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  • Organisation

    LASPNET a été enregistré en 2004 en tant qu’ONG pour fournir un cadre de collaboration et des liens stratégiques aux Legal Aid Service Providers (LASP) / Prestataires de Services d’Aide Juridique) dans le pays. Les fondateurs étaient des responsables de prestataires de services d’aide juridique, notamment Foundation for Human Rights Initiative, Legal Aid Clinic of Law Development Centre, FIDA Uganda. Le réseau compte 52 organisations membres réparties dans 70 districts. Grâce à ses membres, LASPNET offre une voix collective pour attirer l’attention du secteur sur les questions d’accès à la justice visant à améliorer la prestation de services dans le système judiciaire. Le réseau est mis en place et dirigé par une assemblée générale composée de prestataires de services d’aide juridique au sein de laquelle est élu, tous les deux ans, le conseil d’administration pour assurer la supervision et la mise en œuvre des politiques. Le Directeur exécutif, qui dirige le Secrétariat, travaille en étroite collaboration avec le Conseil d’administration pour ce qui est de la politique et de la gouvernance institutionnelle afin de faciliter la gestion des programmes et des opérations du Réseau. La force de LASPNET réside dans la diversité de ses membres et de ses effectifs répartis dans les régions, dans les structures et outils du système tels que l’IIMS, ainsi que dans ses plateformes de mise en réseau et de collaboration.

    Le LASPNET défend trois aspects essentiels de la coordination :

    • Un rôle collectif consistant à rassembler, de manière solidaire, les différents LASP pour élaborer des stratégies, partager des leçons et des expériences, tout en minimisant les doublons ;
    • Un rôle de renforcement des capacités pour garantir des normes de qualité améliorées parmi les LASP, mais aussi pour relier les progrès internationaux/régionaux aux interventions nationales sur l’aide juridique;
    • Un rôle de soutien pour documenter, fournir les feedbacks nécessaires, et amplifier Voice sur les questions clés concernant l’accès à la justice et l’aide juridique aux niveaux régional et national.

    Le cadre du programme LASPNET se focalise principalement, d’une part, sur l’amélioration de la qualité, des capacités et des normes des LASP en Ouganda, et, d’autre part, sur la consolidation des voix nécessaires par rapport aux questions pertinentes, tout en maintenant des liens institutionnels avec les acteurs de l’État dans le but de compléter efficacement les efforts du gouvernement dans l’amélioration de l’accès à la justice pour les personnes démunies, marginalisées et vulnérables.

    Intégrer le genre.

    LASPNET est un employeur équitable qui ne fait aucune discrimination sur la base du genre. Les hommes et les femmes bénéficient des mêmes chances lors des processus de recrutement. Par exemple, le personnel compte actuellement 12 femmes et 9 hommes. Dans le cadre de la gouvernance, l’AGM a modifié la constitution pour intégrer le genre et assurer la parité. Le conseil d’administration compte actuellement 4 membres féminins et 6 membres masculins, en plus d’un groupe de travail sur le genre qui défend les questions liées à ce sujet. De plus, l’organisation soutient les jeunes en tant que volontaires et stagiaires à travers des programmes de mentorat et de coaching. Elle les emploie lorsque des opportunités se présentent.

    • Organisation

      LASPNET a été enregistré en 2004 en tant qu’ONG pour fournir un cadre de collaboration et des liens stratégiques aux Legal Aid Service Providers (LASP) / Prestataires de Services d’Aide Juridique) dans le pays. Les fondateurs étaient des responsables de prestataires de services d’aide juridique, notamment Foundation for Human Rights Initiative, Legal Aid Clinic of Law Development Centre, FIDA Uganda. Le réseau compte 52 organisations membres réparties dans 70 districts. Grâce à ses membres, LASPNET offre une voix collective pour attirer l’attention du secteur sur les questions d’accès à la justice visant à améliorer la prestation de services dans le système judiciaire. Le réseau est mis en place et dirigé par une assemblée générale composée de prestataires de services d’aide juridique au sein de laquelle est élu, tous les deux ans, le conseil d’administration pour assurer la supervision et la mise en œuvre des politiques. Le Directeur exécutif, qui dirige le Secrétariat, travaille en étroite collaboration avec le Conseil d’administration pour ce qui est de la politique et de la gouvernance institutionnelle afin de faciliter la gestion des programmes et des opérations du Réseau. La force de LASPNET réside dans la diversité de ses membres et de ses effectifs répartis dans les régions, dans les structures et outils du système tels que l’IIMS, ainsi que dans ses plateformes de mise en réseau et de collaboration.

