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  • Organisation

    La Prime Diamond Initiative for Community Health (PDICH en anglais), est une organisation à but non lucratif enregistrée auprès de la Commission des affaires générales de la République fédérale du Nigéria-Abuja et des ministères de la santé, de l’éducation et des affaires féminines.

    Notre mission est de fournir une stratégie de premier plan et une intervention de qualité pour éliminer toutes les formes de violence contre les femmes et les filles, promouvoir des soins de santé de qualité, l’ éducation sur la santé sexuelle et reproductive / le cycle menstruel, l’égalité des sexes, les opportunités de leadership, l’ autonomisation des femmes et la mortalité maternelle / infantile.

    La PDICH travaille avec toutes les femmes (en particulier pendant la grossesse et après l´accouchement), les enfants, les adolescents et les personnes les plus vulnérables dans les communautés. Comme principale valeur, nous croyons en une société où les bonnes politiques et les programmes gouvernementaux sont focalisés sur le développement du potentiel des femmes, des filles et d’ autres jeunes en en faisant des agents de changement positifs de la société. Ceci indépendamment de l’âge, de la culture, de la religion, de l’orientation sexuelle, du statut civil, politique et social.

    Nos objectifs sont le renforcement des communautés et des systèmes sensibles au genre répondant aux problèmes des femmes et des filles, le renforcement de la capacité des agents de santé dans les centres de santé primaires pour fournir des services de soins de santé qualitatifs et mettre en œuvre des programmes de sensibilisation axés sur les droits à la santé sexuelle & reproductive / menstruelle.

    • Organisation

      La Prime Diamond Initiative for Community Health (PDICH en anglais), est une organisation à but non lucratif enregistrée auprès de la Commission des affaires générales de la République fédérale du Nigéria-Abuja et des ministères de la santé, de l’éducation et des affaires féminines.

      Notre mission est de fournir une stratégie de premier plan et une intervention de qualité pour éliminer toutes les formes de violence contre les femmes et les filles, promouvoir des soins de santé de qualité, l’ éducation sur la santé sexuelle et reproductive / le cycle menstruel, l’égalité des sexes, les opportunités de leadership, l’ autonomisation des femmes et la mortalité maternelle / infantile.

      La PDICH travaille avec toutes les femmes (en particulier pendant la grossesse et après l´accouchement), les enfants, les adolescents et les personnes les plus vulnérables dans les communautés. Comme principale valeur, nous croyons en une société où les bonnes politiques et les programmes gouvernementaux sont focalisés sur le développement du potentiel des femmes, des filles et d’ autres jeunes en en faisant des agents de changement positifs de la société. Ceci indépendamment de l’âge, de la culture, de la religion, de l’orientation sexuelle, du statut civil, politique et social.

      Nos objectifs sont le renforcement des communautés et des systèmes sensibles au genre répondant aux problèmes des femmes et des filles, le renforcement de la capacité des agents de santé dans les centres de santé primaires pour fournir des services de soins de santé qualitatifs et mettre en œuvre des programmes de sensibilisation axés sur les droits à la santé sexuelle & reproductive / menstruelle.

    • Projet

      Selon l’OMS, en Afrique sub-saharienne, une fille sur trois ne va pas à l´école en raison de l’absence de produits d´hygiène liés aux règles. Plus de 75% des femmes et des filles au Nigéria, en particulier dans les zones rurales, n’ont pas les moyens d’acheter des produits menstruels. Un grand nombre de filles dans l’État du Plateau n’ont accès à aucune forme de protection sanitaire. Cela limite leur accès à l’éducation, aux activités économiques et sociales. De plus, cela affecte non seulement la vie et les perspectives de carrière des personnes, mais aussi la communauté entière. Il faut ajouter à cela le manque d’éducation, d’orientation et de conseils sur la puberté et la santé sexuelle reproductive, en plus des mythes, des tabous, de la stigmatisation et de la honte qui conduisent à une faible estime de soi.

      Le projet HYMEN répond au défi perpétuel de la gestion de l’hygiène menstruelle. Ceci est réalisé grâce à un modèle d´entreprise sociale où les femmes et filles de la communauté locale sont autonomisée à travers des formations en compétences pratiques et apprennent à produire des tampons menstruels biodégradables à faible coût et qui sont distribués aux femmes / filles. Le projet comprend divers paramètres axés sur la réalisation des objectifs de développement durable 1, 2, 3, 4, 5 et 8; la réduction de la pauvreté, zéro famine, la promotion d´une bonne santé et du bien-être, une éducation de qualité, l’égalité de genre, l’assainissement, un travail décent et l´épanouissement économique.

      Ce projet a un impact direct sur plus de 5 000 filles dans les trois districts sénatoriaux de l’État du Plateau. Il augmente potentiellement la fréquentation scolaire des filles et autonomise plus de 500 femmes sur les aspects sociaux et économiques. Il utilise tous les moyens tels que les écoles, les groupes communautaires et les organisations religieuses comme des centres de formation, faisant suffisamment de sensibilisation par rapport à l’importance de l’hygiène des produits liés au cycle menstruel, et, par conséquent, améliorant la santé, l’économie et l’environnement pour les femmes / filles, en particulier dans les zones rurales.

       

       

       

  • Projet

    Selon l’OMS, en Afrique sub-saharienne, une fille sur trois ne va pas à l´école en raison de l’absence de produits d´hygiène liés aux règles. Plus de 75% des femmes et des filles au Nigéria, en particulier dans les zones rurales, n’ont pas les moyens d’acheter des produits menstruels. Un grand nombre de filles dans l’État du Plateau n’ont accès à aucune forme de protection sanitaire. Cela limite leur accès à l’éducation, aux activités économiques et sociales. De plus, cela affecte non seulement la vie et les perspectives de carrière des personnes, mais aussi la communauté entière. Il faut ajouter à cela le manque d’éducation, d’orientation et de conseils sur la puberté et la santé sexuelle reproductive, en plus des mythes, des tabous, de la stigmatisation et de la honte qui conduisent à une faible estime de soi.

    Le projet HYMEN répond au défi perpétuel de la gestion de l’hygiène menstruelle. Ceci est réalisé grâce à un modèle d´entreprise sociale où les femmes et filles de la communauté locale sont autonomisée à travers des formations en compétences pratiques et apprennent à produire des tampons menstruels biodégradables à faible coût et qui sont distribués aux femmes / filles. Le projet comprend divers paramètres axés sur la réalisation des objectifs de développement durable 1, 2, 3, 4, 5 et 8; la réduction de la pauvreté, zéro famine, la promotion d´une bonne santé et du bien-être, une éducation de qualité, l’égalité de genre, l’assainissement, un travail décent et l´épanouissement économique.

    Ce projet a un impact direct sur plus de 5 000 filles dans les trois districts sénatoriaux de l’État du Plateau. Il augmente potentiellement la fréquentation scolaire des filles et autonomise plus de 500 femmes sur les aspects sociaux et économiques. Il utilise tous les moyens tels que les écoles, les groupes communautaires et les organisations religieuses comme des centres de formation, faisant suffisamment de sensibilisation par rapport à l’importance de l’hygiène des produits liés au cycle menstruel, et, par conséquent, améliorant la santé, l’économie et l’environnement pour les femmes / filles, en particulier dans les zones rurales.

     

     

     

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