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  • Organisation

    lucratif qui recherche et entreprend des actions stratégiques vers l’égalité, l’acceptation et l’inclusion dans la région côtière du Kenya.

    L’organisation partage ses expériences et collabore avec d’autres parties prenantes dans un effort pour contribuer à la tolérance, à la non-discrimination, à l’acceptation et à l’inclusion des minorités sexuelles et de genre (MSG). INEND reconnaît l’universalité des droits de l’homme dans la poursuite de la démocratie à travers la participation de chacun dans une société ouverte, juste et démocratique. Dans le contexte actuel toutefois, de nombreuses minorités sexuelles et de genre n’ont pas eu la possibilité de d´exprimer ouvertement leurs préférences en raison des lois, politiques et attitudes qui criminalisent les activités et les personnes, même au-delà de ce qui est prévu dans les lois existantes. Celles-ci à leur tour ont donné lieu à des menaces, l’insécurité et au harcèlement. Par conséquent, les minorités sexuelles et de genre, qui ne sont pas considérées conformes aux normes de la société, ont été contraintes à aller dans la clandestinité et dans des conditions de risque élevé, simplement en raison de leur orientation sexuelle et / ou identité de genre.

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      lucratif qui recherche et entreprend des actions stratégiques vers l’égalité, l’acceptation et l’inclusion dans la région côtière du Kenya.

      L’organisation partage ses expériences et collabore avec d’autres parties prenantes dans un effort pour contribuer à la tolérance, à la non-discrimination, à l’acceptation et à l’inclusion des minorités sexuelles et de genre (MSG). INEND reconnaît l’universalité des droits de l’homme dans la poursuite de la démocratie à travers la participation de chacun dans une société ouverte, juste et démocratique. Dans le contexte actuel toutefois, de nombreuses minorités sexuelles et de genre n’ont pas eu la possibilité de d´exprimer ouvertement leurs préférences en raison des lois, politiques et attitudes qui criminalisent les activités et les personnes, même au-delà de ce qui est prévu dans les lois existantes. Celles-ci à leur tour ont donné lieu à des menaces, l’insécurité et au harcèlement. Par conséquent, les minorités sexuelles et de genre, qui ne sont pas considérées conformes aux normes de la société, ont été contraintes à aller dans la clandestinité et dans des conditions de risque élevé, simplement en raison de leur orientation sexuelle et / ou identité de genre.

    • Projet

      L’Initiative pour l’égalité et la non-discrimination (INEND) reconnaît qu´il est tout aussi important de sensibiliser la société par rapport aux connaissances et informations sur les minorités sexuelles et de genre. Il est urgent et nécessaire de démystifier les mythes et idées fausses sur le fait d’être gay, lesbienne, transgenre, bisexuel et / ou intersexué (LGBTI +), qui conduit le plus souvent à des violations des droits humains et à la discrimination sociale.

      Le projet opérateurs de moto : alliés inhabituels pour l’inclusion LGBT (Motorcycle operators: unusual allies for LGBT inclusion),  fait la sensibilisation au Kenya et en Ouganda sur les questions liées à l´orientation sexuelle, l´identité et l’expression de genre ainsi que les caractéristiques sexuelles (SOGIESC) et les droits humains comme un moyen d’éradiquer la violence physique et / ou verbale vers les communautés LGBTI + locales. Sur la base des résultats d’une étude menée par INEND en 2016 autour des rôles que les opérateurs de boda boda ( les mototaxis privés ) jouent en tant que principaux auteurs de la violence et de la discrimination que subissent généralement les communautés LGBTI +, il a été mis en évidence que ces derniers ont peu ou pas de connaissances sur les SOGIECS et les expériences des personnes LGBTI +. Ce manque de connaissances est la source de nombreux stéréotypes et la stigmatisation et –à leur tour- la principale cause des attaques physiques et verbales subies par les personnes LGBTI +. Ainsi, en sensibilisant les opérateurs de motos taxis qui sont les moyens les plus faciles et abordables de transport et de mouvement, le projet crée des espaces où ils peuvent apprendre sur ces problèmes, prendre conscience de ce qui se passe à l’intérieur de leurs communautés, et peuvent agir comme agents de changement positif en coopérant avec les organisations LGBTI + locales. Les bourreaux et / ou auteurs de violence, lorsqu’ils sont contactés, donnent également leur avis sur ce qui peut être fait pour prévenir la violence et la discrimination envers les communautés LGBTI +.