      Le LASPNET défend trois aspects essentiels de la coordination :

      • Un rôle collectif consistant à rassembler, de manière solidaire, les différents LASP pour élaborer des stratégies, partager des leçons et des expériences, tout en minimisant les doublons ;
      • Un rôle de renforcement des capacités pour garantir des normes de qualité améliorées parmi les LASP, mais aussi pour relier les progrès internationaux/régionaux aux interventions nationales sur l’aide juridique;
      • Un rôle de soutien pour documenter, fournir les feedbacks nécessaires, et amplifier Voice sur les questions clés concernant l’accès à la justice et l’aide juridique aux niveaux régional et national.

      Le cadre du programme LASPNET se focalise principalement, d’une part, sur l’amélioration de la qualité, des capacités et des normes des LASP en Ouganda, et, d’autre part, sur la consolidation des voix nécessaires par rapport aux questions pertinentes, tout en maintenant des liens institutionnels avec les acteurs de l’État dans le but de compléter efficacement les efforts du gouvernement dans l’amélioration de l’accès à la justice pour les personnes démunies, marginalisées et vulnérables.

      Intégrer le genre.

      LASPNET est un employeur équitable qui ne fait aucune discrimination sur la base du genre. Les hommes et les femmes bénéficient des mêmes chances lors des processus de recrutement. Par exemple, le personnel compte actuellement 12 femmes et 9 hommes. Dans le cadre de la gouvernance, l’AGM a modifié la constitution pour intégrer le genre et assurer la parité. Le conseil d’administration compte actuellement 4 membres féminins et 6 membres masculins, en plus d’un groupe de travail sur le genre qui défend les questions liées à ce sujet. De plus, l’organisation soutient les jeunes en tant que volontaires et stagiaires à travers des programmes de mentorat et de coaching. Elle les emploie lorsque des opportunités se présentent.

    • Projet

      La CAMPAGNE POUR DES REFORMES FONCIÈRES PRO-PAUVRES, EFFICACES ET INCLUSIVES EN OUGANDA est entreprise par un consortium composé de Legal Aid Service Providers Network (LASPNET), ActionAid Uganda (AAU) et Participatory Ecological Land Use Management (PELUM) Uganda, eu égard à leurs compétences techniques complémentaires et de leur expérience en matière de droits fonciers.

      La principale organisation ayant fait la demande est le Legal Aid Service Providers Network (LASPNET), une organisation non gouvernementale de 52 membres créée en 2004 et répartie dans 70 districts en Ouganda. Le réseau a été mis en place pour fournir aux prestataires de services d’aide juridique (LASP) un cadre de collaboration et des liens stratégiques afin d’exploiter, de renforcer et de maintenir les synergies pour compléter les efforts du gouvernement ougandais dans l’amélioration de l’accès à la justice. Le réseau dispose d’un plan stratégique 2015-2020 avec comme vision une société libre et juste. Quant à sa déclaration de mission, elle vise à fournir une plate-forme pour un réseautage et un partenariat efficace afin d’améliorer la prestation de services d’aide juridique et l’accès à la justice pour les personnes les plus vulnérables et marginalisées.

      Le réseau a également été à l’avant-garde avec le secteur de la justice et du maintien de l’ordre (JLOS) en faisant le plaidoyer pour la politique nationale d’aide juridique (NLAP) et d’autres lois en faveur des pauvres telles que la loi d’amendement sur les enfants; la coordination de la fourniture d’aide juridique et de l’accès à la justice, la promotion des droits de l’homme et de l’État de droit. En outre, LASPNET, aux côtés d’autres OSC, s’est efforcé d’influencer les réformes dans le secteur foncier, notamment en réunissant les décideurs politiques pour discuter de la politique foncière et du cadre juridique.

