que la tendance de l’utilisation contraceptive soit à la hausse depuis l’EDSM V 2012-2013. En effet, entre les deux enquêtes, la prévalence de l’utilisation de méthodes contraceptives modernes est passée de 10 % en 2012-2013 à 16 % en 2018 (source EDSV 2018). La prévalence contraceptive moderne est plus élevée en milieu urbain (22 % à Bamako et 20 % dans les autres villes) qu’en milieu rural (15 %).
En milieu urbain, 8 % des femmes utilisent les implants, 5 % utilisent les injectables et 5 % utilisent la pilule. A cela s’ajoute des variations importantes entre les régions : la prévalence de la contraception moderne varie de 3 % dans les régions de Kidal et de Gao, à 19 % dans celles de Sikasso et Koulikoro et 20 % à Ségou et à un maximum de 22 % dans le district de Bamako. Cependant, le niveau d’instruction des femmes constitue un autre facteur différentiel important.
La prévalence contraceptive moderne augmente avec le niveau d’instruction, variant de 14 % parmi les femmes n’ayant aucun niveau d’instruction à 18 % parmi celles ayant le niveau primaire et à 29 % parmi celles ayant le niveau secondaire ou supérieur.
- Besoins en matière de planification familiale : Au Mali, 24 % des femmes actuellement en union ont des besoins non satisfaits en matière de planification familiale. Les besoins satisfaits en matière de planification familiale représentent 17 % (c’est-à-dire la proportion des femmes en union qui utilisaient, au moment de l’enquête, la contraception). Globalement, la demande totale en planification familiale s’élève à 41 %. Cette demande est satisfaite dans 42 % des cas et par les seules méthodes modernes dans 40 % des cas.
- Connaissance du VIH : au Mali, il ressort de EDSM 2018 que 57 % des femmes et 70 % des hommes connaissent à la fois ces deux moyens de prévention du VIH. Le pourcentage des hommes connaissant les deux moyens de prévention du VIH est plus élevé en milieu urbain qu’en milieu rural (79 % contre 67 %).
Cependant, ce pourcentage ne varie pas selon le milieu de résidence chez les femmes. . Chez les femmes comme chez les hommes, la connaissance des moyens d’éviter le VIH augmente avec le niveau d’instruction. Alors que 69 % des femmes et 84 % des hommes ayant un niveau d’instruction secondaire ou supérieur connaissent les deux moyens de prévention du VIH (Utilisation des condoms et la limitation des rapports sexuels à un seul partenaire qui n’est pas infecté).
Chez les jeunes, 16 % des jeunes femmes et 16 % des jeunes hommes âgés de 15-24 ans ont une connaissance complète des moyens de prévention du VIH. Le pourcentage de jeunes ayant une connaissance complète sur le VIH est plus élevé en milieu urbain qu’en milieu rural ; 21 % des jeunes femmes et 27 % des jeunes hommes du milieu urbain ont une connaissance complète sur le VIH contre respectivement 14 % et 12 % du milieu rural.
Le pourcentage de jeunes ayant une connaissance complète sur le VIH augmente avec le niveau d’instruction, passant de 9 % chez les femmes n’ayant aucun niveau d’instruction à 25 % chez celles ayant le niveau d’instruction secondaire ou supérieur, et, chez les hommes, de respectivement 7 % à 27 %. (Source EDSM2018).
Ce n’est pas un Tabou ! veut changer cette dynamique.
Que cherchons-nous?
Pour cet Appel à proposition, Voice priorise les organisations féminines formelles ou informelles basées sur le principe Rien pour Nous sans Nous (ou NOW-Nous !) pour amplifier les voix des femmes et changer leur vie.
En plus, analyse de contexte de 2020 a démontré qu’il faut prioriser des femmes qui sont confrontés à plusieurs vulnérabilités. Ce phénomène est connu comme une approche intersectionnelle. Donc Voice priorisera des organisations et des projets qui mettront au cœur :
- Les (jeunes) femmes en situation de handicap
- Les femmes en risque d’exploitation, d’abus et/ou de violence
- Les jeunes femmes vulnérables
- Les femmes âgées vulnérables
- Les (jeunes) femmes autochtones et/ou ethniques
Nous soutiendrons les interventions qui libèrent et qui changent les attitudes, les croyances et les politiques du Mali dans son ensemble. Par conséquent, votre projet doit chercher à :
- Promouvoir les droits à la santé sexuelle des femmes et jeunes filles en particulier les femmes et jeunes filles en situation de handicap.
