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  • Organisation

    Crée en 2010, Le Réseau de la Jeunesse Nigérienne sur les Changements Climatiques (RJNCC) est la représentation nationale de African Youth Initiative on Climate Change (AYICC) qui est la plus grande plateforme de la jeunesse africaine sur les questions de l’environnement et du climat auprès de l’Union Africaine et de ses démembrements Le RJNCC est un regroupement des organisations de jeunesse œuvrant dans les domaines de l’environnement, de changements climatiques et des énergies renouvelables pour un Développement Durable. Le Réseau de la Jeunesse Nigérienne sur les Changements Climatiques (RJNCC.AYICC-Niger) est une organisation de recherche et de formation partagées qui regroupe des leaders d’organisations de jeunesse de la République du Niger. Il établit essentiellement des liaisons interactives entre les différentes structures partenaires en vue d’encourager la diffusion et l’échange d’information ainsi que l’élaboration de politiques et de programmes concernant la jeunesse, les changements climatiques, l’environnement et le développement durable. Un tel espace de réseautage présente de nombreux avantages tels que la synergie des ressources, l’amélioration de la qualité de service, d’information et des communications scientifiques, un meilleur partage des connaissances et des expériences.

    • Organisation

      Crée en 2010, Le Réseau de la Jeunesse Nigérienne sur les Changements Climatiques (RJNCC) est la représentation nationale de African Youth Initiative on Climate Change (AYICC) qui est la plus grande plateforme de la jeunesse africaine sur les questions de l’environnement et du climat auprès de l’Union Africaine et de ses démembrements Le RJNCC est un regroupement des organisations de jeunesse œuvrant dans les domaines de l’environnement, de changements climatiques et des énergies renouvelables pour un Développement Durable. Le Réseau de la Jeunesse Nigérienne sur les Changements Climatiques (RJNCC.AYICC-Niger) est une organisation de recherche et de formation partagées qui regroupe des leaders d’organisations de jeunesse de la République du Niger. Il établit essentiellement des liaisons interactives entre les différentes structures partenaires en vue d’encourager la diffusion et l’échange d’information ainsi que l’élaboration de politiques et de programmes concernant la jeunesse, les changements climatiques, l’environnement et le développement durable. Un tel espace de réseautage présente de nombreux avantages tels que la synergie des ressources, l’amélioration de la qualité de service, d’information et des communications scientifiques, un meilleur partage des connaissances et des expériences.

    • Projet

      Le projet « Actions pour une Gouvernance Inclusive et de Redevabilité : AGIR » est une initiative du RJNCC visant à améliorer l’efficacité du service public pour la participation des jeunes et des femmes aux initiatives locales de gouvernance et de leadership environnemental. L’objectif principal de ce projet est d’accroître l’autonomisation des OSC des jeunes et femmes dans 4 communes des régions de Tahoua et de Maradi pour s’assurer que les voix des jeunes et des femmes sont représentées dans le développement des politiques ou des réformes politiques, en particulier en ce qui concerne l’utilisation judicieuse des ressources publiques. Le RJNCC identifiera huit organisations de jeunes et de femmes de son réseau dans les deux régions cibles pour participer à ce projet. Le RJNCC donnera les moyens aux organisations de base travaillant à l’intersection des droits des femmes et des jeunes d’utiliser les données et les récits de changement des femmes et jeunes leaders pour construire et renforcer la communauté, inspirer l’action et tenir le pouvoir responsable. En collaboration avec ces 8 organisations locales, le RJNCC s’efforcera de démystifier les processus de financement public pour divers groupes détenteurs de droits, en simplifiant les données sur la gouvernance. Ces données seront analyses et transcrites sous une forme créative à travers des pièces de théâtre pour les populations rurales et une plateforme mobile pour centraliser toutes ces informations pour les citoyens qui disposent de téléphone mobile connectés à internet. Grâce à ce projet, le RJNCC vise à stimuler le discours public en soutenant les OSC des femmes et jeunes avec des plateformes et des outils pour s’approprier l’espace public et améliorer l’accès aux infrastructures publiques.

  • Projet

    Le projet « Actions pour une Gouvernance Inclusive et de Redevabilité : AGIR » est une initiative du RJNCC visant à améliorer l’efficacité du service public pour la participation des jeunes et des femmes aux initiatives locales de gouvernance et de leadership environnemental. L’objectif principal de ce projet est d’accroître l’autonomisation des OSC des jeunes et femmes dans 4 communes des régions de Tahoua et de Maradi pour s’assurer que les voix des jeunes et des femmes sont représentées dans le développement des politiques ou des réformes politiques, en particulier en ce qui concerne l’utilisation judicieuse des ressources publiques. Le RJNCC identifiera huit organisations de jeunes et de femmes de son réseau dans les deux régions cibles pour participer à ce projet. Le RJNCC donnera les moyens aux organisations de base travaillant à l’intersection des droits des femmes et des jeunes d’utiliser les données et les récits de changement des femmes et jeunes leaders pour construire et renforcer la communauté, inspirer l’action et tenir le pouvoir responsable. En collaboration avec ces 8 organisations locales, le RJNCC s’efforcera de démystifier les processus de financement public pour divers groupes détenteurs de droits, en simplifiant les données sur la gouvernance. Ces données seront analyses et transcrites sous une forme créative à travers des pièces de théâtre pour les populations rurales et une plateforme mobile pour centraliser toutes ces informations pour les citoyens qui disposent de téléphone mobile connectés à internet. Grâce à ce projet, le RJNCC vise à stimuler le discours public en soutenant les OSC des femmes et jeunes avec des plateformes et des outils pour s’approprier l’espace public et améliorer l’accès aux infrastructures publiques.