      Le rôle de LASPNET en tant qu’organisation principale est la coordination générale de la campagne contre l’amendement constitutionnel de l’article 26, la redevabilité par rapport au financement et, en outre, la responsabilité technique suivante : d’une part, la génération de preuves sur la politique, les cadres juridiques et institutionnels affectant les droits fonciers des communautés marginalisées en menant, avec l’aide des universitaires et des professionnels du droit, des recherches sur l’analyse de la situation, et, d’autre part, l’examen des rapports et autres informations connexes sur la gouvernance foncière, le lancement de la recherche, la fourniture d’une réponse juridique rapide aux OSC et aux militants.

      ActionAid Uganda (AAU) est une organisation nationale de développement ougandaise, enregistrée auprès du Bureau des ONG. Elle travaille dans 45 districts avec 12 bureaux locaux regroupés en cinq clusters, à savoir Gulu, Nebbi, Katakwi, Kapchorwa et Pallisa. Sa stratégie actuelle est axée sur le «Renforcement des luttes pour la justice sociale 2018 -2022 » qui énonce un engagement renouvelé pour renforcer l’engagement civique à tous les niveaux. Ce projet contribuera à l’objectif stratégique trois de la stratégie sur le renforcement des actions des citoyens pour consolider la démocratie et instaurer l’obligation de rendre compte de l’État, des entreprises et des leaders politiques.

      Le rôle global de l’ AAU est d’encourager l’action collective des communautés marginalisées et de leurs agences afin d’influencer les réformes foncières en faveur des pauvres, aux niveaux local et national, en ouvrant la voie pour l’engagement stratégique avec les députés sur la gouvernance et les réformes foncières (encore aux niveaux national et local) et en organisant un dialogue au niveau national sur les questions de la campagne foncière.

      Participatory Ecological Land Use Management (PELUM) Uganda est une organisation non gouvernementale (ONG) qui compte plus de 57 membres et un réseau solide d’organisations opérant dans le même esprit dans plus de 98 districts de l’Ouganda, touchant environ 3 000 000 de petits exploitants agricoles, dont 65% sont des femmes. PELUM est active en Ouganda depuis 1995 pour améliorer les moyens de subsistance des petits exploitants et la durabilité des communautés rurales, tout en encourageant la gestion écologique des terres. Elle s’efforce de promouvoir des systèmes agricoles qui assurent la sécurité alimentaire, favorisent la résilience au changement climatique, préservent la biodiversité agricole, améliorent les revenus des agriculteurs, garantissent la durabilité environnementale et opèrent dans un environnement politique favorable. Nos interventions touchent également de manière unique les niveaux régional, national et local.

      PELUM Uganda est un réseau national qui œuvre à l’autonomisation et au renforcement des capacités des organisations membres, et qui, à leurs tours, travaillent ensuite directement avec les petits exploitants agricoles. Il se focalise sur un plaidoyer collaboratif et fondé sur des preuves pour influencer les processus politiques tout en travaillant avec d’autres partenaires stratégiques pour la défense des droits fonciers.

      Le rôle de PELUM dans la campagne consiste (1) à organiser des réunions au niveau de la base avec les groupes marginalisés et les mouvements sociaux afin de les sensibiliser aux droits fonciers, (2) à organiser des réunions consultatives régionales avec les communautés marginalisées sur les questions clés affectant leur capacité à jouir de leurs droits fonciers, (3) à informer l’engagement des parlementaires et ouvrir la voie pour le renforcement des capacités de personnalités/journalistes choisis en vue de l’établissement de l’agenda sur les questions foncières.

      Travaillant dans un consortium avec Action Aid, PELUM et LASPNET, les partenaires renforceront les partenariats et les collaborations avec des parties prenantes étatiques et non étatiques partageant les mêmes idées, afin de renforcer les liens, l’efficacité et la campagne effective contre l’amendement constitutionnel de l’article 26. Dans leur rôle de coordination, les partenaires utiliseront l’approche ascendante du plaidoyer pour influencer le changement de politique et de pratique et s’appuieront également sur les membres pour s’impliquer au niveau de la base afin de renforcer la campagne pour des réformes foncières pro-pauvres, efficaces et inclusives en Ouganda et améliorer l’accès à la justice ainsi que la protection des droits de l’homme en faveur des groupes pauvres, vulnérables et marginalisés.

