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  • Organisation

    L’Association des femmes détenues et des citoyennes de retour (AFIRC) est un groupe informel de femmes qui ont soit terminé leur peine de prison ou qui purgent encore leur peine au Nigeria.

    Le groupe n’est pas encore formalisé en tant qu’organisation officielle, mais il représente les intérêts des femmes à l’intérieur et à l’extérieur des murs de la prison. Après tout, elles partagent les horribles expériences qui caractérisent les prisons au Nigéria et veulent changer ce récit.

    Il s´agit d´une communauté émergente de citoyennes particulières qui sont prêtes à contribuer au processus de réforme des prisons au Nigéria.

    CAPIO est un co-postulant qui a mis en œuvre un certain nombre de projets. En 2019, CAPIO a mis en œuvre un projet financé par VOICE qui a réussi à institutionnaliser une approche sensible au genre dans la façon dont les femmes prisonnières sont traitées au Nigéria.

     

    • Organisation

      L’Association des femmes détenues et des citoyennes de retour (AFIRC) est un groupe informel de femmes qui ont soit terminé leur peine de prison ou qui purgent encore leur peine au Nigeria.

      Le groupe n’est pas encore formalisé en tant qu’organisation officielle, mais il représente les intérêts des femmes à l’intérieur et à l’extérieur des murs de la prison. Après tout, elles partagent les horribles expériences qui caractérisent les prisons au Nigéria et veulent changer ce récit.

      Il s´agit d´une communauté émergente de citoyennes particulières qui sont prêtes à contribuer au processus de réforme des prisons au Nigéria.

      CAPIO est un co-postulant qui a mis en œuvre un certain nombre de projets. En 2019, CAPIO a mis en œuvre un projet financé par VOICE qui a réussi à institutionnaliser une approche sensible au genre dans la façon dont les femmes prisonnières sont traitées au Nigéria.

       

    • Projet

      Le projet Autonomiser les femmes / filles incarcérées vers l´autonomie et la réhabilitation offre un espace sécurisé et un environnement convivial pour les femmes prisonnières et anciennes prisonnières ( citoyennes de retour ) pour mener le processus de promotion et de participation aux activités d´autonomisation fondées sur le genre pour les femmes et les filles incarcérées .
      Les personnes en garde à vue au Nigeria sont considérées comme des criminelles, même avant qu´un tribunal compétent détermine leur cas. Les femmes et les filles sont confrontées à de grands défis en termes d’hygiène et d’assainissement dans les prisons. Les filles qui voient leurs règles ont des difficultés inimaginables face à l’incapacité à se procurer des tampons sanitaires ainsi que le manque d’attention adéquate accordée à la question par le Nigerian correctional service (NCS)/ Service correctionnel du Nigeria.
      À cause de cela, de nombreuses femmes et jeunes filles en détention sont contraintes d’utiliser des produits non hygiéniques comme alternatives dans un environnement inhabitable. Ce facteur a entraîné une augmentation persistante d’incidences et la prévalence de maladies parmi les détenues.
      Le projet vise, d´une part, à améliorer les connaissances des femmes détenues en matière d´éducation sur la santé sexuelle et reproductive ainsi que l’hygiène et l’assainissement qui conduiront à des comportements sanitaires positifs chez les anciennes prisonnières et les femmes encore en incarcération et, d´autre part, à autonomiser les femmes détenues grâce à des compétences durables en matière de production de tampons sanitaires pour leur autonomie et une expérience carcérale saine.
  • Projet
    Le projet Autonomiser les femmes / filles incarcérées vers l´autonomie et la réhabilitation offre un espace sécurisé et un environnement convivial pour les femmes prisonnières et anciennes prisonnières ( citoyennes de retour ) pour mener le processus de promotion et de participation aux activités d´autonomisation fondées sur le genre pour les femmes et les filles incarcérées .
    Les personnes en garde à vue au Nigeria sont considérées comme des criminelles, même avant qu´un tribunal compétent détermine leur cas. Les femmes et les filles sont confrontées à de grands défis en termes d’hygiène et d’assainissement dans les prisons. Les filles qui voient leurs règles ont des difficultés inimaginables face à l’incapacité à se procurer des tampons sanitaires ainsi que le manque d’attention adéquate accordée à la question par le Nigerian correctional service (NCS)/ Service correctionnel du Nigeria.
    À cause de cela, de nombreuses femmes et jeunes filles en détention sont contraintes d’utiliser des produits non hygiéniques comme alternatives dans un environnement inhabitable. Ce facteur a entraîné une augmentation persistante d’incidences et la prévalence de maladies parmi les détenues.
    Le projet vise, d´une part, à améliorer les connaissances des femmes détenues en matière d´éducation sur la santé sexuelle et reproductive ainsi que l’hygiène et l’assainissement qui conduiront à des comportements sanitaires positifs chez les anciennes prisonnières et les femmes encore en incarcération et, d´autre part, à autonomiser les femmes détenues grâce à des compétences durables en matière de production de tampons sanitaires pour leur autonomie et une expérience carcérale saine.

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