- Renforcer l’accès des femmes et jeunes filles en particulier les femmes et jeunes filles handicapées à la planification familiale et autres services de santé sexuelles et reproductive dans les zones rurales.
Qu’entendons-nous par Autonomisation ?
La subvention Autonomisation est mieux adaptée aux groupes cibles eux-mêmes et/ ou aux organisations qui impliquent fortement le groupe cible en lui donnant le leadership transformationnel, car nous nous attendons à un environnement sécurisé où le groupe cible peut s’exprimer en toute quiétude.
Voice Mali encourage pour ce présent Appel des Propositions qui traitent des doubles vulnérabilités c’est à dire mettre en relief les problématiques doubles ou plus qui affectent les jeunes filles et /ou les femmes âgées.
Les autres propositions qui impliquent les autres groupes cibles ne seront pas acceptées pour cet Appel à Proposition.
Mettre en pratique les valeurs de Voice
Voice croit au principe « Rien pour nous sans nous ». En pratique, cela signifie que les groupes de détenteurs de droits de Voice doivent être au centre de tout effort. Ils doivent être impliqués dans la conceptualisation, la planification et la mise en œuvre de toute subvention. Ils sont des partenaires égaux dans tout consortium, réseau ou coalition, jouant des rôles clés de gouvernance et de leadership.
Voice valorise la diversité et l’inclusion. Tous les partenaires de subventions doivent être en mesure d’interagir avec un groupe de personnes venant de milieux, d’orientations et d’expériences différents et d’en tirer des enseignements. Les candidats intéressés doivent être prêts à travailler au sein d’une communauté diversifiée, qui comprend des représentants de tous les groupes détenteurs de droits de Voice.
Lien et Apprentissage
Lien et Apprentissage est au cœur et à l’âme de Voice. Tous les partenaires doivent participer à des réunions et des rassemblements facilités permettant l’échange d’idées et l’apprentissage à partir des expériences des uns et des autres. Les candidats doivent démontrer dans leurs propositions comment ils vont identifier, documenter et partager leurs apprentissages au fur et à mesure de la mise en œuvre de leur projet. Ces enseignements peuvent prendre de nombreuses formes, comme des articles de blog, des vidéos, des essais photographiques ou des enregistrements audios.
Ce que nous ne financerons pas
Les organisations avec un chiffre d’affaires annuel de plus de 2 millions d’euros basée sur les revenues de 2020 ou 2021.
Les partenaires de consortium du cadre politique de « Renforcement de la société civile» du ministère néerlandais du Commerce extérieur et de la Coopération au développement, veuillez consulter:
https://www.government.nl/binaries/government/documents/policy-notes/2019/11/28/policy--strengthening-civil-society/Selectedalliancesafterstage2.pdf
Une demande où la subvention accordée par Voice représente plus de 50% du revenu annuel total de l’organisme demandeur. Le moyen de calculer cela est de diviser le montant demandé par an par le revenu annuel. Si le résultat de ce calcul est supérieur à 50%, vous pouvez réduire le montant demandé ou faire équipe dans le cadre d’un consortium où vous pouvez additionner les budgets.
Financement de services commerciaux, d’investissements ou d’autres activités commerciales.
Quand les décisions de financement seront-elles prises ?
Toutes les demandes seront examinées et les décisions communiquées à tous les candidats six semaines après le début des cycles d’examen. Pour connaître les dates exactes, veuillez également consulter le Manuel des Subventions. Tous les projets au titre de la présente subvention devraient démarrer en juin 2022.
Veuillez noter qu’au cours de cette période d’examen, Voice pourrait vous demander de soumettre les documents supplémentaires suivants :
- Une copie du certificat d’inscription
- Le profil de l’organisation
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Comment Postuler?
Cet Appel à Propositions est fermé, donc l’application n’est plus possible. Merci de revenir ultérieurement pour en savoir plus sur les subventions qui ont été sélectionnées dans cet Appel à Propositions.
Les Appels à Propositions ouverts en cours peuvent être trouvés ici.
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