Projet
Initiative de sécurité sur le campus
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Montant financé
10,000 EURODurée du projet
15 Sep 2022 - 15 Sep 2023 -
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Applicant principal
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Le thème de Gender Mobile est la protection des femmes et des jeunes filles contre les violences basées sur le sexe et le genre. Notre mission est de construire une plateforme d’intervention forte, dynamique et accessible à tous, qui mettra les victimes et les survivants en contact avec des services spécialisés complets. Notre vision est celle d’une société juste, dépourvue de toute forme de violence fondée sur le genre, capable de saper l’existence de l’humanité sous toutes ses formes et à tous les degrés. Notre objectif est de briser le silence sur la violence fondée sur le genre, de faire pression pour que les institutions réagissent davantage et mieux à la violence fondée sur le genre et de la réduire.
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Organisation
Le thème de Gender Mobile est la protection des femmes et des jeunes filles contre les violences basées sur le sexe et le genre. Notre mission est de construire une plateforme d’intervention forte, dynamique et accessible à tous, qui mettra les victimes et les survivants en contact avec des services spécialisés complets. Notre vision est celle d’une société juste, dépourvue de toute forme de violence fondée sur le genre, capable de saper l’existence de l’humanité sous toutes ses formes et à tous les degrés. Notre objectif est de briser le silence sur la violence fondée sur le genre, de faire pression pour que les institutions réagissent davantage et mieux à la violence fondée sur le genre et de la réduire.
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Projet
Notre approche est définie par le principe d’inclusion » Rien Pour Nous Sans Nous » qui garantit que les cibles et les survivants affectés par l’inégalité structurelle sont impliqués dans la conception et la mise en œuvre des politiques et des pratiques qui affectent leur vie. L’initiative pour la sécurité sur les campus s’appuie sur la recherche et adopte un processus participatif qui renforce les capacités des femmes, des filles et des jeunes, y compris des personnes handicapées, en leur donnant les compétences, les connaissances et la capacité d’organiser et de créer des mouvements, de galvaniser et de mobiliser leurs pairs pour la prévention des agressions sexuelles, d’utiliser leur voix authentique pour plaider contre la violence sexuelle et d’être habilitées juridiquement à demander aux institutions de rendre des comptes.
Ce renforcement des capacités les expose à des informations sur la manière de surmonter l’effet de spectateur et les dote des outils techniques nécessaires pour apporter un soutien psychologique de première urgence aux cibles ou aux victimes. Cela s’étend à l’autonomisation des filles et des femmes par le renforcement des capacités d’organisation, de leadership, de création de mouvements et d’utilisation de leurs voix authentiques, ce qui a un impact sur leurs aspirations, leurs capacités de leadership, leur perception, leur comportement et leur réaction pour créer une culture et un climat dépourvus de harcèlement sexuel.
Notre théorie du changement repose sur la relation réciproque entre la culture du silence qui prospère dans un climat permissif et l’absence de système de signalement centré sur les survivants, une réponse institutionnelle médiocre rendue possible par l’absence de systèmes et de structures de responsabilisation. Nous comblons donc les lacunes existantes en adoptant une approche qui fait entendre la voix des femmes, des filles et des jeunes, y compris des personnes handicapées, qui augmente le nombre de signalements, qui oblige les auteurs à rendre des comptes afin de dissuader les auteurs potentiels, et qui améliore la responsabilité institutionnelle.
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Notre approche est définie par le principe d’inclusion » Rien Pour Nous Sans Nous » qui garantit que les cibles et les survivants affectés par l’inégalité structurelle sont impliqués dans la conception et la mise en œuvre des politiques et des pratiques qui affectent leur vie. L’initiative pour la sécurité sur les campus s’appuie sur la recherche et adopte un processus participatif qui renforce les capacités des femmes, des filles et des jeunes, y compris des personnes handicapées, en leur donnant les compétences, les connaissances et la capacité d’organiser et de créer des mouvements, de galvaniser et de mobiliser leurs pairs pour la prévention des agressions sexuelles, d’utiliser leur voix authentique pour plaider contre la violence sexuelle et d’être habilitées juridiquement à demander aux institutions de rendre des comptes.
Ce renforcement des capacités les expose à des informations sur la manière de surmonter l’effet de spectateur et les dote des outils techniques nécessaires pour apporter un soutien psychologique de première urgence aux cibles ou aux victimes. Cela s’étend à l’autonomisation des filles et des femmes par le renforcement des capacités d’organisation, de leadership, de création de mouvements et d’utilisation de leurs voix authentiques, ce qui a un impact sur leurs aspirations, leurs capacités de leadership, leur perception, leur comportement et leur réaction pour créer une culture et un climat dépourvus de harcèlement sexuel.
Notre théorie du changement repose sur la relation réciproque entre la culture du silence qui prospère dans un climat permissif et l’absence de système de signalement centré sur les survivants, une réponse institutionnelle médiocre rendue possible par l’absence de systèmes et de structures de responsabilisation. Nous comblons donc les lacunes existantes en adoptant une approche qui fait entendre la voix des femmes, des filles et des jeunes, y compris des personnes handicapées, qui augmente le nombre de signalements, qui oblige les auteurs à rendre des comptes afin de dissuader les auteurs potentiels, et qui améliore la responsabilité institutionnelle.