  • Projet

    La CAMPAGNE POUR DES REFORMES FONCIÈRES PRO-PAUVRES, EFFICACES ET INCLUSIVES EN OUGANDA est entreprise par un consortium composé de Legal Aid Service Providers Network (LASPNET), ActionAid Uganda (AAU) et Participatory Ecological Land Use Management (PELUM) Uganda, eu égard à leurs compétences techniques complémentaires et de leur expérience en matière de droits fonciers.

    La principale organisation ayant fait la demande est le Legal Aid Service Providers Network (LASPNET), une organisation non gouvernementale de 52 membres créée en 2004 et répartie dans 70 districts en Ouganda. Le réseau a été mis en place pour fournir aux prestataires de services d’aide juridique (LASP) un cadre de collaboration et des liens stratégiques afin d’exploiter, de renforcer et de maintenir les synergies pour compléter les efforts du gouvernement ougandais dans l’amélioration de l’accès à la justice. Le réseau dispose d’un plan stratégique 2015-2020 avec comme vision une société libre et juste. Quant à sa déclaration de mission, elle vise à fournir une plate-forme pour un réseautage et un partenariat efficace afin d’améliorer la prestation de services d’aide juridique et l’accès à la justice pour les personnes les plus vulnérables et marginalisées.

    Le réseau a également été à l’avant-garde avec le secteur de la justice et du maintien de l’ordre (JLOS) en faisant le plaidoyer pour la politique nationale d’aide juridique (NLAP) et d’autres lois en faveur des pauvres telles que la loi d’amendement sur les enfants; la coordination de la fourniture d’aide juridique et de l’accès à la justice, la promotion des droits de l’homme et de l’État de droit. En outre, LASPNET, aux côtés d’autres OSC, s’est efforcé d’influencer les réformes dans le secteur foncier, notamment en réunissant les décideurs politiques pour discuter de la politique foncière et du cadre juridique.

    Le rôle de LASPNET en tant qu’organisation principale est la coordination générale de la campagne contre l’amendement constitutionnel de l’article 26, la redevabilité par rapport au financement et, en outre, la responsabilité technique suivante : d’une part, la génération de preuves sur la politique, les cadres juridiques et institutionnels affectant les droits fonciers des communautés marginalisées en menant, avec l’aide des universitaires et des professionnels du droit, des recherches sur l’analyse de la situation, et, d’autre part, l’examen des rapports et autres informations connexes sur la gouvernance foncière, le lancement de la recherche, la fourniture d’une réponse juridique rapide aux OSC et aux militants.

    ActionAid Uganda (AAU) est une organisation nationale de développement ougandaise, enregistrée auprès du Bureau des ONG. Elle travaille dans 45 districts avec 12 bureaux locaux regroupés en cinq clusters, à savoir Gulu, Nebbi, Katakwi, Kapchorwa et Pallisa. Sa stratégie actuelle est axée sur le «Renforcement des luttes pour la justice sociale 2018 -2022 » qui énonce un engagement renouvelé pour renforcer l’engagement civique à tous les niveaux. Ce projet contribuera à l’objectif stratégique trois de la stratégie sur le renforcement des actions des citoyens pour consolider la démocratie et instaurer l’obligation de rendre compte de l’État, des entreprises et des leaders politiques.

    Le rôle global de l’ AAU est d’encourager l’action collective des communautés marginalisées et de leurs agences afin d’influencer les réformes foncières en faveur des pauvres, aux niveaux local et national, en ouvrant la voie pour l’engagement stratégique avec les députés sur la gouvernance et les réformes foncières (encore aux niveaux national et local) et en organisant un dialogue au niveau national sur les questions de la campagne foncière.

    Participatory Ecological Land Use Management (PELUM) Uganda est une organisation non gouvernementale (ONG) qui compte plus de 57 membres et un réseau solide d’organisations opérant dans le même esprit dans plus de 98 districts de l’Ouganda, touchant environ 3 000 000 de petits exploitants agricoles, dont 65% sont des femmes. PELUM est active en Ouganda depuis 1995 pour améliorer les moyens de subsistance des petits exploitants et la durabilité des communautés rurales, tout en encourageant la gestion écologique des terres. Elle s’efforce de promouvoir des systèmes agricoles qui assurent la sécurité alimentaire, favorisent la résilience au changement climatique, préservent la biodiversité agricole, améliorent les revenus des agriculteurs, garantissent la durabilité environnementale et opèrent dans un environnement politique favorable. Nos interventions touchent également de manière unique les niveaux régional, national et local.

