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  • Organisation

    1. Mise en place de plateformes :
    Cette activité consiste à mettre en place un site internet, des applications mobiles (iOS et android) et un numéro WhatsApp pour recueillir les témoignages des survivants de VBG, de manière ouverte ou anonyme. Toute personne, en particulier les femmes ou les filles, qui souhaite signaler une violation de ses droits, peut télécharger l’application mobile (android, iOS) ou se connecter au site web ou encore rejoindre le forum WhatsApp pour discuter avec d’autres survivants de leurs problèmes. Le numéro WhatsApp permettra également de faire des dénonciations par écrit, par la voix, par l’image et même par la vidéo et de manière anonyme si la personne le souhaite. L’initiative à travers les plateformes permettra surtout de donner un espace d’expression ou de servir de confident aux histoires de nombreuses femmes et filles pour amplifier leur voix, les guider, surtout pour celles qui ont honte ou peur de se rendre dans les centres de soins appropriés. Après la mise en place des plateformes, une véritable communication est faite pour informer les populations de l’outil à leur disposition pour dénoncer les violences.2. Formation : renforcement des capacités de Jeuness’Art Une vingtaine de slameurs, comédiens et membres du personnel de Jeuness’Art, en majorité des filles, bénéficient de sessions de renforcement des capacités sur les violences sexistes et les violences sexuelles et sexistes. Ces formations permettront aux personnes formées de mieux comprendre les enjeux afin d’être suffisamment outillées pour être des ambassadeurs de la lutte contre la violence basée sur le genre. 3. Traitement des récits des personnes ayant subi des violences basées sur le genre (VBG)Les récits des survivants seront passés au crible chaque semaine afin d’identifier les témoignages les plus touchants et sensibles et de les classer selon les catégories de violence. Cette étape nous permet d’identifier les personnes qui ont un besoin urgent d’aide, de les conseiller et de les orienter vers les structures appropriées pour leur prise en charge.
    Sensibilisation
    La sensibilisation est la base de ce projet qui touchera des milliers de personnes chaque mois à travers différents canaux de communication : le spectacle, internet, le bouche à oreille, la radio et à travers les compagnies de transport (car aujourd’hui presque tous les bus sont équipés d’écrans).

    – Exposition de photos et scène de slam
    Une scène de slam sur la violence liée au sexe et une exposition de photos (photos envoyées par des survivants à titre de preuve et dans l’anonymat le plus total) sont organisées tous les deux mois. Ces photos, souvent empreintes de violence, sont exposées aux yeux de tous et interprétées sous forme de slam, contribuant ainsi à la lutte collective contre la violence. Ces expositions et scènes de slam sont gratuites et ouvertes au grand public pour une réelle prise de conscience.

    – Procès fictif (dans une salle d’audience)
    Le procès slam qui est un procès fictif dans un vrai tribunal (partenaire) sera également organisé tous les deux mois. En partenariat avec le tribunal en question, les lois et sentences de violence (envoyées sur nos plateformes) selon leur gravité sont validées par le tribunal afin d’être mises en scène pour dissuader d’éventuels agresseurs de passer à l’acte ou pour informer le simple citoyen sur les lois punissant les différentes formes de violence.
    Une discussion avec un procureur, un juge ou un avocat annonce la tenue du procès slam. L’occasion pour les hommes de loi d’échanger sans tabou avec le public.

    – L’histoire slam de la semaine
    Une histoire ou un récit accablant par semaine est choisi, interprété par un slameur en vidéo et diffusé sur les plateformes (site internet du projet, médias sociaux de Jeuness’Art), les radios et télévisions partenaires.
    Ces vidéos permettront d’alerter chaque semaine la population sur les cas de violences sexuelles et sexistes.
    – Edition d’un livre
    Un livre sur les différents témoignages, récits ou histoires des survivants est édité annuellement et envoyé gratuitement aux bibliothèques des lycées du Mali et aux organisations humanitaires, à l’Assemblée nationale et à toutes les institutions de la République.
    Une version audio du livre est réalisée pour les personnes ayant un handicap visuel.

