Boucler la boucle: organiser des séances de feedback pour les candidats non-retenus
Il est rare de trouver des donateurs qui donnent leur feedback sur des propositions qui n’ont pas été retenus. C’est une excellente initiative pour nous permettre d’améliorer la prochaine demande.
Après avoir identifié la violence fondée sur le sexe comme une question mondiale de Voice, au Kenya, elle affecte les femmes à des taux disproportionnés à cause des pratiques traditionnelles néfastes (mariage précoce des enfants, les mutilations génitales féminines, le perlage, etc.). Bien que cette question galopante doit etre repondu au niveau stratégique, Voice observait que les interventions des candidats semblent isolé, se demander pourquoi malgré les efforts consacrés à l’atténuation, la question semble être encore une barrière constante pour les femmes et les filles dans les communautés autochtones.
En collaboration avec l’Institut Nottawasaga (NI), Voice est déterminé à renforcer la capacité des organisations informelles pour répondre à des principaux défis auxquels font face les communautés autochtones, en particulier les pratiques traditionnelles nuisibles (PTN) et la violence liée. Nous le faisons par l’organisation des ateliers qui offrent une plate-forme pour les organisations à identifier les causes de l’incapacité d’accéder à des ressources productives, des lacunes de capacité communes, d’élaborer des stratégies pour faire face à ces défis, et une occasion de réseauter et de collaborer dans une action commune pour atténuer la prévalence des PTN.
Pour lancer, Kajiado a tenu le 1er forum régional dans les bureaux de NI à Nairobi, avec trois organisations de Kajiado; (1) Ewang’an Adede Initiatives de plaidoyer (Menai), (2) Forum pour les femmes dans le développement, la démocratie et la justice (FOFEDE) et (3) Integrated Development Organization Nemayian (Meido). Ils avaient précédemment demandé des subventions d’autonomisation, mais n’ont pas réussi. Malgré le travail dans le même domaine, les trois organisations ne se connaissaient pas ou que leur travail se concentrait sur la même zone géographique, abordant les mêmes problèmes. Au cours des discussions, il est apparu qu’il y avait plusieurs domaines d’intérêt communs; (I) autonomisation économique des femmes (ii) Réduire les pratiques traditionnelles néfastes (iii) Renforcement de la participation à la prise de décision (iv) Le changement de comportement chez les hommes et même, les femmes dans les communautés (v) L’accès à l’information et (vi) l’accès et la gestion des ressources naturelles par les femmes de la communauté.
Après une journée complète de brainstorming et de conversations approfondies, les trois organisations ont quitté le forum en étant encouragées et motivées à penser de manière plus stratégique pour leurs interventions, soit en tant que planification plus ciblée individuelle ou collective.
Les autres forums auront lieu à Nakuru, Narok, Marsabit et Isiolo avec un point culminant à Nairobi pour l’atelier de développement de propositions en mars.