    PELUM Uganda est un réseau national qui œuvre à l’autonomisation et au renforcement des capacités des organisations membres, et qui, à leurs tours, travaillent ensuite directement avec les petits exploitants agricoles. Il se focalise sur un plaidoyer collaboratif et fondé sur des preuves pour influencer les processus politiques tout en travaillant avec d’autres partenaires stratégiques pour la défense des droits fonciers.

    Le rôle de PELUM dans la campagne consiste (1) à organiser des réunions au niveau de la base avec les groupes marginalisés et les mouvements sociaux afin de les sensibiliser aux droits fonciers, (2) à organiser des réunions consultatives régionales avec les communautés marginalisées sur les questions clés affectant leur capacité à jouir de leurs droits fonciers, (3) à informer l’engagement des parlementaires et ouvrir la voie pour le renforcement des capacités de personnalités/journalistes choisis en vue de l’établissement de l’agenda sur les questions foncières.

    Travaillant dans un consortium avec Action Aid, PELUM et LASPNET, les partenaires renforceront les partenariats et les collaborations avec des parties prenantes étatiques et non étatiques partageant les mêmes idées, afin de renforcer les liens, l’efficacité et la campagne effective contre l’amendement constitutionnel de l’article 26. Dans leur rôle de coordination, les partenaires utiliseront l’approche ascendante du plaidoyer pour influencer le changement de politique et de pratique et s’appuieront également sur les membres pour s’impliquer au niveau de la base afin de renforcer la campagne pour des réformes foncières pro-pauvres, efficaces et inclusives en Ouganda et améliorer l’accès à la justice ainsi que la protection des droits de l’homme en faveur des groupes pauvres, vulnérables et marginalisés.

  • Project journey

    Le consortium du Réseau de fournisseurs de services d’aide juridique (LASPNET), de Gestion écologique participative de l’utilisation des terres (PELUM Ouganda) et d’ActionAid Ouganda, avec le soutien de Voice dans le cadre de la subvention Sudden Opportunity, a reçu une subvention à compter du 1er août 2018 pour mettre en œuvre la « Campagne pour les pro des réformes agraires médiocres et des réformes agraires inclusives en Ouganda », avec un accent particulier sur la réponse à l’amendement proposé à l’article 26 de la Constitution de l’Ouganda afin de renforcer et d’amplifier la résistance du public à l’amendement proposé.

    La « Campagne pour des réformes agraires efficaces et inclusives en faveur des pauvres en Ouganda » a été initialement développée comme une contre-campagne contre l’amendement de l’article 26 par le biais du « Projet de loi (d’amendement) constitutionnel n° 13/2017. Le projet de loi exigeait que le Parlement modifie l’article 26 de la Constitution de 1995 pour permettre au gouvernement d’acquérir et d’occuper obligatoirement les terres des citoyens avant toute indemnisation.

    La mise en œuvre du projet a pris effet le 1er août 2018 et peu de temps après que le consortium ait commencé la mise en œuvre des activités prévues, le projet de loi visant à modifier l’article 26 de la Constitution de 1995 a été retiré, citant « l’attente de consultations supplémentaires ». Cela était principalement dû à la pression des OSC et du grand public qui, à l’unisson avec une grande majorité de députés dont les points de vue ont été cités dans le rapport de la commission des affaires juridiques et parlementaires sur le projet de loi, ont conduit au retrait du projet de loi. le 4 septembre 2018.