    – La grande campagne de sensibilisation pendant les 16 jours d’activisme
    Toutes les productions (audio, vidéo, photos) réalisées à travers les expositions photos des scènes, les essais de slam, les récits de slam sont envoyées aux radios, télévisions et sociétés de transport partenaires pour être diffusées pendant les seize jours d’activisme.
    Durant cette même période, des projections vidéo sont également réalisées dans certains villages de la région, avec les populations pour un impact réel.

    • Organisation

      1. Mise en place de plateformes :
      Cette activité consiste à mettre en place un site internet, des applications mobiles (iOS et android) et un numéro WhatsApp pour recueillir les témoignages des survivants de VBG, de manière ouverte ou anonyme. Toute personne, en particulier les femmes ou les filles, qui souhaite signaler une violation de ses droits, peut télécharger l’application mobile (android, iOS) ou se connecter au site web ou encore rejoindre le forum WhatsApp pour discuter avec d’autres survivants de leurs problèmes. Le numéro WhatsApp permettra également de faire des dénonciations par écrit, par la voix, par l’image et même par la vidéo et de manière anonyme si la personne le souhaite. L’initiative à travers les plateformes permettra surtout de donner un espace d’expression ou de servir de confident aux histoires de nombreuses femmes et filles pour amplifier leur voix, les guider, surtout pour celles qui ont honte ou peur de se rendre dans les centres de soins appropriés. Après la mise en place des plateformes, une véritable communication est faite pour informer les populations de l’outil à leur disposition pour dénoncer les violences.2. Formation : renforcement des capacités de Jeuness’Art Une vingtaine de slameurs, comédiens et membres du personnel de Jeuness’Art, en majorité des filles, bénéficient de sessions de renforcement des capacités sur les violences sexistes et les violences sexuelles et sexistes. Ces formations permettront aux personnes formées de mieux comprendre les enjeux afin d’être suffisamment outillées pour être des ambassadeurs de la lutte contre la violence basée sur le genre. 3. Traitement des récits des personnes ayant subi des violences basées sur le genre (VBG)Les récits des survivants seront passés au crible chaque semaine afin d’identifier les témoignages les plus touchants et sensibles et de les classer selon les catégories de violence. Cette étape nous permet d’identifier les personnes qui ont un besoin urgent d’aide, de les conseiller et de les orienter vers les structures appropriées pour leur prise en charge.
      Sensibilisation
      La sensibilisation est la base de ce projet qui touchera des milliers de personnes chaque mois à travers différents canaux de communication : le spectacle, internet, le bouche à oreille, la radio et à travers les compagnies de transport (car aujourd’hui presque tous les bus sont équipés d’écrans).

      – Exposition de photos et scène de slam
      Une scène de slam sur la violence liée au sexe et une exposition de photos (photos envoyées par des survivants à titre de preuve et dans l’anonymat le plus total) sont organisées tous les deux mois. Ces photos, souvent empreintes de violence, sont exposées aux yeux de tous et interprétées sous forme de slam, contribuant ainsi à la lutte collective contre la violence. Ces expositions et scènes de slam sont gratuites et ouvertes au grand public pour une réelle prise de conscience.

      – Procès fictif (dans une salle d’audience)
      Le procès slam qui est un procès fictif dans un vrai tribunal (partenaire) sera également organisé tous les deux mois. En partenariat avec le tribunal en question, les lois et sentences de violence (envoyées sur nos plateformes) selon leur gravité sont validées par le tribunal afin d’être mises en scène pour dissuader d’éventuels agresseurs de passer à l’acte ou pour informer le simple citoyen sur les lois punissant les différentes formes de violence.
      Une discussion avec un procureur, un juge ou un avocat annonce la tenue du procès slam. L’occasion pour les hommes de loi d’échanger sans tabou avec le public.