  • Project journey

    Le projet « Actions pour une Gouvernance Inclusive et de Redevabilité : AGIR » est une initiative du Réseau de la jeunesse Nigérienne sur les Changements Climatiques (RJNCC), exécutée grâce à la subvention du programme VOICE. Ce projet vise à combler les lacunes dans la participation des jeunes et des femmes aux processus de gouvernance et de leadership environnemental, en renforçant les capacités des organisations communautaires de base (OCB) dans les régions de Tahoua et de Maradi. En donnant une voix plus forte aux jeunes et aux femmes, AGIR contribue à une représentation équitable dans les réformes politiques, notamment en ce qui concerne l’utilisation des ressources publiques, et fait ainsi un pas important vers une gouvernance plus inclusive et équitable. 

    Pour la mise en œuvre d’AGIR, le RJNCC a identifié huit (8) organisations de jeunes et de femmes situées à Bambaye et Badaguichiri pour la région de Tahoua, et Gazaoua et Djirataoua pour celle de Maradi. L’exécution de chaque activité impliquant les détenteurs de droits a été une opportunité d’apprentissage, car le RJNCC s’assure que les formations soient participatives et se déroulent dans une atmosphère optimale pour le partage et les échanges. Dès ses débuts, le projet a misé sur l’engagement des détenteurs de droits à chaque étape du processus. Cette collaboration a non seulement permis une appropriation collective des activités, mais a également favorisé une restitution régulière des connaissances et des pratiques au sein des OCB. 

    En effet, après chaque activité, les détenteurs de droits organisaient des sessions de restitution au niveau local avec des approches adaptées aux réalités du terroir, garantissant ainsi une assimilation plus rapide et pratique de chaque leçon apprise. C’est dans ce cadre qu’une pratique innovante a vu le jour : l’organisation de formations en plein air, dans des champs, des jardins ou des fadas (lieux de rencontre pour les jeunes), pour aborder des thématiques techniques comme les changements climatiques et l’utilisation des médias sociaux. Cette méthode, née de l’observation attentive des besoins des détenteurs de droits, a non seulement rendu les formations plus accessibles, mais a également renforcé leur pertinence et leur impact. 

    En outre, une autre leçon fondamentale est apparue au fil des sessions de débats et de sensibilisation : les week-ends sont des moments privilégiés pour la mobilisation. Ce constat, fruit d’une observation minutieuse des dynamiques locales, a permis à l’équipe d’AGIR de réajuster leur calendrier afin d’optimiser leurs interventions. Cette simple mais puissante leçon montre l’importance de l’adaptation contextuelle dans la mise en œuvre des projets de développement. 

    À cela s’ajoute la reconnaissance, par les détenteurs de droits, du pouvoir de la collaboration. Une action qui, au départ, semblait difficile compte tenu de certaines normes socio-culturelles. Mais en fournissant l’effort de les transcender par le travail collectif, jeunes et femmes ont non seulement accru la visibilité de leurs structures, mais ont également renforcé leur influence au niveau communal. Ceci a favorisé la reconnaissance et la consultation régulière de ces structures par les mairies sur des questions sociales comme la scolarisation des filles (cas de Bambaye et Badaguichiri) et les besoins des jeunes producteurs (cas de Djirataoua). Cette collaboration a démontré que l’union fait la force, et que lorsque ces groupes se mobilisent ensemble, ils peuvent exercer un impact significatif sur les décisions locales. 

    Néanmoins, ce qui distingue véritablement le projet AGIR, c’est l’assimilation rapide des enseignements par les détenteurs de droits. Par exemple, les missions de suivi ont révélé que des groupes comme les OCB de Bambaye ou Djirataoua ont transformé les formations reçues en actions concrètes. Ces groupes ont élaboré au moins trois plans de changement, se basant sur les outils de renforcement de capacité obtenus (plaidoyer, conservation environnementale, inclusion). L’histoire de Zahara Issoufou, Bouli, et Baraatou Moussa en est un exemple frappant. Elles racontent : « Il y a un an, nous avons envoyé plusieurs émissaires auprès de la mairie et du chef de canton pour obtenir un terrain propice à la construction d’un foyer de travail à Bambaye. Notre demande avait été déclinée plusieurs fois. Mais après le renforcement de capacités sur le plaidoyer, nous avons compris que nous n’avions pas besoin d’intermédiaire pour faire nos revendications. Un groupe de femmes représentant notre groupement a été constitué et dépêché auprès du chef de canton, qui a salué d’abord notre courage et puis a ordonné séance tenante que le terrain nous soit octroyé. » 

    Cet exemple illustre non seulement l’efficacité des formations dispensées par le projet AGIR, mais aussi le pouvoir d’appropriation des communautés. Avec l’appui de cette subvention, la collaboration entre jeunes et femmes s’est intensifiée, facilitant une meilleure coordination de leurs initiatives, telles que les campagnes de sensibilisation, de salubrité, et les plaidoyers auprès des autorités locales. Ces effets observés montrent que lorsqu’on donne les moyens aux communautés de s’exprimer et d’agir, les changements qui en résultent peuvent être aussi profonds que durables. 

    En conclusion, le projet « AGIR » a prouvé que l’inclusion des jeunes et des femmes dans la gouvernance locale peut générer un impact significatif. Ainsi, à travers AGIR, le RJNCC a démontré qu’avec une approche participative et résiliente, il est possible de surmonter les défis pour contribuer à une gouvernance participative pour les communautés. En ce sens, le projet AGIR reste un exemple à fort potentiel, invitant à une mise à l’échelle pour garantir un impact croissant des acquis. 

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