    Par conséquent, et suite au changement de contexte, le 12 octobre 2018, les membres du consortium ont tenu une réunion avec l’équipe Voice d’Oxfam et ont décidé qu’il était important de repenser la stratégie et d’aligner l’intervention du projet pour s’adapter au contexte changeant du projet. portée initialement prévue. Convenant qu’il était nécessaire de modifier l’orientation du projet, à l’amendement à la loi sur l’acquisition de terres provisoirement considéré comme un « projet de loi sur l’acquisition de terres » et compte tenu des expulsions généralisées et du processus d’acquisition de terres ; le nom du projet est devenu ; « Mon intérêt foncier, ma survie : unir nos efforts contre les législations antipopulaires et les réformes agraires » en veillant à ce que les intérêts des citoyens soient pris en compte et que les principes d’indemnisation juste, adéquate, rapide et préalable en vertu de l’article 26 de la Constitution soient respectés. confirmée dans le projet de loi sur l’acquisition de terres et freiner les expulsions illégales de terres qui constituaient une menace plus importante à l’époque.

    Par la suite, après le retrait du projet de loi d’amendement de la Constitution no. Le 13/2017, le gouvernement a procédé à l’élaboration du Land Acquisition Bill (LAB) 2018, une nouvelle loi visant à abroger l’actuelle loi sur l’acquisition de terres de 1965, dont l’article 7 avait été précédemment interdit dans l’affaire Ashman Irumba et Peter Magelah contre l’UNRA (pétition n° 1). .40 de 2012 et statué en décembre 2015). La loi proposée est similaire dans son contenu et poursuit un programme similaire à celui du projet de loi no. La loi 13/2017 a nécessité autant d’attention que la première et a été abordée dès sa création.

    Avec une orientation de projet réalignée, le consortium avec les consultations du ministère des Terres, du Logement et du Développement urbain sur le projet de loi sur l’acquisition de terres (2018). Cette question a été traitée dans le cadre de la Politique d’acquisition, de réinstallation et de réhabilitation des terres (LARRP) sous la forme d’une consultation conjointe.

    La présence et l’influence du Consortium ont commencé à ce stade en veillant à ce que les points de vue des citoyens soient correctement pris en compte dans le projet de loi, la collaboration avec le ministère des Terres, du Logement et du Développement urbain s’étant inscrite au niveau du deuxième atelier régional de consultation sur le LARRP et le LAB des acteurs du Karamoja les 14 et 15 novembre 2018.

    Le rapport d’analyse de la situation sur la gestion de l’acquisition obligatoire de terres en Ouganda Rapport produit avec le financement de Voice

    L’une des activités clés mises en œuvre par le consortium dans le cadre de ce projet était l’analyse de la situation sur la gestion de l’acquisition obligatoire des terres en Ouganda. Un rapport a été rédigé et largement diffusé auprès de diverses parties prenantes qui ont fait la lumière sur les questions controversées concernant l’accaparement des terres et ses effets sur la population.

    Dans le cadre des interventions ci-dessus, le consortium a mobilisé et conduit les autres OSC à publier un document de position soulignant que le LARRP et le LAB ne devraient jamais s’écarter des principes de compensation juste, adéquate, rapide et préalable et cela a été informé par les conclusions de l’étude situationnelle. Analyse sur la gestion de l’acquisition foncière obligatoire en Ouganda. Le consortium a mené des consultations sur le LAB et soutenu les reportages médiatiques sur les questions de droits fonciers afin d’envoyer un message aux parties prenantes concernées pour qu’elles agissent. Juridique Une réponse rapide aux activités liées aux droits fonciers et aux victimes des expulsions illégales de terres est toujours en cours dans le but de garantir les libertés des citoyens qui défendent leurs droits par les membres du consortium.

    À ce jour et à la suite des efforts et des campagnes du consortium contre les législations antipopulaires et les réformes agraires, n’ont pas été révélés en raison de la prise de conscience et de la conscientisation des masses concernant leurs droits fonciers, ce qui leur a permis d’avoir une voix contre laquelle s’opposer. les mauvaises motivations du gouvernement en matière de législations et de réformes foncières. LASPNET a innové et continue d’offrir une réponse juridique rapide et un numéro gratuit actif de 0800-100155 via son centre d’appels où des avocats sont disponibles pour répondre aux besoins des clients sur des questions liées à la terre, entre autres questions relatives aux droits de l’homme.

    Une photo de groupe des parties prenantes qui ont assisté au lancement du rapport d’analyse de la situation sur la gestion de l’acquisition obligatoire de terres en Ouganda

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