      – L’histoire slam de la semaine
      Une histoire ou un récit accablant par semaine est choisi, interprété par un slameur en vidéo et diffusé sur les plateformes (site internet du projet, médias sociaux de Jeuness’Art), les radios et télévisions partenaires.
      Ces vidéos permettront d’alerter chaque semaine la population sur les cas de violences sexuelles et sexistes.
      – Edition d’un livre
      Un livre sur les différents témoignages, récits ou histoires des survivants est édité annuellement et envoyé gratuitement aux bibliothèques des lycées du Mali et aux organisations humanitaires, à l’Assemblée nationale et à toutes les institutions de la République.
      Une version audio du livre est réalisée pour les personnes ayant un handicap visuel.

      – La grande campagne de sensibilisation pendant les 16 jours d’activisme
      Toutes les productions (audio, vidéo, photos) réalisées à travers les expositions photos des scènes, les essais de slam, les récits de slam sont envoyées aux radios, télévisions et sociétés de transport partenaires pour être diffusées pendant les seize jours d’activisme.
      Durant cette même période, des projections vidéo sont également réalisées dans certains villages de la région, avec les populations pour un impact réel.

    • Projet

      1. Mise en place de plateformes :
      Cette activité consiste à mettre en place un site internet, des applications mobiles (iOS et android) et un numéro WhatsApp pour recueillir les témoignages des survivants de VBG, de manière ouverte ou anonyme. Toute personne, en particulier les femmes ou les filles, qui souhaite signaler une violation de ses droits, peut télécharger l’application mobile (android, iOS) ou se connecter au site web ou encore rejoindre le forum WhatsApp pour discuter avec d’autres survivants de leurs problèmes. Le numéro WhatsApp permettra également de faire des dénonciations par écrit, par la voix, par l’image et même par la vidéo et de manière anonyme si la personne le souhaite. L’initiative à travers les plateformes permettra surtout de donner un espace d’expression ou de servir de confident aux histoires de nombreuses femmes et filles pour amplifier leur voix, les guider, surtout pour celles qui ont honte ou peur de se rendre dans les centres de soins appropriés. Après la mise en place des plateformes, une véritable communication est faite pour informer les populations de l’outil à leur disposition pour dénoncer les violences.2. Formation : renforcement des capacités de Jeuness’Art Une vingtaine de slameurs, comédiens et membres du personnel de Jeuness’Art, en majorité des filles, bénéficient de sessions de renforcement des capacités sur les violences sexistes et les violences sexuelles et sexistes. Ces formations permettront aux personnes formées de mieux comprendre les enjeux afin d’être suffisamment outillées pour être des ambassadeurs de la lutte contre la violence basée sur le genre. 3. Traitement des récits des personnes ayant subi des violences basées sur le genre (VBG)Les récits des survivants seront passés au crible chaque semaine afin d’identifier les témoignages les plus touchants et sensibles et de les classer selon les catégories de violence. Cette étape nous permet d’identifier les personnes qui ont un besoin urgent d’aide, de les conseiller et de les orienter vers les structures appropriées pour leur prise en charge.
      Sensibilisation
      La sensibilisation est la base de ce projet qui touchera des milliers de personnes chaque mois à travers différents canaux de communication : le spectacle, internet, le bouche à oreille, la radio et à travers les compagnies de transport (car aujourd’hui presque tous les bus sont équipés d’écrans).

      – Exposition de photos et scène de slam
      Une scène de slam sur la violence liée au sexe et une exposition de photos (photos envoyées par des survivants à titre de preuve et dans l’anonymat le plus total) sont organisées tous les deux mois. Ces photos, souvent empreintes de violence, sont exposées aux yeux de tous et interprétées sous forme de slam, contribuant ainsi à la lutte collective contre la violence. Ces expositions et scènes de slam sont gratuites et ouvertes au grand public pour une réelle prise de conscience.