      Pour ce projet, l’Initiative pour l’égalité et la non-discrimination (INEND) collabore avec les minorités sexuelles en Ouganda, dont des membres sont confrontés à la violence des opérateurs de moto sur une base quotidienne et veulent résoudre le problème. En informant les opérateurs de moto sur les droits humains fondamentaux des personnes LGBTI + et en faisant la promotion d´une plus grande inclusion, ils peuvent peut-être apprécier leurs droits, leur dignité et leur contribution à la société. Le projet présente des organisations partageant les mêmes idées dans la région de l’Afrique de l’Est qui peuvent travailler ensemble pour lutter contre la stigmatisation et la discrimination grâce à des collaborations régionales. En outre, le projet montre que les organisations ont besoin de trouver des moyens innovants d’impliquer des acteurs inhabituels et les transformer en des alliés potentiels.

  • Projet

    L’Initiative pour l’égalité et la non-discrimination (INEND) reconnaît qu´il est tout aussi important de sensibiliser la société par rapport aux connaissances et informations sur les minorités sexuelles et de genre. Il est urgent et nécessaire de démystifier les mythes et idées fausses sur le fait d’être gay, lesbienne, transgenre, bisexuel et / ou intersexué (LGBTI +), qui conduit le plus souvent à des violations des droits humains et à la discrimination sociale.

    Le projet opérateurs de moto : alliés inhabituels pour l’inclusion LGBT (Motorcycle operators: unusual allies for LGBT inclusion),  fait la sensibilisation au Kenya et en Ouganda sur les questions liées à l´orientation sexuelle, l´identité et l’expression de genre ainsi que les caractéristiques sexuelles (SOGIESC) et les droits humains comme un moyen d’éradiquer la violence physique et / ou verbale vers les communautés LGBTI + locales. Sur la base des résultats d’une étude menée par INEND en 2016 autour des rôles que les opérateurs de boda boda ( les mototaxis privés ) jouent en tant que principaux auteurs de la violence et de la discrimination que subissent généralement les communautés LGBTI +, il a été mis en évidence que ces derniers ont peu ou pas de connaissances sur les SOGIECS et les expériences des personnes LGBTI +. Ce manque de connaissances est la source de nombreux stéréotypes et la stigmatisation et –à leur tour- la principale cause des attaques physiques et verbales subies par les personnes LGBTI +. Ainsi, en sensibilisant les opérateurs de motos taxis qui sont les moyens les plus faciles et abordables de transport et de mouvement, le projet crée des espaces où ils peuvent apprendre sur ces problèmes, prendre conscience de ce qui se passe à l’intérieur de leurs communautés, et peuvent agir comme agents de changement positif en coopérant avec les organisations LGBTI + locales. Les bourreaux et / ou auteurs de violence, lorsqu’ils sont contactés, donnent également leur avis sur ce qui peut être fait pour prévenir la violence et la discrimination envers les communautés LGBTI +.

    Pour ce projet, l’Initiative pour l’égalité et la non-discrimination (INEND) collabore avec les minorités sexuelles en Ouganda, dont des membres sont confrontés à la violence des opérateurs de moto sur une base quotidienne et veulent résoudre le problème. En informant les opérateurs de moto sur les droits humains fondamentaux des personnes LGBTI + et en faisant la promotion d´une plus grande inclusion, ils peuvent peut-être apprécier leurs droits, leur dignité et leur contribution à la société. Le projet présente des organisations partageant les mêmes idées dans la région de l’Afrique de l’Est qui peuvent travailler ensemble pour lutter contre la stigmatisation et la discrimination grâce à des collaborations régionales. En outre, le projet montre que les organisations ont besoin de trouver des moyens innovants d’impliquer des acteurs inhabituels et les transformer en des alliés potentiels.

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