Projet
Faire entendre les voix des personnes âgées
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Montant financé
164,251 EURODurée du projet
01 Août 2017 - 31 Juil 2019 -
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Applicant principal
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Le Trust for Indigenous Culture and Health (TICAH) a été créé en 2003 pour se guérir et guérir les autres en renforçant les liens entre la santé et la culture, entre la guérison, la communauté et les modes autochtones de connaissance, de connexion, de célébration, de soins et de construction de la paix. TICAH relie la sagesse ancienne aux défis contemporains, et les anciens aux jeunes. Ils adoptent de nouvelles idées et approches tout en exploitant la sagesse des ancêtres. Ils recherchent l’équilibre, la voix, la connexion, la santé et la beauté.
Les TICAH sont nés de la conviction qu’il est important d’intégrer la culture dans toute conversation ou programme visant à promouvoir la santé et la guérison. L’association a pour objectif pratique de guérir les communautés et les familles qui les composent, afin qu’elles soient en meilleure santé. Face à la pauvreté, à l’insuffisance des services, au VIH/sida et à la violence, ils travaillent avec des groupes pour les aider à se soutenir mutuellement, à apprendre les uns des autres et à apporter des changements positifs.
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Organisation
Le Trust for Indigenous Culture and Health (TICAH) a été créé en 2003 pour se guérir et guérir les autres en renforçant les liens entre la santé et la culture, entre la guérison, la communauté et les modes autochtones de connaissance, de connexion, de célébration, de soins et de construction de la paix. TICAH relie la sagesse ancienne aux défis contemporains, et les anciens aux jeunes. Ils adoptent de nouvelles idées et approches tout en exploitant la sagesse des ancêtres. Ils recherchent l’équilibre, la voix, la connexion, la santé et la beauté.
Les TICAH sont nés de la conviction qu’il est important d’intégrer la culture dans toute conversation ou programme visant à promouvoir la santé et la guérison. L’association a pour objectif pratique de guérir les communautés et les familles qui les composent, afin qu’elles soient en meilleure santé. Face à la pauvreté, à l’insuffisance des services, au VIH/sida et à la violence, ils travaillent avec des groupes pour les aider à se soutenir mutuellement, à apprendre les uns des autres et à apporter des changements positifs.
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Projet
Ce projet, intitulé « Bringing In the Voices of Elders », porte à un autre niveau les années d’activités de TICAH en matière de santé et de paix avec les aînés autochtones. Il se focalise sur deux problèmes sociaux difficiles auxquels les communautés Maasai et Mijikenda sont confrontées. Des communautés avec lesquelles TICAH a développé des relations solides.
Le traitement des jeunes filles par les pasteurs Maasai et l’abus des aînés parmi les Mijikenda de la côte sont deux des problèmes sociaux les plus épineux d’aujourd’hui et sont en partie causés par un conflit entre les anciennes pratiques et les besoins actuels. Le but du projet n’est pas de ramener le passé, car notre monde actuel est différent. Écoutons et apprenons plutôt les voix de ceux qui connaissent les valeurs profondes des traditions. Tirons ce qui est utile de cette sagesse. Créons un Kenya où les filles peuvent aussi devenir médecins, où les fils trouvent de nouvelles façons de survivre, où les anciens ne sont pas considérés comme une menace pour le changement, mais peuvent contribuer à ce dernier.
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Ce projet, intitulé « Bringing In the Voices of Elders », porte à un autre niveau les années d’activités de TICAH en matière de santé et de paix avec les aînés autochtones. Il se focalise sur deux problèmes sociaux difficiles auxquels les communautés Maasai et Mijikenda sont confrontées. Des communautés avec lesquelles TICAH a développé des relations solides.
Le traitement des jeunes filles par les pasteurs Maasai et l’abus des aînés parmi les Mijikenda de la côte sont deux des problèmes sociaux les plus épineux d’aujourd’hui et sont en partie causés par un conflit entre les anciennes pratiques et les besoins actuels. Le but du projet n’est pas de ramener le passé, car notre monde actuel est différent. Écoutons et apprenons plutôt les voix de ceux qui connaissent les valeurs profondes des traditions. Tirons ce qui est utile de cette sagesse. Créons un Kenya où les filles peuvent aussi devenir médecins, où les fils trouvent de nouvelles façons de survivre, où les anciens ne sont pas considérés comme une menace pour le changement, mais peuvent contribuer à ce dernier.
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Actualités