      – Procès fictif (dans une salle d’audience)
      Le procès slam qui est un procès fictif dans un vrai tribunal (partenaire) sera également organisé tous les deux mois. En partenariat avec le tribunal en question, les lois et sentences de violence (envoyées sur nos plateformes) selon leur gravité sont validées par le tribunal afin d’être mises en scène pour dissuader d’éventuels agresseurs de passer à l’acte ou pour informer le simple citoyen sur les lois punissant les différentes formes de violence.
      Une discussion avec un procureur, un juge ou un avocat annonce la tenue du procès slam. L’occasion pour les hommes de loi d’échanger sans tabou avec le public.

      – L’histoire slam de la semaine
      Une histoire ou un récit accablant par semaine est choisi, interprété par un slameur en vidéo et diffusé sur les plateformes (site internet du projet, médias sociaux de Jeuness’Art), les radios et télévisions partenaires.
      Ces vidéos permettront d’alerter chaque semaine la population sur les cas de violences sexuelles et sexistes.
      – Edition d’un livre
      Un livre sur les différents témoignages, récits ou histoires des survivants est édité annuellement et envoyé gratuitement aux bibliothèques des lycées du Mali et aux organisations humanitaires, à l’Assemblée nationale et à toutes les institutions de la République.
      Une version audio du livre est réalisée pour les personnes ayant un handicap visuel.

      – La grande campagne de sensibilisation pendant les 16 jours d’activisme
      Toutes les productions (audio, vidéo, photos) réalisées à travers les expositions photos des scènes, les essais de slam, les récits de slam sont envoyées aux radios, télévisions et sociétés de transport partenaires pour être diffusées pendant les seize jours d’activisme.
      Durant cette même période, des projections vidéo sont également réalisées dans certains villages de la région, avec les populations pour un impact réel.

      OBJECTIF GLOBAL
      L’objectif global du projet est de: Favoriserla scolarisation des jeunes déficients visuels dans un cadre inclusif ainsi que participatif aux activités citoyennes.

      OBJECTIFS SPECIFIQUES :

      1. Former 10 jeunes formateurs spécialisés (voyants et non-voyants) en braille (écriture pour déficients visuels) en 2022 ;
      2. Former directement 10 jeunes formateurs spécialisés en TIC pour non-voyant, qui auront la charge de former des enseignants spécialisés en 2022 ;
      3. Former 15 jeunes (voyants et non-voyants) aux AVJ (Activités de Vie Journalière) en 2022.
      4. Former 15 jeunes aux techniques de réarmement en 2022.
      5. Promouvoir la prévention de la cécité à Bamako courant 2022.
      6. Sensibiliser les populations pour lutter contre la stigmatisation des personnes en situation d’handicap à Bamako courant 2022.

      Activités:
      Activité 1 : Sélection et formations de 10 jeunes formateurs en braille (écriture pour déficients visuels).
      Activité 2: Formation des 10 jeunes formateurs spécialisés en TICpourdéficients visuels.
      Activité 3 : Sélection et Formation de 15 jeunes en AVJ (activités de vie journalières)
      Activité 4 : Sélection et formation de 15 jeunes aux techniques de réarmement moral.
      Activité 5 : Organisation de 02 journées de dépistagede masse des maladies cécitantes.
      Activité 6 : Réalisation de 04 vidéos de sensibilisation contre la marginalisation et l’exclusion des personnes en situation de handicap.

      RESULTATS ATTENDUS
      • 10 jeunes formateurs spécialisés seront formés en braille (écriture pour déficients visuels), ils pourront à leur tour former d’autres enseignants spécialisés à cette technique d’écriture ;
      • 10 jeunes formateurs relais seront formés en TIC pour déficients visuels ;
      • 15 jeunes seront formés en AVJ loco et mobilitépour faciliter l’autonomisation physique des personnes non-voyant ;
      • 15 jeunes seront formés en réarmement moral pour pouvoir assister les personnes en situation de handicap en cas de dépression;
      • 02 journées de dépistage de masse des maladies cécitantes seront organisées (une session par mois),au cours desquelles au moins 100 personnes seront consultées ;
      • 04 vidéos de sensibilisation seront réalisées contre la marginalisation et l’exclusion des personnes en état de handicap. Ces vidéos seront diffusées sur différents réseaux sociaux ( Facebook, WhatsApp, Instagram…).
      Indicateurs des résultats clés du projet et moyens de vérification
      Indicateurs de résultats clésdes activités :
      Indicateurs
      10 formateurs formés en braille
      10 formateurs formésen TICpour déficients visuels
      15 formateurs formés en AVJ
      15 formateurs formés en réarmement moral
      Au moins 100 personnes consultées médicalement
      Diffusion de 04 vidéos de sensibilisation sur les réseaux sociaux

  • Projet

    1. Mise en place de plateformes :
    Cette activité consiste à mettre en place un site internet, des applications mobiles (iOS et android) et un numéro WhatsApp pour recueillir les témoignages des survivants de VBG, de manière ouverte ou anonyme. Toute personne, en particulier les femmes ou les filles, qui souhaite signaler une violation de ses droits, peut télécharger l’application mobile (android, iOS) ou se connecter au site web ou encore rejoindre le forum WhatsApp pour discuter avec d’autres survivants de leurs problèmes. Le numéro WhatsApp permettra également de faire des dénonciations par écrit, par la voix, par l’image et même par la vidéo et de manière anonyme si la personne le souhaite. L’initiative à travers les plateformes permettra surtout de donner un espace d’expression ou de servir de confident aux histoires de nombreuses femmes et filles pour amplifier leur voix, les guider, surtout pour celles qui ont honte ou peur de se rendre dans les centres de soins appropriés. Après la mise en place des plateformes, une véritable communication est faite pour informer les populations de l’outil à leur disposition pour dénoncer les violences.2. Formation : renforcement des capacités de Jeuness’Art Une vingtaine de slameurs, comédiens et membres du personnel de Jeuness’Art, en majorité des filles, bénéficient de sessions de renforcement des capacités sur les violences sexistes et les violences sexuelles et sexistes. Ces formations permettront aux personnes formées de mieux comprendre les enjeux afin d’être suffisamment outillées pour être des ambassadeurs de la lutte contre la violence basée sur le genre. 3. Traitement des récits des personnes ayant subi des violences basées sur le genre (VBG)Les récits des survivants seront passés au crible chaque semaine afin d’identifier les témoignages les plus touchants et sensibles et de les classer selon les catégories de violence. Cette étape nous permet d’identifier les personnes qui ont un besoin urgent d’aide, de les conseiller et de les orienter vers les structures appropriées pour leur prise en charge.
    Sensibilisation
    La sensibilisation est la base de ce projet qui touchera des milliers de personnes chaque mois à travers différents canaux de communication : le spectacle, internet, le bouche à oreille, la radio et à travers les compagnies de transport (car aujourd’hui presque tous les bus sont équipés d’écrans).

    – Exposition de photos et scène de slam
    Une scène de slam sur la violence liée au sexe et une exposition de photos (photos envoyées par des survivants à titre de preuve et dans l’anonymat le plus total) sont organisées tous les deux mois. Ces photos, souvent empreintes de violence, sont exposées aux yeux de tous et interprétées sous forme de slam, contribuant ainsi à la lutte collective contre la violence. Ces expositions et scènes de slam sont gratuites et ouvertes au grand public pour une réelle prise de conscience.

    – Procès fictif (dans une salle d’audience)
    Le procès slam qui est un procès fictif dans un vrai tribunal (partenaire) sera également organisé tous les deux mois. En partenariat avec le tribunal en question, les lois et sentences de violence (envoyées sur nos plateformes) selon leur gravité sont validées par le tribunal afin d’être mises en scène pour dissuader d’éventuels agresseurs de passer à l’acte ou pour informer le simple citoyen sur les lois punissant les différentes formes de violence.
    Une discussion avec un procureur, un juge ou un avocat annonce la tenue du procès slam. L’occasion pour les hommes de loi d’échanger sans tabou avec le public.

    – L’histoire slam de la semaine
    Une histoire ou un récit accablant par semaine est choisi, interprété par un slameur en vidéo et diffusé sur les plateformes (site internet du projet, médias sociaux de Jeuness’Art), les radios et télévisions partenaires.
    Ces vidéos permettront d’alerter chaque semaine la population sur les cas de violences sexuelles et sexistes.
    – Edition d’un livre
    Un livre sur les différents témoignages, récits ou histoires des survivants est édité annuellement et envoyé gratuitement aux bibliothèques des lycées du Mali et aux organisations humanitaires, à l’Assemblée nationale et à toutes les institutions de la République.
    Une version audio du livre est réalisée pour les personnes ayant un handicap visuel.

    – La grande campagne de sensibilisation pendant les 16 jours d’activisme
    Toutes les productions (audio, vidéo, photos) réalisées à travers les expositions photos des scènes, les essais de slam, les récits de slam sont envoyées aux radios, télévisions et sociétés de transport partenaires pour être diffusées pendant les seize jours d’activisme.
    Durant cette même période, des projections vidéo sont également réalisées dans certains villages de la région, avec les populations pour un impact réel.

    OBJECTIF GLOBAL
    L’objectif global du projet est de: Favoriserla scolarisation des jeunes déficients visuels dans un cadre inclusif ainsi que participatif aux activités citoyennes.

    OBJECTIFS SPECIFIQUES :

    1. Former 10 jeunes formateurs spécialisés (voyants et non-voyants) en braille (écriture pour déficients visuels) en 2022 ;
    2. Former directement 10 jeunes formateurs spécialisés en TIC pour non-voyant, qui auront la charge de former des enseignants spécialisés en 2022 ;
    3. Former 15 jeunes (voyants et non-voyants) aux AVJ (Activités de Vie Journalière) en 2022.
    4. Former 15 jeunes aux techniques de réarmement en 2022.
    5. Promouvoir la prévention de la cécité à Bamako courant 2022.
    6. Sensibiliser les populations pour lutter contre la stigmatisation des personnes en situation d’handicap à Bamako courant 2022.

    Activités:
    Activité 1 : Sélection et formations de 10 jeunes formateurs en braille (écriture pour déficients visuels).
    Activité 2: Formation des 10 jeunes formateurs spécialisés en TICpourdéficients visuels.
    Activité 3 : Sélection et Formation de 15 jeunes en AVJ (activités de vie journalières)
    Activité 4 : Sélection et formation de 15 jeunes aux techniques de réarmement moral.
    Activité 5 : Organisation de 02 journées de dépistagede masse des maladies cécitantes.
    Activité 6 : Réalisation de 04 vidéos de sensibilisation contre la marginalisation et l’exclusion des personnes en situation de handicap.

    RESULTATS ATTENDUS
    • 10 jeunes formateurs spécialisés seront formés en braille (écriture pour déficients visuels), ils pourront à leur tour former d’autres enseignants spécialisés à cette technique d’écriture ;
    • 10 jeunes formateurs relais seront formés en TIC pour déficients visuels ;
    • 15 jeunes seront formés en AVJ loco et mobilitépour faciliter l’autonomisation physique des personnes non-voyant ;
    • 15 jeunes seront formés en réarmement moral pour pouvoir assister les personnes en situation de handicap en cas de dépression;
    • 02 journées de dépistage de masse des maladies cécitantes seront organisées (une session par mois),au cours desquelles au moins 100 personnes seront consultées ;
    • 04 vidéos de sensibilisation seront réalisées contre la marginalisation et l’exclusion des personnes en état de handicap. Ces vidéos seront diffusées sur différents réseaux sociaux ( Facebook, WhatsApp, Instagram…).
    Indicateurs des résultats clés du projet et moyens de vérification
    Indicateurs de résultats clésdes activités :
    Indicateurs
    10 formateurs formés en braille
    10 formateurs formésen TICpour déficients visuels
    15 formateurs formés en AVJ
    15 formateurs formés en réarmement moral
    Au moins 100 personnes consultées médicalement
    Diffusion de 04 vidéos de sensibilisation sur les réseaux sociaux

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